Les athlètes féminines sont environ 1,5 fois moins susceptibles d’être retirées du jeu immédiatement après une commotion cérébrale que les athlètes masculins. Ce manque d’uniformité dans la prise en charge immédiate peut contribuer à l’augmentation du nombre et de la gravité des symptômes observés chez les athlètes féminines ayant subi une commotion cérébrale. Que retenir de tout cela? Veillez à retirer un athlète du jeu lorsque vous soupçonnez une commotion cérébrale!