Avez-vous déjà réfléchi à la dynamique entre le genre, le colonialisme de peuplement et le sport au sein des communautés autochtones ? Par exemple, la crosse, qui était autrefois une pratique autochtone traditionnelle, a été adoptée par les colons blancs, ce qui en a altéré la signification culturelle. Les attentes sexospécifiques au sein des institutions coloniales, comme les pensionnats, ont également imposé des idéaux qui ont une incidence sur la participation des femmes autochtones à des sports comme la crosse. Pour créer des espaces sportifs inclusifs, il est important non seulement de reconnaître la culture indigène et de remettre en question les structures coloniales, mais aussi de donner la priorité à l’inclusion des sexes.