Commotion cérébrale
Tous les acteurs du sport jouent un rôle essentiel dans la détection et la gestion des commotions cérébrales. Nos ressources comprennent les dernières recherches et les meilleures pratiques, ainsi que des outils pour soutenir la sensibilisation et le développement de politiques et de protocoles.
Trouver des ressources sur les commotions cérébrales
Les 10 meilleures ressources
- 6e Déclaration de consensus sur les commotions cérébrales dans le sport (disponible en anglais seulement)
- Lignes directrices canadiennes sur les commotions cérébrales dans le sport
- La nouvelle déclaration de consensus sur les commotions cérébrales dans le sport : Qu’est-ce que cela signifie pour les dirigeants sportifs au Canada ?
- Feuille de route sur les commotions cérébrales dans le sport au Canada
- CTR6 : Outil de reconnaissance des commotions cérébrales (disponible en anglais seulement)
- SCAT 6 : Outil d’évaluation des commotions cérébrales dans le sport 6 (disponible en anglais seulement)
- C-SCAT 6 : Outil d’évaluation des commotions cérébrales chez l’enfant dans le sport 6 (disponible en anglais seulement)
- Élaboration d’une politique en matière de commotions cérébrales dans le sport canadien
- Modèle de protocole canadien harmonisé sur les commotions cérébrales dans le sport
- Module de formation Prendre une tête d’avance en sport PNCE
Ressource en vedette
SIRC, Université de Calgary, et Parachute Canada
Ressource en vedette
Centre de documentation pour le sport (SIRC)
Ressource en vedette
Centre de documentation pour le sport du Canada
Ressource en vedette
Institut de recherche CHEO et Centre de documentation pour le sport du Canada
Faits marquants
Comment reconnaître qu’un(e) athlète a subi une commotion cérébrale ?
Une commotion cérébrale peut être causée par tout contact à la tête, au cou ou au corps qui provoque un mouvement du cerveau à l’intérieur du crâne. Si un(e) athlète est impliqué(e) dans un événement potentiellement commotionnel (par exemple, une chute ou un coup), elle ou il doit être retiré(e) du jeu jusqu’à ce qu’un professionnel de la santé l’autorise à reprendre le jeu. Parmi les symptômes courants d’une commotion cérébrale à surveiller, on trouve les maux de tête, les étourdissements, la sensibilité à la lumière et les difficultés de mémoire. Voici quelques outils pour aider à reconnaître les commotions cérébrales :
Que doit-on faire si l’on pense qu’un(e) athlète a subi une commotion cérébrale ?
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Qu’est-ce que la loi de Rowan ?
La loi de Rowan a été nommée pour honorer la mémoire de Rowan Stringer, qui est décédé tragiquement à la suite de commotions cérébrales répétées subies alors qu’elle jouait au rugby. La loi de Rowan est une loi provinciale de l’Ontario qui promeut l’éducation et la sensibilisation aux commotions cérébrales en obligeant les organisations sportives à :
- Sensibiliser tous les participants aux sports (par exemple, les athlètes, les parents et les entraîneurs) aux commotions cérébrales en utilisant les ressources de sensibilisation aux commotions cérébrales de l’Ontario
- Établir un code de conduite sur les commotions cérébrales
- Créer des protocoles de retrait du sport et de retour au sport
Pour en savoir plus sur la loi de Rowan, veuillez visiter ontario.ca ou compléter le module de formation à la loi de Rowan ici (disponible en anglais seulement).
Quand un(e) athlète peut-il reprendre l’école ou le sport après une commotion cérébrale ?
Les athlètes doivent se reposer pendant une période initiale de 24 à 48 heures après une commotion cérébrale. Après cette période de repos, elles et ils peuvent commencer à suivre les directives appropriées pour le retour à l’école et au sport avec le soutien d’un professionnel de la santé. Ces directives pour les adultes et les enfants prévoient un retour progressif à l’activité et recommandent un retour complet à l’école avant un retour complet au sport.
Quel est le rôle de l’entraîneur ou de l’officiel dans la prévention, la détection et la gestion des commotions cérébrales ?
Tous les participants aux sports, y compris les entraîneurs et les officiels, jouent un rôle important dans la prévention, la détection et la gestion des commotions cérébrales. Par exemple, les entraîneurs peuvent contribuer à la prévention des commotions cérébrales en sensibilisant leurs athlètes à des stratégies de jeu sécuritaires (par exemple, des techniques de plaquage ou de mise en échec appropriées) et en sensibilisant les joueurs aux commotions cérébrales et à l’importance de respecter les règles du jeu. En outre, les entraîneurs peuvent contribuer à la gestion des commotions cérébrales en aidant les athlètes à reprendre progressivement le sport après une blessure. De leur côté, les officiels peuvent contribuer à la prévention des commotions cérébrales en faisant respecter les règles du jeu afin de réduire les activités dangereuses susceptibles de provoquer des commotions cérébrales. Les officiels peuvent également signaler lorsqu’ils pensent qu’un athlète peut avoir subi une commotion cérébrale et encourager les équipes à faire évaluer cet athlète. Dans certains sports, comme le rugby, les officiels peuvent retirer les athlètes du jeu s’ils soupçonnent une commotion cérébrale.
Explorez notre liste de programmes et d’outils éducatifs, tels que la formation Prendre une tête d’avance en sport PNCE, pour en savoir plus sur la façon dont, en tant qu’entraîneur ou officiel, vous pouvez soutenir la prévention, la détection et la gestion des commotions cérébrales.
Que peuvent faire les organisations sportives pour mieux prendre en charge les commotions cérébrales ?
L’éducation sur les commotions cérébrales est essentielle pour tous les individus participant au sport et peut aider à garantir que les athlètes reçoivent le soutien dont elles et ils ont besoin. Pour soutenir l’éducation et la sensibilisation aux commotions cérébrales, chaque organisme national de sport devrait disposer d’un protocole et d’une politique en matière de commotions cérébrales, qui devraient également être partagés par les organismes au niveau local. Cette ressource peut être utilisée pour soutenir l’élaboration de politiques en matière de commotions cérébrales. En outre, les organismes devraient promouvoir la sensibilisation aux commotions cérébrales par le biais de l’éducation aux commotions cérébrales. Explorez le centre de ressources sur les commotions cérébrales du SIRC, qui contient d’excellentes ressources pouvant être partagées !
Comment les organisations sportives peuvent-elles montrer la voie en matière de prévention et de gestion des commotions cérébrales ?
La mise en place et l’utilisation de politiques et de protocoles actualisés et fondés sur des données probantes en matière de commotions cérébrales sont parmi les meilleures choses que les organisations sportives puissent faire pour montrer la voie en ce qui concerne les commotions cérébrales. Pour soutenir la création de politiques et mesurer l’impact de ces politiques sur les commotions cérébrales dans le sport, les organisations doivent s’appuyer sur la recherche. De nombreux organismes de sport montrent la voie en utilisant la recherche pour informer leurs politiques et en établissant des partenariats avec des chercheurs pour mesurer l’impact de ces politiques. Par exemple, Rugby Ontario travaille avec des chercheurs pour comprendre l’impact de son initiative « carte bleue » sur les commotions cérébrales dans le rugby, tandis que Hockey Canada a utilisé des recherches récentes pour créer une politique interdisant les mises en échec dans ses ligues de jeunes.
Pour en savoir plus sur certains des sports qui ouvrent la voie, consultez les ressources suivantes :
- Prévention des commotions cérébrales dans le hockey sur glace chez les jeunes : Collaborations entre chercheurs et partenaires communautaires
- Changements de règles en action : Comment Taekwondo Canada ouvre la voie
- La prévention, la gestion et l’éducation en matière de commotions cérébrales demeurent une priorité absolue alors que Rugby Canada souligne la Journée de la loi de Rowan.
Ressources vidéo
Semaine de sensibilisation aux commotions cérébrales 2025 – Guide de ressources et de participation
- SIRC
- 2025
Les commotions cérébrales liées au sport sont-elles différentes entre les athlètes masculins et féminins ?
- Centre de documentation pour le sport
- 2025
Les équipements de protection peuvent-ils prévenir les commotions cérébrales liées au sport ?
- Centre de documentation pour le sport
- 2025
Le renforcement du cou peut-il réduire le risque de commotion cérébrale lié au sport ?
- Centre de documentation pour le sport
- 2025
Que savons-nous à propos des commotions cérébrales liées au sport touchant les personnes en situation de handicap ?
- Centre de documentation pour le sport
- 2025
Quel est le rôle de l’éducation dans les commotions cérébrales?
- Centre de documentation pour le sport
- 2025
Brins de connaissances
Brins de connaissances
Soins des commotions cérébrales en Ontario : lacunes dans l’accès
À partir des dossiers médicaux de plus d’un million d’Ontariens ayant subi une commotion cérébrale, les chercheurs ont constaté que seulement 14 % d’entre eux
À partir des dossiers médicaux de plus d’un million d’Ontariens ayant subi une commotion cérébrale, les chercheurs ont constaté que seulement 14 % d’entre eux avaient consulté un médecin dans les trois jours suivant l’accident et que beaucoup avaient attendu des mois avant de recevoir des soins spécialisés. Les enfants et les résidents des zones rurales ont connu les délais les plus longs. L’étude souligne que pour améliorer les soins des commotions cérébrales, il est essentiel d’augmenter le nombre de spécialistes en pédiatrie, d’améliorer les pratiques d’orientation vers des spécialistes et de s’attaquer aux obstacles liés au transport.
Brins de connaissances
Commotions cérébrales chez les athlètes féminines : combler le fossé dans la recherche
Historiquement, la recherche sur les commotions cérébrales s’est concentrée sur les hommes, même si les femmes réagissent souvent différemment aux lésions cérébrales en raison de
Historiquement, la recherche sur les commotions cérébrales s’est concentrée sur les hommes, même si les femmes réagissent souvent différemment aux lésions cérébrales en raison de facteurs biomécaniques, hormonaux et neurologiques. Une étude réalisée en 2024 montre comment l’imagerie cérébrale et l’intelligence artificielle peuvent révéler des schémas spécifiques au sexe, contribuant ainsi à améliorer le diagnostic, le traitement et la guérison des athlètes féminines.
Brins de connaissances
Soutenir le retour à l’école des élèves après une commotion cérébrale
Des entretiens menés auprès d’enseignants et d’administrateurs canadiens ont révélé que, bien que les éducateurs souhaitent soutenir les élèves qui retournent à l’école après une
Des entretiens menés auprès d’enseignants et d’administrateurs canadiens ont révélé que, bien que les éducateurs souhaitent soutenir les élèves qui retournent à l’école après une commotion cérébrale, la plupart des écoles ne disposent pas de politiques ou de formations claires. La mise en place de protocoles de retour à l’école étape par étape et de formations professionnelles pour le personnel pourrait garantir que les élèves bénéficient des aménagements scolaires et du soutien dont ils ont besoin pour se rétablir correctement.
Brins de connaissances
Récupération après une commotion cérébrale et santé mentale des jeunes
Une étude démographique a examiné les données de 152 000 jeunes ayant subi une commotion cérébrale et a révélé qu’ils présentaient un risque 39 %
Une étude démographique a examiné les données de 152 000 jeunes ayant subi une commotion cérébrale et a révélé qu’ils présentaient un risque 39 % plus élevé de développer de nouveaux troubles mentaux, notamment de l’anxiété, des troubles de l’humeur et des troubles du comportement, par rapport à leurs pairs n’ayant pas subi de commotion cérébrale. Les risques d’automutilation et d’hospitalisation psychiatrique étaient également élevés, ce qui souligne la nécessité de surveiller la santé mentale des jeunes après une commotion cérébrale.
Brins de connaissances
Comment les facteurs sociaux peuvent influencer le rétablissement après une commotion cérébrale
Une récente étude canadienne menée auprès de jeunes joueurs de hockey a révélé que le rétablissement après une commotion cérébrale n’est pas seulement physique. Les
Une récente étude canadienne menée auprès de jeunes joueurs de hockey a révélé que le rétablissement après une commotion cérébrale n’est pas seulement physique. Les joueurs qui avaient des difficultés avec leurs pairs et dont les familles signalaient un niveau de détresse élevé ont mis plus de temps à revenir au jeu. Favoriser les relations positives entre pairs et aider les parents à gérer leur stress peut contribuer à accélérer le rétablissement.
Brins de connaissances
Améliorer la reconnaissance et la sensibilisation aux commotions cérébrales
En Alberta, le nombre de commotions cérébrales diagnostiquées chez les enfants a plus que doublé entre 2004 et 2018, ce qui reflète à la fois
En Alberta, le nombre de commotions cérébrales diagnostiquées chez les enfants a plus que doublé entre 2004 et 2018, ce qui reflète à la fois une augmentation du nombre de blessures et une plus grande sensibilisation. À l’approche de la Semaine de sensibilisation aux commotions cérébrales, cela nous rappelle que la compréhension des commotions cérébrales s’améliore et qu’il est important que les parents, les entraîneurs et les responsables sportifs continuent à apprendre à les reconnaître et à y réagir.
Brins de connaissances
Nouveaux outils issus du consensus d’Amsterdam sur les commotions cérébrales chez les jeunes
La déclaration de consensus d’Amsterdam de 2023 a introduit de nouveaux outils pour mieux prendre en charge les enfants victimes de commotions cérébrales. Le Child
La déclaration de consensus d’Amsterdam de 2023 a introduit de nouveaux outils pour mieux prendre en charge les enfants victimes de commotions cérébrales. Le Child SCAT6 aide à évaluer les symptômes dans les 72 premières heures, tandis que le Child SCOAT6 permet un suivi pendant 30 jours. À l’approche de la Semaine de sensibilisation aux commotions cérébrales, ces avancées témoignent des progrès réalisés dans la protection des jeunes athlètes.
Brins de connaissances
Consulter un médecin après une commotion cérébrale
Il est essentiel de consulter un médecin après une commotion cérébrale pour se rétablir, mais le moment où l’on consulte est également important. Des études
Il est essentiel de consulter un médecin après une commotion cérébrale pour se rétablir, mais le moment où l’on consulte est également important. Des études montrent que les athlètes qui consultent rapidement sont souvent autorisés à reprendre le sport plus tôt, ce qui souligne l’importance d’une consultation médicale rapide après une commotion cérébrale.
Plus de ressources sur les commotions cérébrales
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