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Nicholas Bennett planned to use the Tokyo 2020 Paralympic Games as an opportunity to gain valuable experience.

As the youngest member of the Canadian team in Tokyo, Bennett left the Games with four Canadian records and a wealth of unexpected experience.

In 2019, the 18-year-old from Parksville, B.C,. moved to the High Performance Centre – Québec in Montreal to train under Head Coach Mike Thompson. When COVID-19 hit in 2020, Thompson helped Bennett navigate the many challenges posed by the pandemic.

For his outstanding performances this season, Bennett was named Swimming Canada’s Breakout Performer of the Year (Paralympic Program).

“It’s a big honour just to be noticed a bit more,” Bennett said. “[The Games] were my second international meet, so having an award be given after that is massively humbling.”

Thompson, who has been at the helm of the Montreal-based Para swimming program since 2015, is excited to see how Bennett improves in the coming years.

“We just really wanted to get the Paralympic experience under his belt,” Thompson said. “I really think Nick’s best performances are ahead of him and they’re probably closer to 2024 than to 2020.”

Bennett was diagnosed with autism spectrum disorder when he was three. After doing water therapy and swim lessons as a kid, Bennett went into competitive swimming like his older sister Haley. Bennett now competes in the S14 category for swimmers with intellectual impairments.

The 2021 Olympic Swimming Trials conflicted with the Para Swimming 2021 World Series in Berlin. As a result, some Canadian Para swimmers had to send in training logs and video recordings to be selected to the team.

Despite the adapted selection process, Thompson was confident in Bennett’s abilities.

“We had very little stress when they were selecting the team because he was swimming well during practice,” Thompson said. “He looked good and he was hungry.”

To help prepare Bennett prepare for the Games, Thompson and the HPC – Québec team held as many time trials as possible to simulate a racing environment. Bennett was grateful for the opportunity to race in time trials but explained that there is no real replacement for actual racing.

“There’s a lot more motivation to race somebody that you know will push you instead of yourself,” Bennett said. “I’m hungry for a race.”

This hunger was reflected in Bennett’s swims in Tokyo. Bennett was a finalist in three of the four events he raced, placing fifth in the 100-m breaststroke SB14, sixth in the 200-m freestyle S14, and seventh in the 200-m individual medley S14.

“I’ve always tried to live more in the moment and see how things go day-by-day,” Bennett said. “I was not expecting my success at the Paralympics.”

Thompson added that Bennett getting to race people he has never met or has not raced in a few years helped him at the Games. Bennett’s results were a welcome surprise.

“We were kind of hoping that we would get one of two finals to see what those finals were like,” Thompson said. “We never in a million years expected that Nick would be within striking distance of a medal for two of those finals so we definitely over-exceeded expectations, which is pretty exciting leading into the next quad.”

When asked about a favourite moment from his breakout season, both Thompson and Bennett shared the same memory following the 200-m individual medley in Tokyo.

“Nick put himself in a position where he gave literally everything he had and I don’t think I’ve ever seen anyone do that before,” Thompson said. “We met in the back hallway and I gave him a huge hug. That’s definitely one of my favourite moments from coaching,”

“I have to say that was probably the most emotional I got during the Games or in the past couple months,” Bennett said. “It was really the finale of the 2020-2021 season.”

Nathan White
Senior Manager, Communications, Swimming Canada
Gestionnaire supérieur des communications, Natation Canada
t. +1 613-260-1348 x2002 | m. +1 613-866-7946 | nwhite@swimming.ca

Nicholas Bennett avait prévu d’utiliser les Jeux paralympiques de Tokyo 2020 pour acquérir une expérience précieuse.

En tant que plus jeune membre de l’équipe canadienne à Tokyo, Bennett a quitté les Jeux avec quatre records canadiens et une foule d’expériences inattendues.

En 2019, le nageur de 18 ans, originaire de Parksville, en Colombie-Britannique, a déménagé à Montréal pour s’entrainer au Centre de haute performance – Québec (CHP-Québec) sous la direction de l’entraineur-chef, Mike Thompson. Lorsque la COVID-19 a frappé en 2020, Thompson a aidé Bennett à relever les nombreux défis posés par la pandémie.

Pour ses performances exceptionnelles cette saison, Bennett a été nommé révélation de l’année de Natation Canada pour le programme paralympique.

« C’est un grand honneur d’être reconnu un peu plus, dit Bennett. [Les Jeux] étaient ma deuxième participation à une compétition internationale, alors le fait de recevoir un prix pour ça est une énorme leçon d’humilité. »

Thompson, qui est à la tête du programme de paranatation de Montréal depuis 2015, est impatient de voir comment Bennett s’améliorera au cours des prochaines années.

« Nous voulions juste qu’il ait une expérience paralympique en poche, explique Thompson. Je pense vraiment que les meilleures performances de Nick sont à venir et elles sont probablement plus proches de 2024 que de 2020. »

Bennett a été diagnostiqué avec un trouble du spectre de l’autisme à l’âge de trois ans. Après avoir suivi des cours de thérapie aquatique et de natation pendant son enfance, Bennett s’est lancé dans la natation de compétition, comme sa sœur aînée Haley. Il participe maintenant aux compétitions dans la classe S14, réservé aux nageurs ayant une déficience intellectuelle.

Les Essais olympiques de natation de 2021 tombaient en même qu’un évènement de la Série mondiale de paranatation de 2021 qui se déroulait à Berlin. C’est pourquoi certains paranageurs canadiens ont dû envoyer leurs journaux d’entrainement et des vidéos pour être sélectionnés au sein de l’équipe.

Malgré le processus de sélection adapté, Thompson avait confiance dans les capacités de Bennett.

« Nous n’avons pas été très stressés lors de la sélection de l’équipe, car il nageait bien en entrainement, souligne Thompson. Il paraissait en forme et avait faim. »

Pour aider Bennett à se préparer en vue des Jeux, Thompson et l’équipe du CHP-Québec ont organisé autant d’essais chronométrés que possible pour simuler un environnement de compétition. Bennett était reconnaissant d’avoir l’occasion de participer à des courses contre la montre, mais il a expliqué que rien ne peut remplacer la course elle-même.

« Il y a beaucoup plus de motivation à rivaliser contre quelqu’un dont vous savez capable de vous pousser plutôt que contre vous-même, note-t-il. J’ai faim quand je fais une course. »

Cette faim s’est reflétée dans les courses de Bennett à Tokyo. Bennett a été finaliste dans trois des quatre épreuves qu’il a disputées, se classant cinquième au 100 m brasse SB14, sixième au 200 m nage libre S14 et septième au 200 m quatre nages individuel S14.

« J’ai toujours essayé d’être dans le moment présent et de voir comment les choses se passent au jour le jour. Je ne m’attendais pas à ma réussite aux Jeux paralympiques. »

Thompson a ajouté que le fait que Bennett puisse courir contre des personnes qu’il n’a jamais rencontrées ou qui n’ont pas couru depuis quelques années l’a aidé aux Jeux. Les résultats de Bennett ont été une belle surprise.

« Nous espérions un peu que nous aurions une des deux finales pour voir à quoi elles ressemblaient, explique Thompson. Jamais nous n’étions attendus à ce que Nick passe à un doigt d’une médaille lors de deux de ces finales, alors nous avons assurément surpassé nos attentes, ce qui est très stimulant pour le prochain cycle quadriennal. »

Lorsque nous leur avons demandé quel était leur moment préféré de cette saison exceptionnelle, Thompson et Bennett ont tous deux partagé le même souvenir après le 200 m quatre nages individuel à Tokyo.

« Nick s’était mis dans une position où il avait littéralement tout donné, et je ne pense pas n’avoir jamais vu quelqu’un faire cela auparavant, explique Thompson. Nous nous sommes rencontrés dans le couloir, et je l’ai serré fort dans mes bras. C’est certainement l’un de mes moments préférés en tant qu’entraineur. »

« Je dois dire que c’est probablement le moment le plus émouvant que j’ai eu pendant les Jeux ou au cours des deux derniers mois, dit Bennett. C’était vraiment la finale de la saison 2020-2021. »

Nathan White
Senior Manager, Communications, Swimming Canada
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