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Swimming Canada

Margaret Mac Neil didn’t know what to expect from herself heading into last summer’s Tokyo Olympics. 

The 21-year-old London, Ont., native was considered a medal contender after winning the 100-metre butterfly at the 2019 FINA World Championships in Gwangju, Korea, but her training and competition schedule for the Olympics had been disrupted by COVID-19.

“I probably would have had more swimming goals time wise, and medal wise, if we had a normal year going into it,” said Mac Neil. “But not really being able to compete with the best in the world for a year leading up to it, I wasn’t really sure what to expect.

“The pressure was on after winning in 2019.”

Mac Neil responded by claiming Canada’s first gold medal at the Tokyo Games, breaking her own Canadian record to win the 100 fly. She then captured silver as a member of the 4×100-m freestyle relay and bronze with the 4×100-m medley team that set a Canadian record.

“To come home with a full set (of medals) was definitely amazing,” said Mac Neil. 

In December Mac Neil managed another dominating performance at the FINA World Swimming Championships (25-m) in Abu Dhabi, winning four gold medals and setting a world record in the 50-metre backstroke.

For her achievements in 2021 Mac Neil has been named Swimming Canada’s Female Swimmer of the Year. 

“It’s really an honour, it means a lot to me,” said the University of Michigan swimmer. “Swimming in Canada, especially for females, had increased since Rio and I think we’re still on an upward trajectory. 

“There are so many good swimmers on the team and just being able to swim with them, and learn from them, that means a lot to me.”

The last several months have been a whirlwind for Mac Neil. In October she received the Best Female Athlete of Tokyo award from the Association of National Olympic Committees. Attending the award ceremony in the port city of Heraklion on the Greek island of Crete along with her mother was a highlight.

“It was exciting to go and meet other athletes that I didn’t get to meet at the Olympics,” she said. “It was a really special award.”

Recently, she was named NCAA Big Ten Championships Swimmer of the Meet for the third time after winning three individual races and two relay titles.

“Honestly it’s been a lot,” said Mac Neil. “Overwhelming for sure. Coming off my Olympic success and then going back to school in the fall was really hard.

“I’m kind of struggling to see what I want to do next but I’m definitely enjoying this right now and enjoying the ride.”

The Tokyo Games, which were delayed a year due to the global COVID-19 pandemic, were Mac Neil’s first Olympics. Strict safety protocols meant family and friends couldn’t attend and restricted athletes’ movements.

“It was weird with the Olympics the way it was,” she said. “It took more than a couple of months to get back to normal. 

“I think my life has changed a lot for the better for sure, but it’s been an adjustment.”

Finding herself a role model for young athletes is something Mac Neil is still adapting to.

“It really hits me when little kids come up to me and want pictures and autographs and things like that,” she said. “I remember looking up to swimmers. People would come speak at my club or do camps. That always made a big impact on me.

“I want to do the same things for the next generation.”

Mac Neil’s career followed a steady progression with her competing at World Junior and Junior Pan Pacific Championships. She was named Swimming Canada’s Breakout Swimmer of the Year in 2019, the year she made her first senior national team.

Being an Olympic and world champion now makes her one of the swimmers to watch at any competition.

“People started looking at me differently back in 2019 at the worlds,” she said. “I just popped on the scene. I had been a relatively good development swimmer for the Canadian team at that point but I hadn’t really pushed out to the senior level.

“After winning at the Olympics and setting a world record, I feel I am very familiar to them. I try not to think about that too much and put too much pressure on myself. I always do the best I can do. I just want to know I put my full effort in.”

Mac Neil took a month off training after the Olympics. The break helped her physically but “my emotional mental health probably took a lot longer,” she said.

She’s already focusing on this summer’s FINA World Championships in Budapest, Hungary, and the Commonwealth Games in Birmingham, England. The Paris 2024 Olympics are also on the horizon.

“Paris is definitely a long-term goal so I’m always working toward that,” she said. “I want to take time and think about the milestones and the meets along the way.

“I always enjoyed competing. I love swimming but I swim to compete. I love the entire sport but competing really is the most fun for me.”

Swimming Canada

Margaret Mac Neil ne savait pas à quoi s’attendre d’elle-même avant les Jeux olympiques de Tokyo l’été dernier.

Originaire de London, en Ontario, la nageuse de 21 ans était considérée comme une prétendante à une médaille après avoir remporté le 100 mètres papillon aux Championnats du monde de la FINA 2019 à Gwangju, en Corée, mais son entrainement et son calendrier de compétition pour les Jeux olympiques avaient été perturbés par la COVID-19.

« J’aurais probablement eu plus d’objectifs de natation du point de vue du temps et des médailles si nous avions eu une année normale avant d’y aller, déclare-t-elle. Mais comme je n’ai pas été en mesure de rivaliser contre les meilleures au monde pendant l’année précédant la compétition, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre.

« Je sentais une pression après ma victoire de 2019. »

Mac Neil a répondu en décrochant la première médaille d’or du Canada aux Jeux de Tokyo, battant son propre record canadien pour remporter le 100 m papillon. Elle a ensuite remporté l’argent en tant que membre de l’équipe du relais 4 × 100 m libre et le bronze avec l’équipe du relais 4 × 100 m quatre nages tout en établissant un record canadien.

« Revenir à la maison avec un ensemble complet [de médailles] était vraiment incroyable », ajoute Mac Neil.

En décembre, elle a réussi une performance dominante aux Championnats du monde de natation de la FINA (25 m) à Abou Dhabi, où elle a gagné quatre médailles d’or et a établi un record du monde au 50 m dos.

Pour ses réalisations en 2021, Mac Neil a été nommée nageuse de l’année par Natation Canada.

« C’est vraiment un honneur, ça signifie beaucoup pour moi », déclare la nageuse qui évolue pour l’Université du. « La natation au Canada, surtout chez les femmes, a connu un essor depuis Rio, et je pense que nous sommes toujours sur une trajectoire ascendante.

« Il y a tellement de bonnes nageuses au sein de l’équipe. Et le simple fait de pouvoir nager avec elles et d’apprendre d’elles revêt beaucoup d’importance pour moi. »

Les derniers mois ont été vraiment mouvementés pour Mac Neil. En octobre, elle a reçu le prix de la meilleure athlète féminine de Tokyo décerné par l’Association des comités nationaux olympiques. Assister à la cérémonie de remise des prix en compagnie de sa mère dans la ville portuaire d’Héraklion, sur l’île grecque de Crète, a été un moment fort pour elle.

« J’étais très fébrile d’aller rencontrer d’autres athlètes que je n’ai pas eu l’occasion de rencontrer aux Jeux olympiques, raconte-t-elle. C’était un prix très spécial. »

Récemment, elle a été nommée nageuse par excellence des championnats Big Ten de la NCAA Big Ten pour une troisième fois, après avoir gagné trois épreuves individuelles et deux titres de relais.

« Honnêtement, c’est beaucoup », dit Mac Neil. « C’est sûr que c’est énorme. Retourner à l’école à l’automne tout de suite après mes réalisations olympiques a été très difficile.

« J’ai un peu de difficulté à imaginer ce que je veux faire après, mais je profite vraiment de ce que je fais en ce moment et je m’amuse. »

Retardés d’un an en raison de la pandémie mondiale de COVID-19, les Jeux de Tokyo étaient la première participation de Mac Neil aux Jeux olympiques. Les protocoles de sécurité stricts empêchaient la famille et les amis d’y assister et limitaient les déplacements des athlètes.

« C’était bizarre comment les Jeux olympiques se déroulaient, dit-elle. Il a fallu plus de deux mois pour revenir à la normale.

« Je pense que ma vie a beaucoup changé en mieux, c’est sûr, mais il a fallu s’adapter. »

Mac Neil est encore en train de s’adapter à son rôle de modèle pour les jeunes athlètes.

« Ça me touche vraiment lorsque des enfants viennent me voir et veulent des photos, des autographes et d’autres choses du genre, explique-t-elle. Je me souviens d’avoir moi-même eu des nageurs comme modèles. Ils venaient parler dans mon club ou donnaient des camps. Ils ont toujours eu une grande influence sur moi.

« Je veux faire la même chose pour la relève. »

Mac Neil est en constante progression. Elle a participé aux championnats du monde juniors et panpacifiques juniors. Elle a été nommée nageuse de l’année par Natation Canada en 2019, année où elle a obtenu sa première sélection au sein de l’équipe nationale sénior.

Être championne olympique et du monde fait maintenant d’elle l’une des nageuses à surveiller lors de toute compétition.

« Les gens ont commencé à me regarder différemment en 2019 aux mondiaux, raconte-t-elle. Je suis tout simplement sortie de nulle part. J’avais été une nageuse de niveau développement relativement bonne pour l’équipe canadienne à ce moment-là, mais je ne m’étais pas vraiment imposée au niveau sénior.

« Après avoir gagné aux Jeux olympiques et établi un record du monde, j’ai l’impression de leur être très familière. J’essaie de ne pas trop y penser et de ne pas me mettre trop de pression. Je donne toujours le meilleur de moi-même. Je veux juste savoir que j’ai fait tous les efforts possibles ».

Mac Neil a pris un mois de repos après les Jeux olympiques. Cette pause l’a aidée physiquement, mais elle a expliqué qu’elle a eu besoin de « beaucoup plus de temps pour retrouver [sa] santé mentale et émotive ».

Elle se concentre déjà sur les Championnats du monde de la FINA qui auront lieu cet été à Budapest, en Hongrie, et sur les Jeux du Commonwealth à Birmingham, en Angleterre. Les Jeux olympiques de Paris 2024 sont également à l’horizon.

« Paris est de toute évidence un objectif à long terme, donc j’y travaille toujours. Je veux prendre le temps de penser aux étapes importantes et aux compétitions qui jalonnent mon parcours.

« J’ai toujours aimé la compétition. J’aime la natation, mais je nage pour la compétition. J’aime tout de la natation, mais la compétition est vraiment ce qui me plait le plus. »