La recherche sur les commotions cérébrales présente des lacunes importantes en ce qui concerne la race et l’origine ethnique. Une étude récente a révélé que sur 854 articles, seuls 15,5 % faisaient état de la race, 7,6 % de l’appartenance ethnique et 84,4 % ne mentionnaient ni l’une ni l’autre. Pour mieux comprendre l’impact des commotions cérébrales sur des populations diverses, les chercheurs devraient inclure des participants divers dans leurs études et rendre compte avec précision des caractéristiques démographiques des participants à l’étude.