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Sport interuniversitaire canadien – FREDERICTON (SIC) – Keneca Pingue-Giles, une garde de cinquième saison de l’Université Ryerson, a été nommée joueuse de l’année de SIC en basketball féminin, mercredi soir.

SITE WEB DU CHAMPIONNAT: http://francais.cis-sic.ca/championships/wbkb/index

Pingue-Giles, une étudiante à la maîtrise originaire de Winnipeg, est non seulement devenue la première porte-couleurs des Rams à remporter le prix Nan Copp, elle est également la première athlète féminine de son université à être choisie joueuse par excellence de SIC, tous sports confondus.

Les autres récipiendaires de prix majeurs de SIC honorés lors de la célébration des étoiles canadiennes qui se déroulait à The Playhouse à Fredericton sont la garde Kennisha-Shanice Luberisse de Saint Mary’s, élue joueuse par excellence en défensive; l’ailier Brooklyn Legault de l’Alberta, qui a mérité le prix Kathy Shields remis à la meilleure recrue; le pilote Ryan Thorne de McGill, qui a mis la main sur le prix Peter Ennis à titre d’entraîneur de l’année TIMEX; l’ailier Ainsley MacIntyre de Dalhousie, qui a reçu le prix Sylvia Sweeney pour son excellence dans le sport, les études et le service communautaire; puis la garde Krista Van Slingerland d’Ottawa, qui a hérité du prix Tracy MacLeod en raison de sa détermination et de sa persévérance. 

Le championnat de SIC ArcelorMittal Dofasco se met en branle jeudi au Centre Richard J. Currie de l’Université du Nouveau-Brunswick et culmine dimanche à 13h heure de l’Atlantique (midi HE) avec la présentation de la finale canadienne, en direct à Sportsnet 360. Les demi-finales de samedi seront diffusées en direct à Sportsnet ONE (midi & 14h30 Atlantique) et les 11 rencontres du tournoi regroupant huit équipes seront aussi offertes sur le web à www.CIS-SIC.tv.

PRIX NAN COPP (joueuse de l’année): Keneca Pingue-Giles, Ryerson

À sa dernière saison universitaire, Pingue-Giles a été dominante aux deux extrémités du court, ce qui lui a valu également le titre de joueuses défensive par excellence de SUO. L’étudiante-athlète de cinq pieds sept pouces a terminé deuxième dans la conférence de l’Ontario et septième au pays avec une récolte de 17,6 points par match, tout en prenant le premier rang au pays pour le nombre de vols de balle par match (4,2). Elle a aussi fini cinquième de sa conférence pour le nombre d’assistances par rencontre (4,1). Joueuse la plus utilisée par Ryerson avec 29,5 minutes par match, elle a également contribué 6,8 rebonds par match, soit le troisième plus haut total de son équipe.

Son jeu irréprochable a permis aux Rams de terminer au sommet du classement de la section Est de la conférence SUO pour une deuxième campagne consécutive en vertu d’une fiche de 16-3. Pingue-Giles et les Rams ont été classés dans le Top 5 national du début à la fin de la saison 2015-2016.

Pour l’ensemble de sa carrière, Pingue-Giles, diplômée du programme de criminologie et inscrite en maîtrise de politique publique et administration étudiante, vient au troisième rang des meilleures marqueuses de tous les temps à Ryerson ainsi que pour le nombre de passes décisives. Elle vient au cinquième rang dans la catégorie des rebonds et deuxième pour les vols de balle.

« Keneca a été une bâtisseuse pendant son séjour à Ryerson. En plus de sa compétitivité acharnée qui a permis à notre programme de s’établir comme l’un des meilleurs au niveau national, individuellement, elle s’est améliorée à chaque année, ce qui témoigne de son dévouement, sa motivation et sa passion, a indiqué l’entraîneure-chef Carly Clarke. En tant que première étudiante-athlète de Ryerson à recevoir ce prix, je suis extrêmement fière de l’impact qu’elle a eu et de l’héritage qu’elle laissera non seulement à notre programme de basketball féminin, mais aussi à notre service des sports et dans l’ensemble de notre université. »

Les autres candidates étaient la garde Paloma Anderson d’Acadia, l’ailier Jessica Lubin de l’UQAM et la garde Laura Dally de la Saskatchewan.

JOUEUSE PAR EXCELLENCE EN DÉFENSIVE: Kennisha-Shanice Luberisse, Saint Mary’s

Après avoir été honorée au niveau de sa conférence à chacune de ses deux premières saisons avec les Huskies, Luberisse est devenue la première étudiante-athlète des Maritimes à être nommée joueuse défensive de l’année de SIC depuis la création national du prix en 2001.

La garde de cinq pieds sept pouces, qui a amorcé les 20 matchs de ligue de son équipe, a mené la conférence SUA et terminé deuxième au pays pour le nombre de vols de balle par match avec une moyenne de 3,4. Elle a accumulé 6,9 rebonds par rencontre, le deuxième meilleur total chez les Huskies, tout en étant le chef de file de l’unité défensive de Saint Mary’s. Luberisse et ses coéquipières n’ont alloué à l’adversaire que 54,0 points par match, la meilleure moyenne de l’Atlantique et la deuxième au pays. Native de Montréal, elle a de plus contribué à l’offensive avec 11,0 points par joute.

Les prix s’accumulent rapidement pour Luberisse, qui a été nommée sur la deuxième équipe d’étoiles de SUA cette saison. L’an dernier, à sa saison recrue, elle avait mérité une place sur la première unité.

« Kennisha mérite amplement ce prix. Elle défend les meilleures joueuses au périmètre à chaque match, et peut être opposée à quiconque sur le plancher. Elle est également capable de mettre de la pression sur l’attaque adverse, que ce soit sur le terrain au complet ou sur une moitié de terrain, a analysé l’entraîneur-chef Scott Munro. Kennisha est infaillible dans sa chasse aux rebonds à la fois en zone offensive que défensive. Elle est un élément clé en défensive capable de créer des revirements, et a joué un énorme rôle dans la défense des Huskies cette saison. »

Les autres candidates étaient les gardes Quételine Célestin de l’UQAM, Keneca Pingue-Giles de Ryerson et Jessilyn Fairbanks de l’Alberta.

PRIX KATHY SHIELDS (recrue de l’année): Brooklyn Legault, Alberta

Legault devient la première porte-couleurs des Pandas et seulement la sixième joueuse de la conférence Canada-Ouest à recevoir le prix Kathy Shields, qui a été créé en 1990.

L’ailier de six pieds un pouce originaire de North Vancouver a eu un impact immédiat pour l'Alberta cette saison. Amorçant 19 des 20 matchs de son équipe, elle a contribué aux succès des Pandas qui ont récolté une fiche de 17-3 lors du calendrier régulier, puis ont été semées quatrièmes lors du carré d’as de la conférence de l’Ouest.

Jouant un peu moins de 23 minutes par match, Legault a conservé une moyenne de 6,5 points et 4,5 rebonds, incluant près de trois rebonds en zone offensive par rencontre. La statistique la plus impressionnante est sans aucun doute ses 20 blocs en autant de sorties, ce qui lui confère le septième rang de la conférence. Elle a marqué plus de 10 points à six reprises, dont deux matchs de 12 points.

« Brooklyn s’est améliorée si rapidement au cours de cette saison, a avoué l’entraîneur-chef Scott Edwards. De faire partie du groupe partant à chaque match en tant que recrue dans une conférence si compétitive est une tâche difficile. Elle a été en mesure de bien performer car elle est facile à diriger, et son intelligence comme joueuse est vraiment élevée. Nous sommes ravis de voir sa progression jusqu’à présent, et pour l’avenir de Brooklyn. »

Les autres candidates étaient la garde Chelsea Provo de StFX, la garde Gladys Hakizimana de McGill et l’ailier Julia Curran de Western.

PRIX PETER ENNIS (entraîneur de l’année TIMEX): Ryan Thorne, McGill

Thorne est devenu le premier entraîneur-chef de McGill à recevoir le prix Ennis Peter depuis sa création en 1977-1978.

À 41 ans, le résident de l’Île-Bizard, Qué., a guidé les Martlets à leur cinquième championnat consécutif de la conférence québécoise. Avec un dossier quasi-parfait de 15-1, la formation montréalaise n’a alloué que 50,7 points par match à l’adversaire, soit la meilleure moyenne au Canada. La troupe de Thorne a également mené le pays pour les vols de balle par match (6,5) et les tirs bloqués (4,1). Les Martlets ont aussi bien fait aux lancers francs avec le deuxième meilleur pourcentage de SIC (76,2%), ainsi qu’aux tirs de trois points avec une moyenne de 33,8%, le cinquième meilleur total au niveau canadien. McGill a atteint le sommet du classement national pour la première fois dans l’histoire de son programme, méritant la première place lors des trois derniers sondages hebdomadaires de la campagne 2015-2016.

À sa 13e saison comme entraîneur-chef à McGill, Thorne possède un dossier global de 204 victoires contre 172 défaites en 376 matchs, y compris une fiche de 116-93 en saison régulière. Récipiendaire à six reprises du prix d’entraîneur de l’année au sein de la conférence RSEQ, Thorne a également dirigé plusieurs équipes provinciales québécoises en plus d’avoir été entraîneur adjoint aux Universiades d’été 2015 de la FISU en Corée du Sud.

« Nous sommes très fiers de Ryan et du travail acharné qu’il a mis en guidant les Martlets à la tête du classement de SIC, a déclaré Phil Quintal, directeur des sports par intérim. Il a non seulement mis sur pied une équipe qui fait preuve d’excellence sur le terrain, mais Ryan a également réuni un groupe de joueuses qui excellent dans les salles de classe. Il doit être applaudi pour le recrutement et le développement de certains des meilleures étudiantes-athlètes au pays et la mise en place de standards des plus élevées pour lui-même et pour toutes les personnes impliquées dans le programme de basketball des Martlets. »

Les autres candidats étaient Scott Munro de Saint Mary’s, Andy Sparks d’Ottawa et Lisa Thomaidis de la Saskatchewan.

PRIX SYLVIA SWEENEY: Ainsley MacIntyre, Dalhousie

MacIntyre est la première représentante de Dalhousie à recevoir le prix Sweeney, instauré en 1994.

Sur le court, l’ailier de cinq pieds 11 pouces originaire de Sydney, N.-É., a connu une excellente quatrième saison avec les Tigers, entamant chacun des 19 matchs qu’elle a disputés et conservant une moyenne de 10,9 points par sortie.

La liste des réalisations à l’extérieur du terrain de l’étudiante en neuroscience est quasiment incroyable. Elle est présidente SAMHI à l’Université Dalhousie, une initiative qui a pour but de sensibiliser la population étudiante aux problèmes de santé mentale, en plus de venir en aide aux étudiants-athlètes. 

MacIntyre s’implique également avec la Maison Ronald MacDonald, fait partie du conseil des étudiants-athlètes de Dalhousie, et est entraîneure bénévole de basketball dans une école d’Halifax. En octobre dernier, elle a offert huit pouces de ses cheveux dans le cadre d’une levée de fonds pour la recherche sur le cancer du sein, amassant alors la somme de 2 700 $.

« Ainsley s’est développée en tant que leader cette année. Sur le terrain, dans ses cours à l’université, à l’intérieur du vestiaire, ainsi que dans la communauté, a mentionné l’entraîneur-chef Anna Stammberger. Elle est non seulement impliquée dans une grande variété d’activités, mais est aussi le chef de file dans la plupart de ces groupes et se passionne pour aider les autres. Son leadership avec l’organisation SAMHI est très important pour nos étudiants-athlètes à Dalhousie. À mon avis, l’excellence d’Ainsley en classe, sur le terrain et au sein de la communauté en tant que bénévole fait d’elle un modèle exceptionnel pour nous tous, et elle est très digne de ce prix. »

Les autres candidates étaient l’ailier Jennifer Silver de McGill, la garde Abena Addo de Toronto et l’ailier Kelly Fagan de MacEwan.

PRIX TRACY MacLEOD: Krista Van Slingerland, Ottawa

Van Slingerland est la deuxième membre des Gee-Gees en autant d’années à recevoir le prix MacLeod, après sa coéquipière Kellie Ring.

L’ailier de cinquième année originaire de Waterloo, Ont., a raté 10 semaines de jeu lors du trimestre automnal après avoir été victime d’une commotion cérébrale pendant un match présaison. Elle devait reprendre sa place dans l’alignement à temps pour disputer 13 rencontres, faisant immédiatement sentir sa présence grâce à son expérience et à sa ténacité. Van Slingerland avec déjà effectué un retour au jeu en 2014-2015 après s’être absentée du terrain pendant un an en raison de troubles mentaux.

Complétant en ce moment sa maîtrise en kinésiologie, elle a été acceptée dans un programme de doctorat et pourra ainsi poursuivre son travail de recherche.

Van Slingerland est co-fondatrice de l’organisation SAMHI, une initiative qui a pour but de sensibiliser la population étudiante aux problèmes de santé mentale, en plus de venir en aide aux étudiants-athlètes. 

« Krista représente parfaitement l’expression de redonner à autrui quand on pense à sa contribution au niveau des sports de SIC dans son ensemble. Donc, beaucoup de gens ont vu l’impact de son travail. On parle souvent de laisser un héritage, et son leadership auprès de l’organisme SAMHI va laisser un testament partout au Canada, a admis l’entraîneur-chef Andy Sparks. Ça été une grande expérience de l’avoir au sein de notre formation, et nous sommes très fiers de l’appuyer. »

Les autres candidates étaient les gardes Rachelle Coward de Saint Mary’s, Sarah-Jane Marois de Laval et Kelly O’Hallahan de MacEwan.

ÉQUIPES D’ÉTOILES CANADIENNES

Les équipes d’étoiles canadiennes ont également été dévoilées mercredi.

La joueuse par excellence de SIC Keneca Pingue-Giles de Ryerson est accompagnée au sein de la première formation par l’ailier Jessica Lubin de l’UQAM (15.3 points par match), ainsi que les gardes Paloma Anderson d’Acadia (18.7 ppm), Laura Dally de la Saskatchewan (17.2 ppm) et Danielle Boiago de McMaster (17.4 ppm).

La deuxième unité est composée de la garde Jessilyn Fairbanks de l’Alberta et de quatre ailiers, soit Kayli Sartori de Fraser Valley, Alex Kiss-Rusk de McGill, Alison Keough du Cap-Breton et Charlotte Kot de Regina.

Il s’agissait d’une première sélection en carrière pour tous les membres des deux équipes d’étoiles canadiennes.

Outre la recrue par excellence Brooklyn Legault de l’Alberta, la formation regroupant les meilleures joueuses de première année inclut l’ailier Julia Curran de Western et les gardes Kaylee Anagnostopoulos de Windsor, Gladys Hakizimana de McGill et Maria Mongomo de UNBC.

HONNEURS & ÉTOILES DU BASKETBALL FÉMININ DE SIC 2015-2016

Prix Nan Copp (joueuse de l’année): Keneca Pingue-Giles, Ryerson

Joueuse défensive de l’année: Kennisha-Shanice Luberisse, Saint Mary’s

Prix Kathy Shields (recrue de l’année): Brooklyn Legault, Alberta

Prix Peter Ennis (entraîneur de l’année TIMEX): Ryan Thorne, McGill

Prix Sylvia Sweeney (basketball, études & service communautaire): Ainsley MacIntyre, Dalhousie

Prix Tracy MacLeod: Krista Van Slingerland, Ottawa

Pos.     Athlète                                    Université       Année  Origine                        Programme d’études

                       

Première équipe

G         Keneca Pingue-Giles    Ryerson           5          Winnipeg, Man.                       Maîtrise en admin.

G         Paloma Anderson        Acadia             3          Phoenix, Arizona         Arts

G         Laura Dally                  Saskatchewan  5          Bright’s Grove, Ont.     Kinésiologie

A         Jessica Lubin               UQAM             3          Montréal, Qué.             Certificat en anglais

G         Danielle Boiago                       McMaster         4          Hamilton, Ont.             Kinésiologie

Deuxième équipe

G         Jessilyn Fairbanks        Alberta             5          Edmonton, Alb.                       Médecine dentaire

A         Kayli Sartori                Fraser Valley   4          Abbotsford, C.-B.        Études libres

A         Alex Kiss-Rusk                        McGill             3          Beaconsfield, Qué.      Arts

A         Alison Keough             Cape Breton     3          Marion Bridge, N.-É.   Science

A         Charlotte Kot               Regina             4          Regina, Sask.               Kinésiologie

Équipe des recrues                                                    

A         Brooklyn Legault         Alberta             1          North Vancouver, C.-B.     Éducation physique

A         Julia Curran                 Western           1          Waterloo, Ont.             Brescia College

G         Kaylee Anagnostopoulos  Windsor           1          Waterloo, Ont.             Science

G         Gladys Hakizimana     McGill             1          Montréal, Qué.             Travail social

G         Maria Mongomo          UNBC              1          Las Palmas, Espagne    Langue anglaise

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