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At 14, Summer McIntosh was the youngest member of the Canadian team competing at the Tokyo 2020 Olympic Games, but she managed some veteran results. 
 
Individually, McIntosh finished fourth in the 400-metre freestyle, lowering the Canadian record twice. She placed ninth in the 200-m freestyle and 11th in the 800-m free, setting a national age group record.
 
McIntosh also was part of the 4×200-m freestyle team that finished fourth in Canadian record time. Her opening-leg swim broke the Canadian age group record.
 
“The small goals I had led up to my big goals,” said McIntosh, who trains at the High Performance Centre – Ontario. “It was just as important to me to tick off those boxes to be able to reach my full potential in the overall season.
 
“I’m just so happy with last year’s accomplishments. What I did to get there, it’s all about the process.”
 
In recognizing her head-turning performance McIntosh has been named Swimming Canada’s Breakout Performer of the Year and the Junior Female Swimmer of the Year.
 
“It means a lot to me to win such a special award,” she said. “After the crazy year it’s been, it’s like the cherry on the top of all my accomplishments. I’m so grateful for it.”
 
The Tokyo Olympics were delayed a year due to the global COVID-19 pandemic. Safety protocols put in place for the Games prevented family and friends from attending and restricted athletes’ activities.
 
While the experience was “really unreal” it still created fond memories for McIntosh.
 
“Whether it was the really small things like walking to the dining hall every day or going in those little automated buses, or the big ones where I got to see some really fast swimmers on deck and meet them for the first time,” she said. “I’ll always hold those memories with me forever.”
 
As an encore to her Olympic debut, McIntosh earned her first individual medal at a major international senior event with a silver in the 400-m freestyle at the FINA World Swimming Championships (25m) in Abu Dhabi. She also swam the opening leg of the gold-medal winning 4×200-m freestyle relay and was part of the 4×100-m medley relay that took silver.
 
“To see a bunch of fast swimmers again in a different kind of setting than the Olympics was a really cool experience,” she said. “To be able to step on the podium three times at a world championship meet was amazing, especially to do it alongside some of the people I train with every day.”
 
McIntosh benefits from training at the Ontario centre with a group of Olympic medal winners that includes Penny Oleksiak, Kylie Masse, Margaret Mac Neil and Sydney Pickrem.
 
“I’ve learned a lot from my coaches and my teammates about how to recover during meets, what to eat, or how much to sleep,” she said. “I have so many small and big things I’ve learned that I’ll carry with me through my swimming career.”
 
Being surrounded by a strong support system both in the pool and at home has helped McIntosh cope with the scrutiny success can bring.
 
“I just try to focus on myself and not focus on the attention I get from the accomplishments I’ve achieved,” she said.   
 
“When it comes to my teammates, my coaches, my friends and my family, all of them really keep me grounded and happy. I’m just so grateful for that, to be surrounded by such amazing people.”
 
The Olympics were the first step on a journey for McIntosh. That road leads to this summer’s FINA World Championships in Budapest, Hungary, and the Commonwealth Games in Birmingham, England, then eventually the Paris 2024 Olympics.
 
Her experiences in Tokyo have given McIntosh a map she plans to follow on her trek.
 
“Last year my goal was to make the Olympic team but going into the Olympics I didn’t have any specific goals,” she said. “I think the best way for me to mentally get prepared for those big meets is not to set goals. Obviously, I want to perform well (but) for me if I were to set goals it could almost have been limiting in some ways.
 
“Going into this year, and the following year, I’ll just try to keep improving and just trust the process. Focus more on the process goals and step-by-step goals like working on my technique or working on my turns, stuff like that rather than big goals.”
 
As long as she keeps doing the small things right, McIntosh is confident success will follow.
 “I think focusing on small goals is better than focusing on one big goal,” she said. “That’s what I try to focus on.”

À 14 ans, Summer McIntosh était la membre la plus jeune de l’équipe canadienne qui concourait aux Jeux olympiques de Tokyo 2020, mais elle a réussi des résultats dignes d’une athlète d’expérience.

Aux épreuves individuelles, McIntosh a terminé quatrième au 400 m libre, abaissant deux fois le record canadien. Elle s’est classée 9e au 200 m libre et 11e au 800 m libre, tout en établissant un record national de groupe d’âge.

McIntosh a également fait partie de l’équipe du 4 × 200 m libre qui a terminé au quatrième rang et a inscrit un record canadien. Première à nager, elle a battu le record canadien par groupe d’âge.

« Les petits objectifs que je m’étais fixés ont mené à mes grands objectifs », déclare McIntosh, qui s’entraine au Centre de haute performance (CHP) de l’Ontario. « Il était tout aussi important pour moi de cocher ces objectifs de ma liste pour pouvoir atteindre mon plein potentiel dans la saison globale.

« Je suis tellement heureuse de ce que j’ai accompli l’an dernier. Ce que j’ai fait pour y arriver, c’est une question de processus. »

En reconnaissance de sa performance inouïe, McIntosh a été nommée révélation de l’année et nageuse junior de l’année par Natation Canada.

« [Gagner] ce prix aussi spécial est important pour moi, dit-elle. Après la folle année que j’ai vécue, c’est comme la cerise sur le gâteau de toutes mes réalisations. Je suis extrêmement reconnaissante. »

Les Jeux olympiques de Tokyo 2020 ont été retardés d’un an en raison de la pandémie mondiale de COVID-19. Les protocoles de sécurité mis en place pour les Jeux empêchaient la famille et les amis d’y assister et limitaient les activités des athlètes.

Bien que l’expérience ait été « vraiment irréelle », McIntosh en garde quand même de beaux souvenirs.

« Qu’il s’agisse des petites choses comme marcher jusqu’à la cafétéria tous les jours ou monter à bord de ces petits autobus automatisés, ou des grandes choses, comme voir des nageurs très rapides à la piscine et les rencontrer pour la première fois. Je chérirai ces souvenirs pour toujours. »

En guise de rappel de sa première performance olympique, McIntosh a ensuite remporté sa première médaille individuelle dans une grande compétition internationale sénior en décrochant l’argent au 400 m libre aux Championnats du monde de natation de la FINA (25 m) à Abou Dhabi. Elle a également nagé la première portion du relais 4 x 200 m libre pour lequel l’équipe a remporté la médaille d’or et faisait partie de l’équipe médaillée d’argent au relais 4 x 100 m quatre nages.

« Revoir un groupe de nageurs rapides dans un cadre différent de celui des Jeux olympiques a été une expérience vraiment cool. Monter trois fois sur le podium à des championnats du monde était extraordinaire, surtout aux côtés de certaines des personnes avec lesquelles je m’entraine tous les jours. »

McIntosh profite également du fait qu’elle s’entraine au CHP-Ontario avec un groupe de médaillés olympiques qui comprend Penny Oleksiak, Kylie Masse, Margaret Mac Neil et Sydney Pickrem.

« J’ai beaucoup appris de mes entraineurs et de mes coéquipiers sur la façon de récupérer pendant les compétitions, ce qu’il faut manger ou combien de temps il faut dormir, explique-t-elle. J’ai appris tellement de petites et de grandes choses qui me suivront tout au long de ma carrière de nageuse. »

Le fait d’avoir un solide groupe de soutien, tant dans la piscine qu’à la maison, a aidé McIntosh à faire face à l’attention soutenue qui vient parfois avec la réussite.

« J’essaie simplement de me concentrer sur moi-même et non sur l’attention que je reçois des réalisations que j’ai accomplies », dit-elle.  

« Pour ce qui est de mes coéquipiers, de mes entraineurs, de mes amis et de ma famille, ils me permettent de garder les pieds sur terre et d’être heureuse. Je suis tellement reconnaissante de cela, d’être entourée de personnes aussi extraordinaires. »

Les Jeux olympiques étaient la première étape de son voyage. McIntosh poursuivra son chemin jusqu’aux championnats du monde de la FINA de cet été, prévus à Budapest, en Hongrie, et aux Jeux du Commonwealth à Birmingham, en Angleterre, puis finalement aux Jeux olympiques de Paris 2024.

Son expérience à Tokyo lui a donné une carte qu’elle compte suivre dans son périple.

« L’année dernière, mon objectif était de faire partie de l’équipe olympique, mais avant les Jeux, je n’avais pas d’objectifs précis, explique-t-elle. Je pense que la meilleure façon pour moi de me préparer mentalement à ces grandes compétitions est de ne pas me fixer d’objectifs. Évidemment, je veux y réussir des performances [mais] à mon avis, si je m’étais fixé des objectifs, je me serais peut-être limitée à certains égards.

« Pour cette année et l’année prochaine, je vais simplement essayer de continuer à m’améliorer et simplement faire confiance au processus. Je vais essayer de me concentrer davantage sur les objectifs du processus et les objectifs par étape, comme travailler ma technique ou travailler mes virages, des choses comme ça, plutôt que sur les grands objectifs. »

Tant qu’elle continue à bien faire les petites choses, McIntosh est convaincue que les réussites vont suivre.

« Je pense qu’il vaut mieux se concentrer sur de petits objectifs que sur un grand objectif. C’est là-dessus que j’essaie de me concentrer. »