Utilisez des guillemets pour trouver les documents qui contiennent l'expression exacte : "aérodynamique ET essais"

Les entraîneurs font état de nombreux obstacles associés à la certification au Canada, notamment le processus chronophage, l’inaccessibilité des lieux et le coût des cours. De nombreux entraîneurs ne perçoivent pas la certification comme un moyen de faire progresser leur carrière. Le SIRC a interviewé Joseph Gurgis, professeur adjoint à l’Université Nipissing, sur ce qui favorise et ce qui freine la certification des entraîneurs au Canada.

Au cours des dernières années, les politiques et les programmes sportifs ont mis l’accent sur la promotion de la diversité au sein des clubs et des organisations. Pourtant, les changements sont lents. Dans cet article, les chercheurs examinent les mentalités qui sous-tendent la résistance consciente ou inconsciente à l’augmentation de la diversité dans les organisations sportives et donnent des conseils pratiques pour faire face à cette résistance.

Les organismes de sport canadiens élaborent des documents directeurs et des politiques qui constituent une feuille de route vers l’état de fonctionnement souhaité au sein de leur organisme. Mais la mise en œuvre de cette feuille de route peut s’avérer difficile. L’équité, la diversité et l’inclusion sont nécessaires pour obtenir des changements significatifs, surtout au niveau communautaire où la grande majorité des Canadiens pratiquent le sport. En apportant des changements à la base, on peut faire en sorte que tous les Canadiens aient accès à un sport sûr et de qualité et qu’ils aient un sentiment d’appartenance.

Au cours des dernières années, la sensibilisation accrue au racisme et à la discrimination dans la société et dans le secteur du sport a forcé une réflexion nécessaire sur les politiques et les pratiques. À mesure que la compréhension de l’équité, de la diversité et de l’inclusion évolue, l’examen du passé et du présent des politiques et des programmes sportifs canadiens peut faire la lumière sur l’avenir de l’inclusion dans le sport.

Les règles, politiques et règlements préventifs sont un moyen pour les organisations sportives de protéger leurs athlètes contre les blessures. Par exemple, le port du casque en ski et en snowboard a réduit le risque de lésion cérébrale, l’élimination des mises en échec dans les groupes d’âge du hockey a réduit le risque de commotion cérébrale et de nouvelles preuves montrent que les protège-dents protègent mieux les athlètes dans les sports de contact.

Le SIRCuit du printemps 2022 est maintenant disponible !

Le SIRCuit est conçu pour mettre en lumière des recherches et des idées importantes pour faire progresser le système sportif canadien. Alors que la Politique canadienne du sport doit être renouvelée en 2023, cette édition est la première d’un SIRCuit en deux parties qui explorent l’avenir du sport au Canada. Dans cette édition, des chercheurs, des praticiens et des décideurs dans le domaine du sport et de l’activité physique partagent des données, des idées et des meilleures pratiques pour aider à créer des pratiques et des politiques sportives inclusives pour tous les Canadiens.


Points saillants


Au cours des dernières années, le racisme et la discrimination mis en lumière dans l’ensemble de la société et dans le secteur du sport ont imposé une réflexion nécessaire sur les politiques et les pratiques. Si les concepts de diversité, d’équité et d’inclusion ont été introduits dans les politiques gouvernementales il y a plusieurs décennies, le contexte a considérablement évolué. Aujourd’hui, ces termes ont une nouvelle signification, à la lumière des événements survenus dans la société au sens large et de nos réponses à ceux-ci. Il est de nouveau urgent pour les intervenants du sport d’adopter de nouvelles politiques et de nouveaux programmes afin de provoquer un changement culturel qui permettra d’assurer que l’avenir du sport inclut tous les Canadiens. 

Dans cet article, nous examinons comment les politiques et les programmes de sport au Canada ont évolué et comment ils ont contribué au développement d’un sport sûr et inclusif pour tous les Canadiens. 

Le passé : Développement des politiques 

Dès 1971, le gouvernement du Canada a adopté une politique officielle de multiculturalisme afin de reconnaître la contribution de la diversité culturelle au tissu social canadien. L’objectif de cette politique était de promouvoir une citoyenneté inclusive. Au cours des décennies suivantes, l’accent a été mis sur le langage de l’exclusion sociale et le soutien de groupes spécifiques identifiés comme particulièrement vulnérables à la marginalisation économique et sociale, tels que les immigrants récents, les minorités visibles, les minorités religieuses, les minorités sexuelles, les peuples autochtones urbains et les personnes en situation de handicap. (Remarque : certains termes utilisés ci-dessus sont tirés de cette politique. Au fil du temps, les termes ont évolué pour refléter les mises à jour constantes du langage approprié et inclusif.) 

Au moment où la première Politique canadienne du sport a été approuvée par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux en 2002, les concepts d’inclusion sociale, d’équité et d’autres concepts similaires étaient régulièrement inclus dans les politiques et, peu après, dans la législation, dans la Loi sur l’activité physique et le sport (2003). 

Grâce à une collaboration et une consultation approfondies, et à plus de deux ans de travail, la première Politique canadienne du sport a reflété les intérêts et les préoccupations de 14 administrations gouvernementales, de la communauté sportive canadienne et d’innombrables autres intervenants du sport au Canada. Cette politique a introduit le principe directeur selon lequel « le sport est fondé sur l’équité et l’accès » : 

Le sport est accueillant et inclusif, offrant la possibilité de participer sans égard à lâge, au genre, à la race, à la langue, à lorientation sexuelle, au handicap, à la géographie ou aux circonstances économiques.

PCS 2002, p. 13

Bien que les consultations n’aient pas ciblé des groupes spécifiques, on a constaté un effort pour accorder une attention particulière aux questions d’inclusion et d’équité tout au long du processus de consultation et d’élaboration de la politique. Ce processus a accueilli et cherché à impliquer tous ceux qui ne se considéraient pas actuellement comme faisant partie de la communauté ou du système sportif, mais qui avaient le potentiel et le désir de contribuer.  

La première Politique canadienne du sport reflétait une nouvelle approche du leadership partagé et de la collaboration pour améliorer la participation, l’excellence, les capacités et l’interaction dans le sport. Le plan d’action qui l’accompagnait accordait la priorité à l’augmentation de la participation des femmes, des personnes en situation de handicap, des Autochtones et des minorités visibles. L’engagement de tous les gouvernements à l’égard d’une vision commune a constitué une étape importante dans l’alignement et l’engagement à faire progresser l’équité dans le sport au Canada.  

Une décennie plus tard, le renouvellement de la Politique canadienne du sport a adopté une approche plus forte. La Politique canadienne du sport (2012) (PCS 2012) a développé et intégré l’inclusion et l’accessibilité dans les valeurs et les principes de la politique : 

« La prestation du sport est accessible et équitable et reflète toute la gamme des intérêts, des motivations, des objectifs, des capacités et la diversité de la société canadienne. »

PCS 2012, p. 6

Le processus de consultation a introduit des questions ciblées concernant les populations sous-représentées et la participation au sport. De plus, il comprenait des questions sur l’expérience vécue des participants ainsi que sur la possibilité d’accéder aux programmes et services sportifs dans les deux langues officielles. Les réponses ont fourni des informations précieuses sur le sport inclusif et accessible, ainsi que sur la capacité et la probabilité de participation.  

Parmi les résultats importants, la plupart des participants à la consultation ont estimé que des efforts devaient être faits pour accroître la participation des groupes sous-représentés dans le sport. Ces groupes comprenaient notamment les Autochtones, les personnes racialisées, les femmes et les filles, les personnes en situation de handicap, les enfants et les jeunes, les nouveaux Canadiens et les personnes désavantagées sur le plan économique. Les participants à la consultation ont estimé qu’une participation accrue aurait un effet positif sur la santé, le renforcement de la communauté et le développement personnel. Cela renforcerait également la priorité de l’accessibilité du sport.  

Par conséquent, l’augmentation de la diversité a été identifiée comme un objectif politique et un résultat souhaité dans la PCS 2012 :  

« Possibilités offertes aux personnes issues de populations traditionnellement sous-représentées et/ou marginalisées de s’engager activement dans tous les aspects de la participation sportive, y compris les rôles de leadership. »

PCS 2012, p. 9

Les politiques de Sport Canada ont évolué selon une trajectoire similaire. Dans la décennie qui a suivi le lancement de la première Politique canadienne du sport, Sport Canada a introduit plusieurs nouvelles politiques ciblant les mêmes domaines d’inclusion et d’accès : 

Plus récemment, la Stratégie canadienne du sport de haut niveau 2019 (2019) a identifié 3 piliers visionnaires, dont l’un était une culture de haute performance basée sur l’intégrité, la confiance et l’inclusion. Cette stratégie identifie ce qui est maintenant connu sous le nom de Parcours de développement à long terme du participant autochtone et est un outil inclusif pour soutenir les participants autochtones dans le sport et les loisirs. 

Le présent : Mise en œuvre de la politique par l’entremise de programmes 

Quand la politique est liée au programme, c’est là que le sport inclusif peut se produire. La Politique canadienne du sport est mise en œuvre grâce à la collaboration, à l’engagement et à la détermination des gouvernements provinciaux et territoriaux, qui font progresser ce travail dans leurs domaines de compétence respectifs. Des accords bilatéraux entre le gouvernement fédéral et les 13 gouvernements provinciaux et territoriaux sont en place pour soutenir la politique en action. La participation inclusive au sport est l’objectif primordial des accords bilatéraux. Plus précisément, ils : 

Au niveau fédéral, la mise en œuvre de la politique du sport est assurée par les 3 programmes de financement de Sport Canada : le Programme d’accueil, le Programme d’aide aux athlètes, et le Programme de soutien au sport 

AWG Dene GamesLe volet des Jeux internationaux multisports pour les Autochtones et les personnes ayant un handicap – Programme d’accueil (JIMAPH) du Programme d’accueil est inclusif de par sa conception. Il offre des occasions de compétition aux groupes désignés sous-représentés au Canada qui font face à des obstacles systémiques à la participation sportive. Plus précisément, le volet des JIMAPH soutient l’organisation de quatre événements admissibles au Canada : les Jeux autochtones de l’Amérique du Nord, les Jeux d’hiver de l’Arctique, les Jeux olympiques spéciaux mondiaux et les Deaflympics.  

Le Programme d’aide aux athlètes offre des subventions aux athlètes canadiens de haut niveau admissibles, y compris les femmes et les filles, les athlètes ayant un handicap et ceux qui présentent un certain nombre de facteurs d’identité croisés. Sport Canada collabore avec les organismes nationaux de sport pour définir des critères d’évaluation objectifs et fondés sur le mérite pour les athlètes. 

Dans le cadre du Programme de soutien au sport, la politique a toujours été appliquée aux organismes admissibles et financés par le biais d’un financement de référence (anciennement appelé financement de base). Les organismes nationaux de sport, les organismes de services multisports et les centres canadiens du sport reçoivent un financement protégé afin de promouvoir un accès équitable à l’information pour les Canadiens dans les deux langues officielles, assorti de mesures de responsabilisation. Les organismes reconnus comme offrant des programmes et des services aux athlètes en situation de handicap reçoivent également un financement protégé à cette fin.   

Historiquement, bien que l’approche de Sport Canada en matière de programmes et de financement ait fourni une stabilité raisonnable pour soutenir les langues officielles et les athlètes en situation de handicap, elle a été reconnue comme insuffisante sur le plan du soutien au sport inclusif. Au cours des cinq dernières années, Sport Canada a envisagé de financer différemment, d’élargir ses programmes et de faire place à l’innovation. Il en résulte un changement et un investissement importants dans la création d’un système sportif plus diversifié, inclusif et équitable au Canada, conformément aux objectifs de la PCS 2012. 

Sport Canada commence à voir un effet significatif sur l’inclusion dans le sport à travers le Canada. Cela se fait par le biais d’un financement par projet pour soutenir les nouveaux organismes qui pilotent des programmes ou travaillent dans les communautés. De nouveaux fonds protégés sont également alloués aux bénéficiaires de financement existants. 

Voici des exemples de ce travail continu et inclusif : 

Au-delà du financement du programme, le ministre du Patrimoine canadien et le secrétaire parlementaire pour le Patrimoine canadien (Sport) ont tenu une assemblée générale sur le sport et une série de tables rondes sur le sport à l’automne 2020. Ils ont abordé les sujets suivants pour faire avancer les priorités du gouvernement du Canada en matière de diversité et d’inclusion :  

Ces discussions ont inclus des groupes de femmes, des organisations LGBTQ2+, des organisations autochtones, ainsi que des organisations sportives. Sport Canada a poursuivi la discussion en s’engageant avec des experts, notamment le Secrétariat fédéral de lutte contre le racisme et le Secrétariat LGBTQ2+. Ces engagements devaient avoir lieu avant d’entreprendre une série de consultations pour soutenir l’élaboration d’une stratégie sur l’équité, la diversité, l’inclusion et le sport pour tous. Les expériences vécues partagées dans le cadre des consultations et les données recueillies (par exemple, les données qualitatives des intervenants et les données désagrégées) feront en sorte que la prise de décisions fondée sur des preuves soit bien soutenue à l’avenir. Sport Canada utilisera les données recueillies pour évaluer comment mettre à jour, adapter ou améliorer ses politiques et ses programmes afin de répondre aux besoins identifiés des Canadiens et des Canadiennes. Il s’agit d’un changement important dans la façon dont les progrès seront mesurés et dans la façon dont le financement et les programmes seront offerts. Ce changement s’aligne sur l’évolution nécessaire pour donner la priorité à un sport sûr, accueillant et inclusif.  

L’avenir : Quelle est la prochaine étape? 

Ce nest que la pointe de liceberg du travail qui doit être accompli. Sport Canada reconnaît que le travail ne peut être fait en vase clos. Après tout, le sport canadien est un réseau complexe et dynamique de systèmes qui se croisent et qui intègrent le contexte, la géographie, les organismes, les personnes, les lieux et les infrastructures. En décembre 2021, la lettre de mandat du premier ministre à tous les ministres a fourni une orientation claire sur limportance dintégrer les points de vue des Canadiens dans lexamen de nos systèmes :  

« Nous devons continuer à nous attaquer aux profondes inégalités et disparités systémiques qui demeurent présentes dans le tissu central de notre société, y compris dans nos institutions de base. À cet effet, il est essentiel que les Canadiens de toutes les régions du pays se voient reflétés dans les priorités de notre gouvernement et dans notre travail. Dans votre rôle de ministre, je mattends à ce que vous incluiez et collaboriez avec diverses communautés, et que vous recherchiez activement et incorporiez dans votre travail les divers points de vue des Canadiens. Cela inclut les femmes, les peuples autochtones, les Noirs et les Canadiens racialisés, les nouveaux arrivants, les groupes confessionnels, les personnes en situation de handicap, les Canadiens LGBTQ2 et, dans les deux langues officielles. »  

Il s’agit d’une direction claire pour toutes les politiques au Canada dans les années à venir. Dans la lettre de mandat du ministre des Sports et du ministre responsable de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec, le premier ministre prend un engagement encore plus précis. Il souligne l’importance d’assurer « une approche stratégique holistique et équilibrée du développement du sport au Canada qui appuie la raison d’être et les objectifs de la Politique canadienne du sport, notamment l’amélioration de la santé et du bien-être de tous les Canadiens grâce au sport communautaire, l’accessibilité accrue aux programmes de sport, la réduction des obstacles et l’atteinte d’objectifs sociaux et économiques grâce à l’utilisation intentionnelle du sport. » 

Les travaux sont en cours en vue de développer la prochaine mouture de la Politique canadienne du sport en tenant compte des divers points de vue des Canadiens. La nature inclusive des engagements qui seront pris par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux contribuera à façonner l’avenir de la Politique canadienne du sport. L’environnement sportif a changé depuis l’élaboration et la publication des deux premières politiques. Cependant, le sport au Canada continue d’avoir besoin d’une politique pour harmoniser les activités des nombreux organismes qui composent le système sportif et pour créer une vision commune de l’avenir du sport. Remplissez le sondage sur le renouvellement de la Politique canadienne du sport pour donner votre avis.

L’intention de la Politique canadienne du sport est de continuer à servir de feuille de route pour progresser vers l’état souhaité du sport canadien. Elle s’appuie sur les données actuelles et sur les consultations menées auprès des parties prenantes autour de divers thèmes (dont la diversité, l’équité et l’inclusion). 

La mise en œuvre est le défi que doivent relever les décideurs politiques, les responsables de programmes et la communauté sportive canadienne en tant que système. En reconnaissant que la diversité est définie différemment selon les contextes, nous devons également reconnaître que l’équité, la diversité et l’inclusion sont des produits de la conception. Elles sont nécessaires pour voir des changements significatifs, surtout au niveau communautaire où la grande majorité des Canadiens pratiquent le sport. 

Il n’est pas facile de concevoir des programmes inclusifs. Il faut faire preuve d’intention et être à l’écoute des besoins de ceux que l’on souhaite servir. Il faut apprendre à avoir des conversations difficiles et honnêtes. Il faut de la souplesse et de l’innovation. Il faut être prêt à essayer et à échouer. Cela signifie qu’il faut utiliser le pouvoir et les privilèges individuels pour créer des espaces sûrs et accessibles pour que les Canadiens et Canadiennes qui méritent l’équité puissent s’engager dans le sport. Tout cela doit se faire en reconnaissant également que la Politique canadienne du sport est soutenue par des ressources limitées, qu’elle est bâtie sur le dos de bénévoles et qu’elle exige une sensibilité aux besoins uniques de chaque groupe. 

Il est certain que le langage de la diversité, de l’inclusion et de l’équité va continuer à évoluer. À mesure que cela se produira, de nouveaux termes et concepts décriront mieux les intentions. Ce qui importe le plus, c’est que le langage ne détourne pas l’attention de l’objectif essentiel qui est d’opérer des changements à la base pour que tous les Canadiens puissent avoir accès à un sport sûr et de qualité et avoir un sentiment d’appartenance.  

« Souvent, nous disons “ne fais pas ceci” ou “ne fais pas cela”, mais nous parlons rarement de “à quoi ressemble un environnement sportif sécuritaire” et “comment le rendre sécuritaire” », explique Kristin Noonan, gestionnaire de l’entraînement et du sport sécuritaire à Softball Canada. Apprenez-en davantage sur les stratégies créatives et engageantes que les organismes nationaux de sport utilisent pour faire avancer le mouvement du sport sécuritaire dans le SIRCuit.

Aujourd’hui, c’est la Journée de la loi Rowan ! Commémorée chaque année sur le dernier mercredi de septembre, la Journée de la loi Rowan sensibilise à la sécurité en matière de commotions cérébrales. Prenez le temps d’explorer et de partager ce que votre sport fait pour améliorer la sécurité des commotions cérébrales, par exemple, par le biais de ses politiques et procédures. N’oubliez pas que tout le monde contribue à rendre le sport plus sûr !

Au cours des dernières années, les organismes nationaux de sport ont mis en œuvre plusieurs stratégies pour faire progresser le sport sécuritaire et optimiser l’expérience sportive pour tous. Pour créer des environnements sportifs sûrs, accueillants et inclusifs, les principales stratégies comprennent l’élaboration et le renforcement des politiques afin de s’aligner sur des documents tels que le Code de conduite universel pour prévenir et contrer la maltraitance dans le sport (CCUMS) et le développement d’outils et de ressources créatifs pour faire passer le message du sport sécuritaire, et le faire perdurer!