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Cheryl Bernard getting tested before entering the Curling Bubble

Cheryl Bernard getting tested before entering the Curling Bubble

Calgary, February 26, 2021- It stings just a little that Cheryl Bernard can see her own house from her hotel room window, knowing that she is forbidden from returning home for the next six weeks. The 2010 Olympic silver medalist and TSN curling analyst recently spent three days quarantined in that hotel room, barred from leaving its confines to ensure that she is free from COVID-19. 

Despite crawling the walls after three days, Bernard says it’s all worth it to bring the sport of curling alive again after a dark year of COVID-19. “The quarantine period was weird for all of us,” she says. “But you know you’re doing it to keep everyone else safe. You feel responsible and you want this to succeed.”  

Strict rules and protocols have been devised to follow – by Bernard and everyone else in the Canadian curling universe – to uphold the inviolability and success of the much heralded and anticipated curling bubble. 

By mid-summer 2020, Curling Canada could see the writing on the wall – the pandemic would surely not recede in time to resurrect a normal 2020-21 season. Time to pivot.  

For the first time ever, it sought proposals from prospective cities that could safely host a lengthy succession of tournaments while ensuring a microscopic virus would not invade the boundaries of a meticulously crafted bubble.

“Calgary was the clear winner,” says Danny Lamoureux, Director of Club Development and Event Operations at Curling Canada. With a location set, the herculean task of planning the bubble began.

A copy of the NHL’s playoff bubble protocols served as a blueprint, while a consortium of stakeholders, including Curling Canada, WinSport, and CSI Calgary, worked together with provincial and federal governments to earn permission to forge ahead. As the pieces fell into place it became clear that many actors would play a role. “We’re curlers, not medical people,” says Lamoureux. “We had to figure out how to test and where.”

That’s when Curling Canada contacted DynaLIFE Medical Labs and partnered with CSI Calgary to operate and manage the testing and screening protocols.

“CSI Calgary has gone above and beyond to make this happen for us,” proclaims Lamoureux. An estimated 2000 tests will be administered to athletes, coaches and volunteers who enter the bubble and CSI Calgary developed a screening app for twice-daily use by all bubble dwellers.

The consequences for breaking the rules are severe – anyone caught not following protocols will be disqualified from competition until after the 2022 season, which means no shot at the Olympics. “So far it’s been magnificent,” exclaims Lamoureux. “There’s a sense of responsibility to everyone else in the bubble, and to think about everyone else coming in after you.” 

If all goes according to plan, the bubble will stay afloat for 83 days. Most athletes will enter and stay for 12-13 days at a time. Bernard says some of the athletes are rusty from a lack of on-ice practice and there has been some inconsistent play in the early days. But still, they are all thrilled and incredibly grateful to be here, safely, and relish the opportunity to get back on the ice.  

“When they step on the ice, they are home,” says Bernard. “The rest of the time is awkward, but they have to embrace the environment to find whatever positives they can. It’s all about how you frame it.”

 After endless months of silent rinks and still rocks, being home, on the ice, even if it’s a strange bubble away from home, is the only place curlers want to be. 

The Scotties Tournament of Hearts concludes this weekend and the Tim Hortons Brier begins Friday, March 5th. https://www.curling.ca/2021brier/ To learn more about the Canadian Sport Institute Calgary, visit www.csicalgary.ca

About the Canadian Sport Institute CalgaryThe Canadian Sport Institute Calgary provides world-class training environments in Alberta. With the support of our partners, we deliver leading sport science and medicine, coach education and life services to help Canada’s high-performance athletes achieve Olympic and Paralympic podium performances. For more information, please visit www.csicalgary.ca

Media Contact:Annie Gagnon, Manager, Communicationsc: 613.262.9644e: agagnon@csicalgary.ca

Cheryl Bernard getting tested before entering the Curling Bubble

Calgary, 26 février 2021 – C’est quelque peu suant que Cheryl Bernard puisse voir sa propre maison depuis la fenêtre de sa chambre d’hôtel, sachant qu’il lui est interdit de rentrer chez elle pendant les six prochaines semaines. La médaillée d’argent olympique 2010 et analyste de curling de TSN a récemment passé trois jours en quarantaine dans cette chambre d’hôtel, interdite de sortie pour s’assurer qu’elle est exempte de COVID-19.

Bien qu’elle ait dû ramper sur les murs après trois jours, Bernard affirme que cela vaut la peine de redonner vie au sport du curling après une année sombre de COVID-19. “La période de quarantaine a été bizarre pour nous tous”, dit-elle. “Mais vous savez que vous le faites pour assurer la sécurité de tous les autres. Vous vous sentez responsable et vous voulez que cela réussisse”.  

Des règles et des protocoles stricts ont été élaborés – pour Bernard et tous les autres membres du curling canadien – pour préserver l’inviolabilité et le succès de la bulle du curling tant attendue.  

Au milieu de l’été 2020, Curling Canada pouvait voir que la pandémie ne reculerait sûrement pas à temps pour ressusciter une saison normale de 2020-21. C’était le moment de pivoter.    

Pour la toute première fois, ils ont sollicité des propositions de villes potentielles qui pourraient accueillir en toute sécurité une longue succession de tournois tout en s’assurant qu’un virus microscopique n’envahisse pas les limites d’une bulle méticuleusement conçue.  

“Calgary a clairement été la ville pour nous”, déclare Danny Lamoureux, directeur du développement des clubs et opérations des événements de Curling Canada. Une fois l’emplacement défini, la tâche herculéenne de planification de la bulle a commencé.

Une copie des protocoles de la bulle des séries éliminatoires de la LNH a servi de plan directeur, tandis qu’un consortium de parties prenantes, dont Curling Canada, WinSport et l’ICS de Calgary, a travaillé avec les gouvernements provincial et fédéral pour obtenir la permission d’aller de l’avant. Au fur et à mesure que les pièces se mettaient en place, il est devenu évident que de nombreux acteurs joueraient un rôle.

“Nous sommes des joueurs de curling, pas des médecins”, explique M. Lamoureux. “Nous devions trouver comment tester et où.” C’est alors que Curling Canada a contacté DynaLIFE Medical Labs et s’est associé avec l’ICS de Calgary pour gérer les protocoles de test et de dépistage.  

“L’ICS de Calgary est allée au-delà des attentes pour que cela se produise pour nous”, proclame M. Lamoureux. On estime à 2000 le nombre de tests qui seront administrés aux athlètes, entraîneurs et personnels qui entrent dans la bulle. L’ICS de Calgary a mis au point une application de dépistage qui sera utilisée deux fois par jour par tous les participants de la bulle.

Les conséquences d’une infraction aux règles sont graves : toute personne surprise à ne pas suivre les protocoles sera disqualifiée de la compétition jusqu’à la fin de la saison 2022, ce qui signifie qu’elle ne pourra pas participer aux Jeux olympiques. “Jusqu’à présent, c’est magnifique”, s’exclame M. Lamoureux. “Il y a un sens de responsabilité envers tout le monde dans la bulle, et de penser à tous ceux qui viennent après vous”.  

Si tout se passe comme prévu, la bulle restera à flot pendant 83 jours. La plupart des athlètes y entreront et y resteront pendant 12-13 jours à la fois. Selon Bernard, certains athlètes sont rouillés par le manque d’entraînement sur la glace et le jeu a été irrégulier au début. Mais ils sont tous ravis et incroyablement reconnaissants d’être ici, en toute sécurité, et de profiter de l’occasion pour retourner sur la glace

“Quand ils mettent le pied sur la glace, ils sont chez eux”, dit Bernard. “Le reste du temps, ils doivent s’adapter à l’environnement pour trouver tout ce qu’ils peuvent de positif. Tout dépend de la façon dont vous approchez la situation”.

 Après des mois interminables de patinoires silencieuses et des pierres immobiles, être chez soi, sur la glace, même si c’est une étrange bulle loin de chez soi, est le seul endroit où les curleurs veulent être.  

Le Tournoi des Cœurs Scotties se termine cette fin de semaine et le Tim Hortons Brier débute vendredi le 5 mars. https://www.curling.ca/2021brier/

Pour en savoir plus sur le Canadian Sport Institute Calgary, visitez le site www.csicalgary.ca

À propos de l’Institut canadien du sport de Calgary

L’Institut canadien du sport de Calgary offre des environnements d’entraînement de classe mondiale en Alberta. Avec le soutien de nos partenaires, nous agissons comme leader dans la science du sport et de ses soins médicaux ainsi que dans la formation des entraîneurs et des services de vie quotidienne pour aider les athlètes de haut niveau du Canada à atteindre les podiums olympiques et paralympiques.

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