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Sport interuniversitaire canadien – Le public invité à voter en ligne pour une deuxième année de suite

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18 avril 2016

OTTAWA (SIC) – Sport interuniversitaire canadien et le cabinet d’avocats national Borden Ladner Gervais (BLG) ont dévoilé lundi l’identité des huit finalistes à l’obtention des 24es prix BLG.

Photos & vidéos des finalistes: DROPBOX

Les prix BLG ont été créés en 1993 afin d’honorer les meilleurs athlètes féminin et masculin provenant d’universités affiliées à SIC.

Le lundi 2 mai, les huit candidats nationaux seront honorés au Théâtre Martha Cohen à Calgary. Les gagnants féminin et masculin recevront une bourse d’études de 10 000 $, alors que tous les finalistes repartiront avec une bague commémorative en or de Jostens et une montre Timex, les fournisseurs officiels de SIC.

Il s’agira de la 21e présentation du gala à Calgary, l’événement ayant également eu lieu à Toronto (2009, 2013) et Vancouver (2011) au fil des ans. L’édition 2016 sera diffusée à travers le pays plus tard au mois de mai sur les ondes de Sportsnet. 

Bien que les récipiendaires 2016 seront déterminés par la Fondation athlétique canadienne, un conseil d’administration sans but lucratif qui a sélectionné les gagnants au cours des 23 dernières années, le grand public est à nouveau invité à voter en ligne, dans la foulée du projet pilote qui a généré plus de 10 000 votes l’an dernier. Le public peut voter via les sites web suivants: 

SIC: http://fr.cis-sic.ca/prixblg/2015-16/vote

Prix BLG: www.blg.com/prixblg 

Sportsnet: www.sportsnet.ca/cis

« Nous sommes très heureux d’accueillir les 24es prix BLG à Calgary, a dit Doug Mitchell, co-président national de BLG. Nous sommes toujours émerveillés par le talent et les réalisations de ces remarquables athlètes. Chaque année, alors que nous suivons le parcours des anciens récipiendaires, nous réalisons à quel point leur expérience dans le monde du sport a été déterminante dans leur cheminement. Nous félicitons les universités qui ont offert une éducation et des programmes sportifs de si haute qualité à ces athlètes. »

« Les prix BLG représentent la récompense la plus prestigieuse pour nos étudiants-athlètes et sont toujours un fait saillant de la saison de SIC, a dit le président-directeur général de SIC, Graham Brown. Les huit finalistes nationaux de cette année sont non seulement des athlètes exceptionnels, chacun d’eux est également un meneur au plan académique et dans la communauté. Ils sont des ambassadeurs de premier plan pour tout le membership de SIC et pour nos universités. »

Les finalistes 2016 à l’obtention du trophée Jim Thompson présenté à la récipiendaire du prix BLG féminin sont la basketteuse Paloma Anderson de l’Université Acadia, la hockeyeuse Mélodie Daoust de l’Université McGill, la nageuse Kylie Masse de l’Université de Toronto et la volleyeuse Iuliia Pakhomenko de l’Université de Thompson Rivers.  

Du côté masculin, les candidats à l’obtention du trophée Doug Mitchell sont les hockeyeurs Jordan Murray de l’Université du Nouveau-Brunswick et Guillaume Asselin de l’Université du Québec à Trois-Rivières, de même que le volleyeur Stephen Maar de l’Université McMaster et le footballeur Andrew Buckley de l’Université de Calgary.  

Daoust (2013) et Buckley (2015) sont tous les deux en lice pour le prix BLG pour une deuxième fois en carrière, alors que Pakhomenko et Asselin sont devenus les premiers finalistes dans l’histoire de leur institution respective.

Anderson, une étudiante en sociologie originaire de Phoenix, en Arizona, est devenue la toute première basketteuse d’Acadia à être nommée joueuse de l’année de la conférence SUA. Également élue sur la première équipe d’étoiles de SIC, la meneuse de jeu de 5 pieds 1 pouce a terminé deuxième au pays lors du calendrier régulier avec 18,7 points par match et fut l’une des principales raisons expliquant le renversement de situation chez les Axewomen, qui ont conservé un dossier de 16-4 après avoir présenté une fiche de 4-16 l’an dernier.

Daoust, une étudiante en éducation physique et santé originaire de Valleyfield, Qué., a été choisie joueuse par excellence du RSEQ et membre de la première équipe d’étoiles de SIC grâce à sa récolte de 18-16-34 en seulement 20 parties de saison régulière. Médaillée d’or olympique en 2014, la joueuse de centre a remporté le titre des marqueuses au Québec et a dominé au pays pour les buts (0,9) et les points (1,7) par rencontre, tout en menant les Martlets à la finale du RSEQ et à une participation au championnat de SIC.

Masse, une étudiante en kinésiologie originaire de LaSalle, Ont., a été nommée nageuse de l’année de SIC après avoir mené la formation féminine des Varsity Blues à une première conquête du titre national depuis 1997. Aux championnats de SIC, l’athlète de 20 ans, qui a récemment obtenu son billet pour les Olympiques de Rio, a remporté sept médailles en autant de finales, a établi des records de la rencontre dans chacune des épreuves individuelles de dos, puis a enregistré un nouveau standard senior canadien en grand bassin au 50 mètres dos.

Pakhomenko, une étudiante à la maîtrise en administration des affaires originaire de Donetsk, en Ukraine, est devenue la première volleyeuse de Thompson Rivers à être choisie joueuse de l’année de SIC. À sa deuxième saison avec le WolfPack suite à son transfert de l’Université Northwood au Michigan (NCAA division II), l’attaquante de 5 pieds 11 pouces a dominé au pays pour les frappes payantes (4,67) et les points (5,5) par manche, tout en menant son équipe à une place en séries deux ans seulement après que TRU eut présenté une fiche de 0-22.

Murray, un étudiant en administration des affaires originaire de Riverview, N.-B., a été élu défenseur de l’année de SIC et membre de la première équipe d’étoiles canadienne avant de mener les Varsity Reds à une cinquième conquête de la Coupe Université en 10 ans. Ex-porte-couleurs d’Acadie-Bathurst et de Drummondville dans la LHJMQ, le patineur de 6 pieds 1 pouce a dominé les arrières de SUA en saison régulière avec 28 points en 27 parties et a aidé UNB à conserver la deuxième meilleure fiche défensive au Canada.

Asselin, un étudiant en administration des affaires originaire de Québec, a mérité le trophée du Sénateur Joseph A. Sullivan à titre de joueur de l’année de SIC après avoir terminé premier au pays pour les buts (27), les points (47) et les filets gagnants (6) en 28 matchs de calendrier régulier. Ex-vedette de Montréal et Chicoutimi dans la LHJMQ, l’ailier droit de 5 pieds 11 pouces a aidé les Patriotes à remporter la Coupe Queen’s de SUO et à atteindre le tournoi canadien de la Coupe Université.

Maar, un étudiant en histoire et science politique originaire d’Aurora, Ont., a été choisi joueur par excellence de SUO et membre de la première équipe d’étoiles au pays grâce en grande partie à ses 4,29 frappes payantes et 5,0 points par set, deux sommets en Ontario. L’imposant attaquant de 6 pieds 7 pouces a mené les Marauders à un dossier de 18-2 lors du calendrier régulier, à un quatrième titre de SUO consécutif et à la médaille d’argent au championnat de SIC.

Buckley, un étudiant en kinésiologie originaire de Calgary, a mérité un deuxième trophée Hec Crighton de suite après avoir réécrit le livre des records tout en menant les Dinos à un calendrier régulier parfait de 8-0. À sa dernière campagne universitaire, le quart-arrière de 6 pieds a établi un record de SIC pour les verges par la passe en une saison (3162) et un nouveau standard de Canada-Ouest pour le pourcentage de passes complétées (72,0), en plus de conserver le meilleur ratio touchés-interceptions au Canada (19-1).

VOIR PROFILS COMPLETS CI-DESSOUS.

Finalistes féminines au prix BLG 2016 (Trophée Jim Thompson):

SUA: Paloma Anderson, basketball, Acadia (Phoenix, Arizona)

RSEQ: Mélodie Daoust, hockey, McGill (Valleyfield, Qué.)

SUO: Kylie Masse, natation, Toronto (LaSalle, Ont.)

Canada-Ouest: Iuliia Pakhomenko, volleyball, Thompson Rivers (Donetsk, Ukraine)

Finalistes masculins au prix BLG 2016 (Trophée Doug Mitchell):

SUA: Jordan Murray, hockey, UNB (Riverview, N.-B.)

RSEQ: Guillaume Asselin, hockey, UQTR (Québec, Qué.)

SUO: Stephen Maar, volleyball, McMaster (Aurora, Ont.)

Canada-Ouest: Andrew Buckley, football, Calgary (Calgary, Alb.)

Récipiendaires des prix BLG:

2014-2015: Korissa Williams – Windsor (basketball) / Ross Proudfoot – Guelph (C-C & athlétisme)

2013-2014: Justine Colley – Saint Mary’s (basketball) / Philip Scrubb – Carleton (basketball)

2012-2013: Shanice Marcelle – UBC (volleyball) / Kyle Quinlan – McMaster (football)

2011-2012: Ann-Sophie Bettez – McGill (hockey) / Marc-André Dorion – McGill (hockey)

2010-2011: Jessica Clemençon – Windsor (basketball) / Tyson Hinz – Carleton (basketball)

2009-2010: Liz Cordonier – UBC (volleyball) / Erik Glavic – Calgary (football)

2008-2009: Annamay Pierse – UBC (natation) / Joel Schmuland – Alberta (volleyball)

2007-2008: Laetitia Tchoualack – Montréal (volleyball) / Rob Hennigar – UNB (hockey)
2006-2007: Jessica Zelinka – Calgary (athlétisme) / Josh Howatson – Trinity Western (volleyball)
2005-2006: Marylène Laplante – Laval (volleyball) / Osvaldo Jeanty – Carleton (basketball)
2004-2005: Adrienne Power – Dalhousie (athlétisme) / Jesse Lumsden – McMaster (football)
2003-2004: Joanna Niemczewska – Calgary (volleyball) / Adam Ens – Saskatchewan (volleyball)
2002-2003: Kim St-Pierre – McGill (hockey) / Ryan McKenzie – Windsor (C-C & athlétisme)
2001-2002: Elizabeth Warden – Toronto (natation) / Brian Johns – UBC (natation)
2000-2001: Leighann Doan – Calgary (basketball) / Kojo Aidoo – McMaster (football)
1999-2000: Jenny Cartmell – Alberta (volleyball) / Michael Potts – Western (soccer)
1998-1999: Corinne Swirsky – Concordia (hockey) / Alexandre Marchand – Sherbrooke (athlétisme)
1997-1998: Foy Williams – Toronto (athlétisme) / Titus Channer – McMaster (basketball)
1996-1997: Terri-Lee Johannesson – Manitoba (basketball) / Curtis Myden – Calgary (natation)

1995-1996: Justine Ellison – Toronto (basketball) / Don Blair – Calgary (football)
1994-1995: Linda Thyer – McGill (athlétisme) / Bill Kubas – Wilfrid Laurier (football)
1993-1994: Sandra Carroll – Winnipeg (basketball) / Tim Tindale – Western (football)
1992-1993: Diane Scott – Winnipeg (volleyball) / Andy Cameron – Calgary (volleyball)

FINALISTES FÉMININES PRIX BLG 2015-2016 (Trophée Jim Thompson)

Sport universitaire de l’Atlantique (SUA)

Paloma Anderson

Université Acadia

Sport: Basketball

Année d’admissibilité: 3

Programme académique: Arts (sociologie)

Origine: Phoenix, Arizona

Il aura fallu une vingtaine d’années, mais Paloma Anderson a finalement trouvé sa place, tant sur le terrain qu’à l’extérieur.

Anderson, qui est née à New York, dont la famille est établie à Phoenix en Arizona et qui a entamé ses études collégiales en Iowa, a fait face à beaucoup d’adversité pendant sa jeunesse, particulièrement à l’adolescence. Sur le court de basketball, son principal défi fut de faire taire ses détracteurs qui lui répétait qu’elle ne pourrait atteindre un niveau supérieur, particulièrement en raison de son petit gabarit, elle qui ne mesure que 5 pieds 1 pouce.

À un certain moment, la jeune femme de 21 ans a même arrêté de pratiquer son sport. Puis est survenue l’opportunité de s’emmener au Canada pour étudier à l’Université Acadia et se joindre au programme des Axewomen au milieu de la saison 2014-2015… une occasion dont elle profite pleinement depuis.

Malgré une impressionnante moyenne de 18,3 points par match à ses débuts avec les Axewomen, l’ajout d’Anderson ne s’est pas traduit en victoires immédiatement puisqu’Acadia a terminé le calendrier avec un dossier de 4-16. L’histoire allait toutefois être différente à sa deuxième campagne, sous la tutelle du nouvel entraîneur-chef Len Harvey.

Les Axewomen ont connu un renversement de situation spectaculaire cette saison et ont présenté une fiche de 16-4, bonne pour la deuxième place dans les Maritimes. Anderson a poursuivi sa domination sur le plan offensif, elle qui a pris le deuxième rang au pays avec 18,7 points par rencontre. Elle s’est également avérée l’une des joueuses les plus complètes au Canada, se classant parmi le top 10 de SIC pour les assistances, les vols de ballon et les lancers francs.

La meneuse de jeu vedette est aussi devenue la première basketteuse de son institution à être élue joueuse par excellence de la conférence SUA et s’est retrouvée sur la première équipe d’étoiles de SIC. Au-delà de ses exploits sportifs, Anderson a également trouvé son chemin au plan académique, elle qui étudie aujourd’hui en sociologie.

« L’opportunité d’évoluer sur le circuit de SIC est la meilleure chose qui est survenue jusqu’ici dans ma vie. Je suis très reconnaissante de pouvoir jouer à ce niveau et représenter Acadia, dit Anderson. Le basketball m’a permis de me sortir d’une situation difficile et d’atteindre l’université. Ça semble drôle à dire, mais le basketball est ma vie. Cette nomination pour le Prix BLG est pour moi une occasion de prouver que je suis non seulement une bonne joueuse, mais également une bonne personne à l’extérieur du terrain. »

« La venue de Paloma au Canada lui a permis de gagner en maturité, et aussi d’entreprendre une étape plus positive dans sa vie, dit Harvey. Elle possède un talent exceptionnel, cela fait l’unanimité. Mais le développement de Paloma comme personne et comme coéquipière est encore plus important. Elle est un bel exemple du pouvoir du sport, en particulier du sport au sein de SIC. »

Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ)

Mélodie Daoust

Université McGill

Sport: Hockey

Année d’admissibilité: 4

Programme académique: Éducation physique & Santé

Origine: Valleyfield, Qué.

Nouvelle année, nouvelle nomination au Prix BLG pour le puissant programme de hockey féminin de McGill. Et pour la première fois dans l’histoire de l’équipe, une athlète candidate pour la deuxième fois.

Prolifique joueuse de centre originaire de Valleyfield, Qué., Mélodie Daoust était également en lice en 2013, lorsque la volleyeuse Shanice Marcelle de UBC avait mérité le trophée Jim Thompson. L’impressionnante liste des anciennes candidates de l’équipe de hockey des Martlets inclut aussi les récipiendaires Ann-Sophie Bettez (2012) et Kim St-Pierre (2003), ainsi que les finalistes Katia Clément-Heydra (2014) et Charline Labonté (2009).  

À sa quatrième campagne avec McGill, Daoust a continué d’ajouter à son remarquable curriculum vitae sportif. Ce qui n’est pas peu dire pour une joueuse qui, à ses trois premières saisons avec l’équipe, avait déjà été élue recrue de l’année et joueuse de l’année de SIC, en plus de se retrouver parmi les étoiles canadiennes à deux reprises. Sans mentionner, bien sûr, ses exploits avec le programme national du Canada, qui incluent – entre autres – une médaille d’or aux Olympiques de Sotchi en 2014, l’argent au championnat du monde de 2015 et l’or à la Coupe des Nations en Allemagne en janvier dernier. 

Qu’à cela ne tienne, Daoust a de nouveau été nommée joueuse par excellence de la conférence québécoise et membre de la première équipe d’étoiles au pays cette saison après avoir décroché le titre des marqueuses du RSEQ grâce à un étincelant dossier de 18-16-34 en seulement 20 parties. L’étudiante en éducation physique âgée de 24 ans a dominé au Canada pour les buts (0,9) et les points (1,7) par match, s’est classée deuxième au pays et première au Québec avec cinq buts gagnants et, peut-être encore plus impressionnant, a participé à 62,9% des filets de McGill lors du calendrier régulier.

En séries, Daoust a inscrit cinq des 14 buts des siennes alors que les Martlets atteignaient la finale du RSEQ et le championnat de SIC.

« Je suis honorée d’avoir été choisie pour représenter le RSEQ parmi tant d’athlètes exceptionnels, dit l’attaquante de 5 pieds 6 pouces, qui s’était fait remarquée sur la scène internationale dès 2010 en marquant le but vainqueur en prolongation en finale du championnat du monde des moins de 18 ans. À McGill, j’ai profité d’un environnement qui m’a poussée à réussir, non seulement comme athlète mais aussi comme étudiante. Je me sens privilégiée de prendre part à nouveau à ce prestigieux événement. »

Peter Smith, un ancien entraîneur de l’équipe nationale qui a vu quatre de ses ouailles de McGill se tailler une place au sein de l’alignement olympique canadien au cours de la dernière décennie, considère Daoust comme l’une des meilleures à avoir porté l’uniforme des Martlets.

« Mélodie inspire ses coéquipières par son dévouement et son engagement, dit Smith. Elle travaille d’arrache-pied tant dans la salle de classe que sur la patinoire. Elle est une excellente capitaine qui peut transporter l’équipe sur ses épaules dans les moments cruciaux. »

 

Sports universitaires de l’Ontario (SUO)

Kylie Masse

Université de Toronto

Sport: Natation

Année d’admissibilité: 2

Programme académique: Kinésiologie

Origine: LaSalle, Ont.

À sa deuxième campagne seulement avec les Varsity Blues, Kylie Masse a connu l’une des meilleures saisons dans l’histoire de la natation universitaire canadienne. Une année qui est devenue encore plus mémorable le 6 avril, lorsque l’athlète de 20 ans s’est qualifiée pour ses premiers Jeux olympiques grâce à un chrono record de 59,06 secondes au 100 mètres dos aux essais nationaux.

Évidemment, les observateurs réguliers de la natation canadienne ne sont pas surpris par ses succès. Après tout, la native de LaSalle, Ont., avait déjà fait beaucoup de vagues l’an dernier alors qu’elle avait été choisie nageuse de l’année de la conférence SUO à sa saison recrue, avant de récolter sept médailles en autant d’épreuves à sa première présence aux championnats de SIC.

Quelques mois plus tard en Corée du Sud, Masse a fait sentir sa présence au niveau international en remportant l’or dans son épreuve de prédilection aux Universiades d’été.

À sa deuxième saison universitaire, la nouvelle olympienne s’est avérée quasiment imbattable, amassant 18 victoires en six compétitions au sein de sa conférence avant d’établir six records de SUO et deux records canadiens en petit bassin aux championnats de SUO. Elle devait toutefois garder le meilleur pour la fin.

À la fin février, Masse a atteint le podium de SIC dans chacune de ses sept épreuves pour une deuxième année de suite en route vers le titre de nageuse par excellence. L’étudiante en kinésiologie a terminé la rencontre nationale avec quatre médailles d’or et trois d’argent, incluant trois victoires et autant de records des championnats dans les finales de dos. Au 50 dos, elle a abaissé son propre standard canadien en petit bassin lors des préliminaires (26,72) avant de fracasser le record en grand bassin en finale (27,84). Ses performances ont aidé la formation féminine de l’U de T à décrocher une première bannière de SIC depuis 1997.

« La natation est un élément important dans ma vie et je suis reconnaissante d’avoir l’opportunité de poursuivre mon rêve tout en étudiant à l’Université de Toronto. Mes entraîneurs Byron (MacDonald) et Linda (Kiefer) et mes coéquipières ont vraiment contribué à mon développement non seulement comme nageuse, mais aussi comme étudiante-athlète, dit Masse. Ce fut une saison mouvementée depuis l’été dernier et cette nomination s’ajoute à cette année extraordinaire. »

En 37 saisons à la barre, l’entraîneur-chef des Varsity Blues, Byron MacDonald, a dirigé de nombreux nageurs de classe mondiale incluant Elizabeth Warden, récipiendaire du Prix BLG en 2002 et olympienne en 2004.

« L’amélioration de Kylie depuis son arrivée au sein de notre programme est remarquable, dit MacDonald. Elle est passée de la 200e place au monde au top 10 en seulement deux ans. Son travail acharné a définitivement payé. Elle aime nager, aime son équipe, et elle est l’athlète de classe mondiale la plus humble que vous allez jamais rencontrer. »

Association sportive universitaire de l’ouest canadien (ASUOC)

Iuliia Pakhomenko

Université Thompson Rivers

Sport: Volleyball

Année d’admissibilité: 4

Programme académique: Maîtrise en administration des affaires

Origine: Donetsk, Ukraine

Lorsqu’il est question d’athlètes ayant changé le visage de leur équipe, il est difficile de trouver meilleur exemple que la volleyeuse Iuliia Pakhomenko.

L’attaquante ukrainienne de 5 pieds 11 pouces a quitté son pays natal en 2012 en direction du Michigan et de l’Université Northwood (NCAA division II) avant de transférer à Thompson Rivers à l’automne 2014. À l’époque, elle se joignait à un programme qui venait de connaître deux saisons consécutives de 0-22.

Tel que l’espérait l’entraîneur-chef Chad Grimm, sa nouvelle-venue internationale a eu un impact immédiat sur le WolfPack. Lors des débuts de Pakhomenko, l’équipe a terminé avec un dossier respectable de 10-14 au sein de l’ultra-compétitive conférence Canada-Ouest et a raté les séries par seulement deux places. Le Pack a poursuivi sa progression en 2015-2016, atteignant le plateau des .500 (12-12) pour se qualifier pour les éliminatoires.

Pakhomenko vient d’une famille de sportifs, sa mère, Elena, étant une ancienne joueuse de handball, alors qu’un de ses cousins évolue sur le circuit de soccer professionnel en Autriche. Ses gênes athlétiques ont été en évidence à sa deuxième saison à Thompson Rivers alors qu’elle a dominé au pays pour les attaques marquantes par manche (4,67), le total de frappes payantes (425), les points par set (5,5), le total de points (496,5) et les as (50). Avec un incroyable total de 1009 attaques en 24 matchs, elle s’est avérée la joueuse la plus utilisée au Canada lors du calendrier régulier.     

Après avoir été élue sur la deuxième équipe d’étoiles canadienne à sa première campagne à Kamloops, l’ex-membre de la formation nationale junior de l’Ukraine a été nommée joueuse de l’année de SIC cette saison, et est maintenant la toute première étudiante-athlète de TRU en lice pour le Prix BLG. Pas mal pour une joueuse qui s’est retrouvée sur la touche pendant six mois à sa première saison à Northwood suite à une grave blessure au genou.

« Le volleyball a changé ma vie. J’ai compris que la discipline et le travail étaient payants. Plus important toutefois, le sport m’a permis de quitté mon pays ravagé par la guerre pour une meilleure vie et une éducation de qualité en Amérique du Nord, a dit Pakhomenko, qui s’est récemment mariée et a entamé les démarches afin de devenir citoyenne canadienne. Mes coéquipières et mes entraîneurs sont devenus ma nouvelle famille, puisque la mienne est si loin. »

« J’ai le plaisir de côtoyer Iuliia comme athlète et comme personne depuis deux ans. Au départ timide et renfermée, elle est aujourd’hui une meneuse au sein de notre équipe. Elle est également devenue une excellente étudiante au MBA, elle qui éprouvait des difficultés en anglais il y a à peine quatre ans, dit Grimm. Iuliia possède une éthique de travail inégalée dans le gymnase, sur le court et dans ses études. Elle a transformé notre programme. »

FINALISTES MASCULINS PRIX BLG 2015-2016 (Trophée Doug Mitchell)

Sport universitaire de l’Atlantique (SUA)

Jordan Murray

Université du Nouveau-Brunswick

Sport: Hockey

Année d’admissibilité: 3

Programme académique: Administration des affaires

Origine: Riverview, N.-B.

Au sein d’une équipe ayant connu un succès inégalé ces dernières années en hockey masculin de SIC, Jordan Murray s’est établi comme un meneur et la pierre angulaire de l’une des meilleures brigades défensives au pays.

Originaire de Riverview, N.-B., Murray s’est joint au puissant programme de UNB à l’automne 2013 après un passage de trois ans dans la LHJMQ avec Acadie-Bathurst et Drummondville. Retenu sur l’équipe d’étoiles des recrues de SIC à ses débuts universitaires, l’arrière de 6 pieds 1 pouce et 205 livres s’est retrouvé sur la première unité canadienne de rêve au terme de chacune des deux dernières campagnes et est devenu cette saison le premier membre des Varsity Reds à être nommé défenseur par excellence de SIC.

Pas mal pour un joueur qui a déjà été retranché de son équipe Midget AAA.

Bien qu’il y ait de nombreux défenseurs de qualité sur le circuit de SIC, il aurait été difficile pour le panel d’ignorer Murray cette saison. L’étudiant en administration des affaires a non seulement excellé dans sa propre zone, lui qui a affiché un différentiel de +24 et a aidé UNB a présenter la deuxième meilleure fiche défensive au pays, il a également terminé à égalité au premier rang parmi les arrières de la conférence SUA avec 28 points en 27 parties.

Le brio de Murray a été en évidence au championnat de la Coupe Université à Halifax, là où les Varsity Reds ont dominé leurs adversaires par 12-2 au total de trois rencontres pour décrocher un cinquième titre national en 10 ans. 

Parmi ses plus importantes influences, Murray mentionne son grand-père âgé de 73 ans, Fred Murray, qui a accompagné régulièrement son petit-fils à ses pratiques et à ses matchs dans sa jeunesse et qui fait aujourd’hui le trajet entre sa résidence de la région de Moncton jusqu’à Fredericton pour chaque partie locale de UNB, tout comme il se rendait à Bathurst pour les rencontres du Titan.

« Sans le sport, je ne sais pas où je serais aujourd’hui. Je ne peux m’imaginer être à l’université sans jouer au hockey, dit Murray, qui a représenté les étoiles de SIC en décembre dernier lors d’une série de deux matchs contre les espoirs de l’équipe nationale junior du Canada à Toronto. J’espère continuer à jouer pendant plusieurs années, que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe. Je veux atteindre le plus haut niveau possible. »

Le patineur de 23 ans est le troisième hockeyeur de UNB à se retrouver en lice pour le Prix BLG après Hunter Tremblay, finaliste en 2010, et Rob Hennigar, récipiendaire en 2008 et aujourd’hui entraîneur associé chez les V-Reds.

« Le talent de Jordan lui permet de se démarquer. Il est très intelligent, dit Hennigar. Jordan aime s’amuser, mais une fois sur la patinoire il est ultra compétitif et veut réussir à tout prix. Il encourage sans cesse ses coéquipiers à performer au meilleur de leurs habiletés. » 

Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ)

Guillaume Asselin

Université du Québec à Trois-Rivières

Sport: Hockey

Année d’admissibilité: 3

Programme académique: Administration des affaires

Origine: Québec, Qué.

À sa troisième saison avec les Patriotes, Guillaume Asselin a accompli un exploit peu banal en dominant au pays tant pour les buts que pour les points grâce à un dossier de 27-20-47 en 28 matchs de calendrier régulier, ce qui lui a valu le titre de joueur de l’année de SIC. Bien que cette récolte soit impressionnante, elle ne constitue pas une surprise pour ceux qui suivent de près la carrière du hockeyeur originaire de Québec.

L’ailier droit de 5 pieds 11 pouces et 195 livres s’est joint à l’UQTR en janvier 2014 après avoir disputé 11 parties professionnelles avec Greenville dans la Ligue de la Côte Est. Il a depuis conservé une moyenne de 1,6 point par rencontre avec les Patriotes, incluant 23 en 12 affrontements de saison régulière en 2013-2014 et 34 en 25 sorties à sa deuxième campagne. Le 6 février dernier, il récoltait le 100e point de sa carrière universitaire à sa 63e partie, atteignant le plateau grâce à une brillante performance de six points. 

Asselin avait auparavant porté les couleurs de Montréal et Chicoutimi au cours d’un stage de cinq ans dans la LHJMQ, amassant 306 points en 331 matchs réguliers.

L’étudiant en administration des affaires a été simplement sensationnel cette saison. Outre son titre national des marqueurs, il a pris le premier rang au pays avec six buts gagnants, dont trois en prolongation. Il a également amassé au moins un point dans 14 matchs de suite et a connu une séquence de 10 filets en cinq rencontres au cours de laquelle il a enregistré des tours du chapeau consécutifs. 

Grâce en grande partie à leur attaquant vedette, les Patriotes ont été l’équipe la plus prolifique au Canada pour une deuxième année de suite avec une moyenne de 5,00 buts par partie et ont présenté le meilleur dossier au pays lors du calendrier régulier (24-3-1). Ils ont ajouté sept gains en autant de sorties lors des séries de SUO pour remporter la Coupe Queen’s et se qualifier pour le championnat de SIC pour une 20e fois.

Personne n’a été surpris en décembre dernier lorsqu’Asselin a été retenu sur l’équipe d’étoiles de SIC pour une série de deux duels face aux espoirs de l’équipe canadienne junior à Toronto.

« J’ai chaussé des patins pour la première fois à quatre ans, et ce grâce à mon grand-père, dit le franc-tireur de 23 ans, qui est le premier finaliste de l’UQTR pour le Prix BLG. J’ai dû faire face à de nombreux défis et sacrifices au fil des ans, comme le fait de quitter le nid familial à l’âge de 16 ans. Mais si j’avais à refaire ces choix, je n’y changerais rien. »

« Guillaume a entamé la saison avec la ferme intention d’exceller dans sa conciliation du sport aux études, dit le pilote trifluvien Marc-Étienne Hubert. Cette nomination et son titre de joueur par excellence du SIC démontrent qu’il a atteint ses objectifs. Nous sommes fiers de le voir représenter les Patriotes sur la scène nationale. »

Sports universitaires de l’Ontario (SUO)

Stephen Maar

Université McMaster

Sport: Volleyball

Année d’admissibilité: 4

Programme académique: Sciences humaines (histoire & science politique)

Origine: Aurora, Ont.

En janvier 2012, après avoir été courtisé par les meilleurs programmes de volleyball masculin au nord et au sud de la frontière, Stephen Maar a accepté une bourse d’études complète à l’Université d’Hawaii. Qui pouvait le blâmer? Les palmiers et une équipe de pointe de la NCAA… le rêve devenu réalité. Quelques mois plus tard toutefois, l’espoir alors âgé de 17 ans a changé d’idée et a décidé de demeurer au Canada pour s’aligner avec les Marauders.

Une décision qui allait changer le visage du programme de McMaster, et qu’il n’allait pas regretter.

Au cours des quatre dernières campagnes, les Marauders ont terminé au sommet du classement de SUO à chaque année, remportant 73 de leurs 78 duels de calendrier régulier, et ont décroché quatre titres de conférence consécutifs. Ils ont atteint le podium de SIC à chaque saison, incluant deux médailles d’argent et deux de bronze, soit les quatre meilleurs résultats de leur histoire.

La campagne 2015-2016 était spéciale pour McMaster, qui allait accueillir la 50e édition du championnat de SIC. Bien qu’ils aient finalement échoué de peu dans leur tentative de remporter un premier titre national, s’inclinant en finale contre Trinity Western, les Marauders n’ont pas été déçus par leur attaquant vedette de 6 pieds 7 pouces, qui a brillé tout au long de la saison.

Maar a dominé en Ontario pour les attaques marquantes (4,29) et les points (5,0) par manche en route vers le titre de joueur par excellence de SUO et une place sur la première équipe d’étoiles canadienne. Malgré une blessure à une cheville en fin de saison, il a élevé son jeu d’un cran devant ses partisans lors du championnat de SIC, conservant une moyenne de 5,30 frappes payantes et 6,4 points par set en trois parties.

Le natif d’Aurora, Ont., qui s’apprête à obtenir son diplôme en histoire, espère maintenant faire carrière en Europe. Il ne devrait pas manquer d’intérêt envers un espoir professionnel dont l’expérience internationale inclut déjà une médaille d’argent au championnat des moins de 21 ans NORCECA en 2012, le championnat du monde junior en 2013, ainsi que la Coupe Pan Am en 2015 avec l’équipe senior B du Canada, là où Maar a été nommé meilleur attaquant.

« Mon passage à McMaster représente la période de croissance la plus importante de ma vie. Je me suis développé physiquement et mentalement, et pour ce qui est volleyball, au niveau stratégique, dit Maar. Mac sera toujours ma deuxième maison. C’est un énorme privilège de représenter cette institution qui m’a tant donné. »

« Stephen est un attaquant naturel, athlétique et puissant. Son service est également excellent et a été chronométré à 109 kilomètres par heure, dit l’entraîneur-chef des Marauders Dave Preston. Cette année, il a établi des records d’équipe pour les attaques et les points en une saison. Il est un joueur exceptionnel et encore meilleur comme coéquipier. »

Association sportive universitaire de l’ouest canadien (ASUOC)

Andrew Buckley

Université de Calgary

Sport: Football

Année d’admissibilité: 5

Programme académique: Kinésiologie

Origine: Calgary, Alb.

Affirmer qu’Andrew Buckley vient de connaître deux années exceptionnelles est un euphémisme, c’est le moins qu’on puisse dire. Tellement que l’armoire à trophées du natif de Calgary risque de déborder s’il remporte le Prix BLG.

Retour en arrière : À l’automne 2014, le prolifique quart-arrière était devenu le premier footballeur de l’histoire de SIC à remporter le trophée Hec Crighton (joueur de l’année) et le prix Russ Jackson (football, études, service communautaire) au cours de la même saison. Il s’agissait de sa deuxième conquête consécutive du prix Russ Jackson.

Retour à 2015 : Quelques mois avant sa cinquième et dernière campagne universitaire, Buckley a mérité sa première nomination au Prix BLG et, quelques jours plus tard, était choisi par Calgary lors du repêchage de la LCF avant de disputer deux rencontres présaison avec l’équipe de sa ville natale. Avec les Dinos à l’automne, il a récolté son deuxième trophée Hec Crighton en plus d’être retenu parmi le Top 8 académique canadien, devenant du coup le premier étudiant-athlète à recevoir les deux honneurs la même année.

A-t-on mentionné qu’il a été nommé athlète masculin de l’année de la Ville de Calgary deux fois de suite?

Buckley s’est assuré que son dernier tour de piste avec les Dinos en 2015 serait mémorable. Tout en menant sa troupe à un calendrier régulier de 8-0, il a établi un record de SIC pour les verges par la passe en une saison (3162) et un nouveau standard de Canada-Ouest pour le pourcentage de passes complétées (72,0), tout en conservant le meilleur ratio au pays pour les touchés et les interceptions (19-1). Son offensive a inscrit des records d’équipe pour les points (471 – record de Canada-Ouest), les touchés, les verges aériennes et les verges au total.

Étudiant exceptionnel en kinésiologie dont le service communautaire va de l’aide aux sans-abris au centre-ville de Calgary à un voyage humanitaire au Guatemala, Buckley va obtenir ce printemps une cinquième mention au tableau d’honneur académique de SIC. À court terme, il participera à son deuxième camp avec les Stampeders.

« Mon objectif a toujours été de devenir médecin comme mes parents. J’espère être accepté en médecine, dit l’athlète de 22 ans. Cependant, j’ai la chance d’évoluer pour mes Stampeders cet été. Ce sera une décision déchirante si je dois choisir, mais pour l’instant mon cœur me dit de donner une chance au football professionnel. Je pourrai toujours compléter ma médecine une fois ma carrière de joueur terminée. »

« Andrew est un étudiant-athlète exceptionnel qui vise l’excellence dans tout ce qu’il entreprend, dit l’entraîneur-chef des Dinos Wayne Harris Jr. Tant sur le terrain qu’à l’extérieur, il est un joueur d’équipe. Il a mérité le respect de tous et a représenté de façon exceptionnelle notre programme de football et l’Université de Calgary. Nous sommes très fiers de lui. »

À propos des prix BLG

Les prix BLG ont été créés en 1993 afin d’honorer les meilleurs athlètes féminin et masculin provenant d’universités affiliées à Sport interuniversitaire canadien (SIC). Les prix sont basés sur les réalisations sportives, l’esprit sportif et le leadership. Chacune des 56 institutions de SIC choisit une athlète féminine et un athlète masculin de l’année. Parmi ceux-ci, une athlète et un athlète sont retenus par chacune des quatre associations régionales: Sport universitaire de l’Atlantique (SUA), le Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ), Sports universitaires de l’Ontario (SUO) et l’Association sportive universitaire de l’ouest canadien (ASUOC). Pour être admissible, un athlète doit avoir évolué sur le circuit de SIC pendant au moins deux ans et ne peut être un ancien récipiendaire du prix BLG.

Tous les candidats reçoivent une bague commémorative en or et une montre Timex – le fournisseur officiel de SIC – et les gagnants méritent un trophée et une bourse de 10 000 $ afin de poursuivre des études supérieures dans une université canadienne. Les gagnants sont choisis par la Fondation athlétique canadienne (FAC), un conseil d’administration sans but lucratif mis sur pied afin de gérer les prix BLG et protéger l’intégrité du processus de sélection. Le conseil de la FAC est composé de 19 membres provenant de cinq villes canadiennes et représentant des sociétés et organisations canadiennes déterminées à offrir aux athlètes universitaires canadiens la reconnaissance qu’ils méritent.

À propos de Borden Ladner Gervais S.E.N.C.R.L., S.R.L

Borden Ladner Gervais S.E.N.C.R.L., S.R.L. (BLG) est un grand cabinet juridique canadien qui offre à ses clients une gamme complète de services, principalement en droit des affaires, litige commercial et arbitrage ainsi que propriété intellectuelle. BLG est l’un des premiers cabinets juridiques en importance au pays; il compte plus de 725 avocats, agents de propriété intellectuelle et autres professionnels dans 5 grandes villes du Canada. BLG répond aux besoins de ses clients, que ce soit en matière de litige, de financement ou d’enregistrement de brevets et de marques de commerce. Pour plus d’information, veuillez visiter blg.com.

À propos de Sport interuniversitaire canadien

Sport interuniversitaire canadien est l’organisme national de régie du sport universitaire au Canada. Chaque année, plus de 12 000 étudiantes et étudiants athlètes et 700 entraîneurs en provenance de 56 universités et quatre associations régionales sont en compétition pour l’obtention de 21 championnats canadiens dans 12 sports différents. SIC offre également de nombreuses opportunités au niveau international à travers les Universiades d’hiver et d’été, ainsi que nombre de championnats mondiaux universitaires. Pour de plus amples informations, visitez www.cis-sic.ca ou suivez-nous sur:

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