Utilisez des guillemets pour trouver les documents qui contiennent l'expression exacte : "aérodynamique ET essais"

Selon une recherche de l’Université de la Colombie-Britannique, les amateurs de sport sont plus susceptibles d’acheter des billets de saison lorsqu’il existe un marché de revente. Ce marché de revente peut augmenter les revenus d’une équipe sportive de sept pour cent par année.

Le SIRC relie les chercheurs et les organismes nationaux de sport par un nouveau programme de subventions. Grâce au financement de Sport Canada, dix subventions de 2 500 $ sont disponibles. La date limite pour les soumissions est le 29 novembre 2019. Pour obtenir des détails sur les priorités de financement, les attentes des candidats, les critères d’évaluation et plus encore, visitez le site Web du SIRC.

L’innovation technologique pourrait être la prochaine opportunité de croissance majeure pour le sport en 2019. Pour atteindre de nouveaux auditoires, attirer de nouveaux publics cibles démographiques et convertir les téléspectateurs occasionnels en partisans passionnés, les organismes de sport et les athlètes bénéficieront de l’utilisation de la technologie numérique. Pour en savoir plus, consultez « Show Me the Money », un rapport sur l’industrie qui présente les points de vue de leaders du milieu du sport professionnel.

2019 marque la première année de la légalisation des jeux de hasard dans le sport aux États-Unis, après que la Cour suprême ait renversé une loi fédérale et confié la prise de décisions aux États-Unis. Cela générera une manne pour les preneurs de paris, les ligues sportives et les recettes fiscales de l’État, mais à quel prix? Apprenez-en davantage sur le sujet dans cette rubrique de 60 Minutes.

Votre organisme a-t-il des idées pour améliorer la participation sportive au Canada? L’Initiative d’innovation de Sport Canada finance le développement et la mise à l’essai d’approches de programmes novatrices visant à mobiliser les femmes et les filles, les communautés LGBTQ2+, les personnes handicapées et les nouveaux arrivants au Canada.

Cliquez ici pour plus d’information.

Vous craignez que les scandales internationaux dans votre sport affectent négativement les taux de participation, l’intérêt des partisans ou le retour sur le capital investi des commanditaires de votre club? Des recherches menées en Finlande ont montré que les clubs de soccer municipaux et leurs commanditaires étaient à l’abri des aspects négatifs de la corruption de la FIFA.

De nombreux organismes de sport sont à la recherche de nouvelles sources de financement : le financement participatif est un exemple. Celui-ci peut tirer parti de la passion d’une communauté pour soutenir des personnes ou des objectifs spécifiques. Le billet de blogue de cette semaine donne des conseils pratiques pour assurer le succès d’une campagne de financement participatif.

Le financement du sport évolue, et il est de plus en plus difficile d’obtenir l’appui du gouvernement. Mais de l’argent, il y en a; il faut simplement le trouver. Une méthode de financement relativement nouvelle est le financement participatif (crowdfunding). Quand on y pense, une campagne de financement participatif ressemble au sport. Les délais sont serrés, l’objectif est très clair, il y a de la compétition, et la réussite est garante de la collaboration. Qu’il s’agisse de faire des voyages à l’échelle nationale pour représenter le Canada, de tenir des camps d’entraînement sur le plan éducatif ou d’acheter de l’équipement supplémentaire dans les municipalités, le financement participatif procure un grand retour sur le capital investi.

Le financement participatif en tant que méthode de financement met à profit la passion d’une communauté. Quand on fait un don, peu importe le genre, il est important d’établir un lien entre les donateurs et les receveurs. Qui reçoit de l’aide? Pourquoi ont-ils besoin d’argent? Et, plus important encore, où ira l’argent du donateur? Le financement participatif est la plateforme parfaite pour répondre à ces questions; c’est direct, c’est personnel et le résultat de la campagne est clair.

L’avantage du financement participatif est qu’il peut être appliqué à tous les niveaux du sport en ajustant les stratégies pour viser des publics cibles spécifiques. Lorsqu’un organisme utilise cette méthode dans le cadre de sa stratégie de financement, il a le pouvoir de rehausser la discussion philanthropique au sein de sa communauté de donateurs.

Haute performance

Les associations canadiennes enregistrées du sport amateur, comme la plupart des fédérations et autres organismes de sport, sont en mesure de fournir des reçus d’impôt pour les dons. Il s’agit d’une bonne source de motivation pour lancer des initiatives de financement participatif. Au-delà des collectes de fonds en situation de crise (p. ex. pour les athlètes qui ont perdu du financement), les fédérations sportives peuvent utiliser le financement participatif comme outil stratégique pour recueillir des fonds afin d’appuyer les activités annuelles, comme le lancement d’un programme local, ou de s’assurer que les athlètes sont outillés pour réussir et viser le podium. Rowing Canada Aviron a aidé les athlètes de la prochaine génération à réaliser leurs rêves olympiques en ayant recours au financement participatif par l’entremise de la campagne #RCANextGen, qui a permis de recueillir plus de 100 000 $ en deux ans pour réduire directement les frais d’évaluation des athlètes. Cette campagne a réuni la communauté canadienne de l’aviron afin d’appuyer les athlètes en pleine ascension qu’ils admirent et de contribuer à assurer l’avenir du sport tout en positionnant l’organisation de façon philanthropique.

Facultés sportives

Le financement participatif peut également être une stratégie efficace pour les facultés sportives des universités et des collèges. Cette méthode est bien adaptée pour les athlètes, nécessitant à peine une demande honnête et claire qui vient du fond du cœur et qui a un objectif très précis – pas de frais d’envoi, de frais d’impression ou de gadgets spéciaux. La participation d’étudiants-athlètes à la tenue d’une campagne de financement participatif leur permet de s’approprier un projet qui est souvent très spécifique aux besoins de leur équipe (équipe nationale, camps d’entraînement, nouvel équipement). De plus, lorsque la campagne est réussie, on peut même dépasser les objectifs (p. ex. cette campagne de l’Université McGill).

Sport communautaire

Le financement participatif est un outil puissant pour rallier la communauté autour d’une cause et lui donner l’occasion d’appuyer de merveilleuses initiatives locales.

Prenez Kory-Antony Roy-Lagacé, un garçon de 15 ans qui souffre d’une maladie grave et rare qui attaque son système immunitaire. Gardien de but talentueux pour le Bantam BB Bleu et Or au Québec, ses symptômes l’empêchent souvent d’aller à l’école, aux entraînements de hockey et aux matchs. Pensez maintenant au financement participatif. Avec l’aide d’une fondation familiale locale, les amis et la famille de Kory ont pu mettre sur pied une campagne de financement pour recueillir des fonds pour acheter une chambre hyperbare qui aide Kory à gérer sa douleur et son énergie et qui lui permet de participer régulièrement à ses activités scolaires et à ses activités de hockey pendant plusieurs mois consécutifs. Avec l’appui de quelques personnes formidables qui ont dirigé cette campagne, 10 000 $ ont été recueillis en dix jours. En jetant un rapide coup d’œil à la liste des donateurs, on constate que d’autres fondations locales qui soutiennent des initiatives liées au sport ont appuyé la campagne. L’objectif et le besoin étaient clairs, la stratégie de communication a été mise en place, et les leaders l’ont suivie.

Par où commencer?

Les campagnes de financement participatif peuvent être divisées en trois phases :

1. Phase silencieuse – Au cours de la phase silencieuse, les projets potentiels sont examinés, les priorités sont confirmées, les chefs d’équipe sont identifiés, les stratégies sont élaborées et les cadeaux de leadership (si possible) sont obtenus. Utilisez ce temps pour choisir une plateforme (p. ex. Fundrazr) qui répond à vos besoins, et gardez à l’esprit que les frais à payer sont généralement liés aux fonds recueillis, de sorte que le risque est assez faible.

2. Phase d’activation – L’activation est le moment de la mise en œuvre. Sollicitez le public identifié, mettez en œuvre les stratégies, et maintenez l’élan en donnant des mises à jour; surveillez l’atteinte des objectifs et poursuivez la lancée jusqu’à la fin.

3. Phase post-campagne – C’est en fait la partie la plus importante de la campagne. Pourquoi? Parce qu’en général, le financement participatif attire de nouveaux donateurs et qu’il est beaucoup plus facile (et moins coûteux) de retenir les donateurs actuels que d’en acquérir de nouveaux. Remerciez-les et, plus important encore, faites un suivi sur l’incidence qu’a eu le projet.

Pratiques exemplaires à garder à l’esprit :

N’oubliez pas qu’il y aura toujours des causes à soutenir. Chaque année, le nombre d’organismes de bienfaisance et de groupes de personnes à la recherche de dons augmente. Alors, comment allez-vous vous démarquer et vous assurer d’atteindre votre objectif? La clé du succès est de faire une bonne planification avant de vous lancer, car il est très difficile de remonter la pente une fois que votre campagne ne fonctionne plus. Cela arrive trop souvent avec des groupes qui supposent à tort que l’on peut simplement mettre en place une campagne et qu’elle s’autogérera. Donc gardez en tête que les dons que vous obtiendrez seront le résultat direct des efforts que vous déployez.

Les anciens membres d’une équipe sont le fondement de toute organisation sportive. Ces personnes ont la passion, l’expérience et le désir de défendre la croissance du sport qu’ils aiment – mais seulement s’ils sont engagés de façon authentique. Il n’est pas rare que les anciens membres se sentent exclus de leur club, fédération, université, association ou organisation sportive – un sentiment qui peut être éliminé par un effort concerté et stratégique. Que votre groupe cible d’anciens membres soit des athlètes olympiques, des athlètes de clubs ou des bénévoles, l’approfondissement et l’enrichissement de ces relations permettent à une organisation de s’engager et de cultiver sa communauté tout en donnant à ce groupe d’intervenants clés un rôle essentiel dans leur plan stratégique.

Étape 1 : Déterminer les objectifs du programme

La première étape de l’élaboration d’un programme d’engagement d’anciens membres est de cibler des résultats qui s’alignent sur les objectifs stratégiques et la mission de l’organisation.

Pour commencer, considérez ce qui suit :

Étape 2 : Définir qui sont les anciens élèves

La prochaine étape est de définir le terme « ancien » en fonction de l’organisation. Dans le sens le plus simple, le terme « ancien » désigne un ancien membre d’un groupe, d’une entreprise, d’une organisation ou d’une association. Il est important de demander conseil aux principaux groupes constitutifs de l’organisation pour déterminer qui sont les « anciens ». Ce pourrait être des athlètes, des entraîneurs, des membres du personnel et des bénévoles, y compris des membres du conseil d’administration. Par exemple, lors d’un sondage, la communauté d’une fédération nationale de sport s’est auto-identifiée autant comme d’anciens membres de club que des participants du tournoi Masters (et tous les niveaux entre ces extrêmes), tandis qu’une autre communauté a décidé de restreindre sa portée aux participants de l’équipe nationale qui ont participé aux Jeux olympiques et aux championnats du monde. Dans le système d’éducation, les anciens sont facilement définis comme étant les personnes diplômées d’un établissement scolaire. Ce qui fonctionne pour une organisation peut ne pas fonctionner pour une autre.

Pour définir et structurer votre programme d’anciens membres, suivez les étapes suivantes :

Étape 3 : Favorisez l’engagement

L’engagement précède l’investissement, ce qui fait qu’il est essentiel que les anciens membres se sentent inclus et impliqués afin de renforcer leur affiliation à l’organisation et, en fin de compte, devenir des partisans et des ambassadeurs à long terme. Envisager de tenir des événements et des anniversaires particuliers, comme les 25 ans de l’équipe olympique canadienne d’aviron de Rowing Canada Aviron, qui célèbre succès de l’équipe lors des Jeux olympiques de Barcelone en 1992, les traditions annuelles comme la fête des anciens élèves (p. ex. Université Queen’s) et les célébrations de fin de saison (p. ex. le gala Friends of McGill Hockey). De tels événements célèbrent le passé d’un organisme et font participer les athlètes et les partisans nouveaux et futurs.

À ne pas oublier :

Les programmes efficaces à l’intention des anciens membres sont un élément essentiel au succès à long terme de toute organisation. L’époque où il suffisait de gouverner un sport ou de superviser les opérations est révolue. Les organismes qui sont capables d’adopter une vision plus globale de l’ensemble de leur environnement et de comprendre la valeur de leur communauté seront mieux placés pour devenir plus indépendants et durables.

Au cours des 10 dernières années, la gestion des risques dans le sport a été grandement liée aux casques, aux tapis de protection et à la sécurité des terrains. Mais depuis, la leader sportive Dina Bell-Laroche, maintenant une partenaire du Sport Law & Strategy Group (SLSG), a examiné les risques selon une nouvelle perspective. En effet, Mme Bell-Laroche s’est demandé si les organisations sportives tireraient profit d’une recherche exhaustive qui évalue les risques organisationnels et les valeurs de l’organisation grâce à une méthode de pointe. Cette approche a permis d’établir une façon novatrice de cibler, évaluer et atténuer toutes sortes de risques qui nuisent à l’atteinte du rendement optimal d’une organisation.

L’atelier sur la gestion des risques de deux jours, qui est donné depuis 10 ans, propose aux organisations sportives des solutions pratiques aux problèmes les plus complexes. Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) coordonne ces ateliers qui sont animés par des experts-conseils du SLSG et qui adoptent une formule inspirée du modèle de gestion des risques australien et néo-zélandais adaptée à la réalité canadienne.

« Le CCES s’emploie aussi à développer le savoir-faire éthique au sein des organisations sportives. Étant donné que certains risques généraux liés à la gestion ont été identifiés par la communauté sportive comme sources de distractions, de frustration et de rendement insatisfaisant, cet atelier donne des moyens pratiques et directs de bâtir une capacité durable », a déclaré Paul Melia, président et chef de la direction du CCES.

Un des aspects les plus pratiques et novateurs de cette approche est un examen minutieux des documents sur les valeurs et les stratégies des organisations sportives parallèlement à une évaluation des risques. Cette méthode permet d’établir un solide cadre qui comprend des théories d’avant-garde sur la gestion des risques et qui intègre la culture de l’organisation. Grâce à cette approche, l’utilisation des outils sur la gestion des risques est accrue et assure une meilleure prise de décisions.

« Après avoir tenu près de 50 ateliers sur la gestion des risques au cours de la dernière décennie, je suis toujours émerveillée par la simplicité de certaines solutions pour résoudre des problèmes des plus compliqués. Je suis tout aussi étonnée par le sentiment de soulagement que dégagent les participants alors qu’ils expliquent ouvertement leurs plus grandes préoccupations. Ce sentiment s’accompagne toujours d’une nouvelle prise de contrôle et d’espoir quand les participants trouvent des stratégies de rechange qui leur permettent de réduire ou parfois d’éliminer tous les risques. », a ajouté Mme Bell-Laroche.

Depuis 2007, des ateliers ont été donnés à près de 50 organisations sportives par l’entremise de partenariats tripartites. Pour approfondir les connaissances en la matière, un nouvel élément de recherche a été ajouté au programme en 2011 grâce à la collaboration de la Dre Julie Stevens (département de la gestion sportive, Université de Brock) et de la Dre Patti Millar (département de la gestion sportive et des loisirs, Université de Niagara). Cet ajout s’est transformé en une recherche à long terme sur le développement professionnel dans le secteur sportif canadien.

Les conclusions des divers éléments de recherche sont résumées dans l’infographie et soulignent les effets – à plusieurs niveaux – de l’atelier sur la gestion des risques sur les participants et leur organisation.

« Ce projet de recherche évalue l’incidence de l’atelier et constitue un exemple de collaboration à long terme efficace entre des leaders sportifs et des universitaires. Par l’entremise de ce partenariat, nous avons recueilli des preuves de l’effet positif de l’atelier sur le rendement des leaders sportifs et de leurs organisations qui, à leur tour, permettent au CCES d’améliorer continuellement l’atelier afin qu’il réponde aux besoins des professionnels du sport et des bénévoles exécutifs. Les occasions de développement professionnel à long terme propre au secteur du sport sont rares. Ce programme de recherche nous a permis de savoir comment le CCES approche la gestion des risques et les formations sur la gestion axée sur les valeurs, de même que les occasions de perfectionnement. », ont mentionné Mmes Stevens et Millar.

Les organisations sportives participantes reçoivent également un répertoire de risques personnalisé qui cible et classe leurs risques actuels, qui dresse la liste des stratégies en cours, et qui propose des solutions possibles qui ont été adoptées par de nombreux organismes de sport nationaux et municipaux comme partie intégrante de leur cadre de reddition de comptes à leurs partenaires financiers. Le CCES tient à jour un registre des risques comme ressource offerte à la communauté sportive.

Plusieurs années après la tenue du premier atelier, des leaders sportifs ont constaté que le manque d’occasions de développement professionnel constituait un risque de haut niveau pour les générations actuelles et futures de leaders sportifs. À la suite des conclusions de la recherche, le CCES a créé un atelier sur la gestion des risques avancée pour les leaders sportifs. Cette séance d’une journée rassemble les leaders sportifs pour examiner des problèmes éthiques, échanger des solutions communes entre pairs, et trouver des façons de solidifier l’avenir de la communauté sportive.

Le CCES tient à remercier Sport Canada et le ministère du Patrimoine canadien pour leur soutien financier dans le cadre de ce projet.

Pour en apprendre plus sur les ateliers sur la gestion des risques ou pour vous inscrire à un atelier, veuillez envoyer un courriel à l’adresse info@cces.ca.

Ressources pertinentes :
Contributeurs :