« En cette Semaine de sensibilisation aux commotions cérébrales, nous pouvons accroître la sensibilisation en comprenant mieux et en partageant les complexités de ce type de blessure. Ensemble, prenons le temps d’en apprendre plus sur le sujet et rappelons-nous les quatre R de la gestion des commotions cérébrales : reconnaître, retirer, référer, retourner. Au cours de cette semaine, prenons des mesures pour tenir tête aux commotions cérébrales. #TenonstêteCanada»
– L’honorable Carla Qualtrough, ministre des Sports et de l’Activité physique, Septembre 2023

RECHERCHES SUR LES COMMOTIONS CÉRÉBRALES
La recherche et les données probantes sous-tendent la stratégie canadienne de gestion et de prévention des commotions cérébrales liées au sport. Ce centre permet aux organisations de sport d’en faire plus avec la recherche, en identifiant les dernières découvertes de sources de connaissances fiables et en les traduisant dans des formats utilisables.
Symposium annuel sur les commotions cérébrales dans le sport

OUTILS DE COMMUNICATION
Utilisez des outils fondés sur des preuves pour gérer et prévenir correctement les commotions cérébrales dans votre sport. La boîte à outils du SIRC comprend des programmes éducatifs fiables et des outils de diffusion tels que des affiches, des vidéos et d’autres supports marketing pour communiquer avec vos membres. Découvrez des outils destinés à tous les participants, qu’ils soient entraîneurs, athlètes, parents, arbitres ou autres.
Les 4R : étapes d’un rétablissement sécuritaire

PROTOCOLES ET POLITIQUES
Les protocoles et les politiques qui régissent les organismes de sport canadiens sont fondés sur le même ensemble de preuves, ce qui garantit une approche uniforme et harmonisée. Cette plateforme permet d’accéder aux politiques et aux protocoles nationaux, tout en offrant les outils et les gabarits nécessaires pour créer les vôtres.
Protocoles relatifs aux commotions cérébrales
Politiques en matière de commotions cérébrales
Élaborez votre protocole relatif aux commotions cérébrales
Élaborez votre politique en matière de commotions cérébrales

MEILLEURES PRATIQUES ET INSPIRATION
Grâce au leadership des dirigeants sportifs canadiens, les histoires de réussite en matière de commotions cérébrales ne manquent pas dans le sport canadien. En utilisant des outils et des stratégies fondés sur des données probantes, de nombreuses organisations ont créé des approches uniques, novatrices et efficaces pour la gestion et la prévention des commotions cérébrales dans leur sport. Le SIRC partage certaines de ces histoires pour inspirer d’autres changements.
Les sports qui ouvrent la voie
La voix des entraîneurs
John Herdman, entraîneur-chef de l’équipe nationale masculine de soccer du Canada, parle de l’incidence du protocole de gestion des commotions cérébrales sur le rôle des entraîneurs relativement à la sécurité des athlètes.
Foire aux questions
Reconnaître les signes et les symptômes d’une commotion cérébrale.
Si un ou une athlète montre ou signale des signes ou des symptômes d’une commotion cérébrale, ou qu’il ou elle dit « ne pas se sentir bien », il faut retirer cette personne du jeu et la faire examiner par un médecin ou un professionnel de la santé.
Ressources importantes
Retirer l’athlète du jeu ou de la pratique.
Afin de traiter et de gérer adéquatement une commotion, il est important de retirer immédiatement l’athlète du jeu ou de la pratique s’il ou elle a subi une commotion cérébrale. Toutefois, retirer l’athlète du jeu n’est pas une décision facile, et c’est pourquoi il est important de mettre en place des politiques et des procédures pour s’assurer de protéger les athlètes.
Ressources importantes
Consulter un expert médical
Seul un expert médical peut diagnostiquer officiellement une commotion cérébrale et il est rare de trouver un tel expert sur le terrain de jeu. Après avoir retiré du jeu l’athlète ayant subi une commotion cérébrale, dirigez-le ou dirigez-la vers un expert médical qui pourra livrer un diagnostic éclairé et proposer un plan de rétablissement.
Ressources importantes
Retour à l’école, puis au sport et au jeu.
Les athlètes qui reprennent leurs activités avant de s’être remis d’une commotion cérébrale sont plus susceptibles de subir une deuxième commotion avec des symptômes encore plus sévères. Cependant, lorsque le cerveau est guéri, et après avoir reçu l’approbation d’un expert médical, l’athlète peut reprendre ses activités physiques graduellement.
La reprise sécuritaire des activités sportives exige de la patience, de l’attention et de la prudence, et sera vécue différemment par chaque athlète.
Ressources importantes
Favorisez la sensibilisation aux commotions cérébrales avec des affiches, des vidéos ou autre matériel promotionnel.
Utilisez la boite à outils du SIRC pour les commotions cérébrales :
- Outils de présaison
- Outils pendant la saison
- Guides pédagogiques
- Programmes, applications mobiles et vidéos éducatives
- Matériel promotionnel imprimé de SIRC
- Matériel promotionnel en ligne de SIRC
Les athlètes qui « tombent dans les pommes » ne souffrent pas nécessairement d’une commotion cérébrale. En fait, seulement 10 % des commotions sont accompagnées d’une perte de conscience.
Être frappé à la tête, au visage ou dans la région du cou, ou subir un coup qui cause une brusque secousse de la tête peut causer une commotion cérébrale (p. ex., un coup à la tête, tomber au sol, un choc au corps comme une mise en échec, etc.).
Ressources importantes