Utilisez des guillemets pour trouver les documents qui contiennent l'expression exacte : "aérodynamique ET essais"

Saviez-vous que plus de 90 % de la couverture médiatique du sport au Canada est axée sur le sport masculin ? Bien que de nombreux Canadiens souhaitent regarder des sports féminins, il peut être difficile de trouver des chaînes qui les couvrent. Il est essentiel d’accroître la couverture médiatique des athlètes féminines pour promouvoir l’équité entre les sexes dans le sport canadien.

Le sport peut offrir aux réfugiés des occasions de créer des liens sociaux. Pour réussir à intégrer les réfugiés dans le sport, les organisations sportives ont besoin d’une approche active de la part des managers, des entraîneurs et des bénévoles. Un environnement positif et accueillant, un récit inclusif et le fait de faire en sorte que le club se sente sûr et amusant sont d’autres facteurs qui peuvent contribuer au succès.

Une incidence élevée des taux de blessures observée lors des épreuves para-alpines des Jeux paralympiques d’hiver de 2014 à Sotchi a mené à une collaboration étroite entre les responsables techniques du sport, les responsables des pays hôtes et le comité médical du CIP. Cette collaboration a conduit à des changements de règles, tels que des courses plus tôt dans la journée lorsque les conditions de neige étaient meilleures, qui ont considérablement réduit le taux de blessures aux Jeux paralympiques d’hiver de 2018.

Les obstacles particuliers que rencontrent les filles pour accéder au sport et à l’activité physique ont été renforcés par la pandémie de COVID-19. Les filles indiquent que le lien social est l’un des principaux avantages du sport. La création d’un environnement qui définit des attentes claires pour les interactions entre les participants et qui favorise un sentiment d’appartenance peut aider les organisations à retenir et à engager les filles dans les programmes de sport et d’activité physique.

Pour marquer la Journée mondiale de l’inclusion (10 octobre 2022), le SIRC a voulu mettre l’accent sur les renseignements relatifs aux communications inclusives dans le sport. Ce billet de blogue met l’accent sur les raisons pour lesquelles les administrateurs sportifs, les organisations sportives et les entraîneurs devraient améliorer leur degré d’inclusion, plus précisément dans toutes les façons dont ils communiquent. Il met également en évidence les moyens de vérifier les communications pour que tous les membres de leur public se sentent inclus, respectés, acceptés et valorisés.  

L’inclusion n’a rien à voir avec la rectitude politique. Tout le monde a le droit de communiquer de manière respectueuse, précise et équitable, plutôt que de se sentir différent, inférieur, dévalorisé, négligé ou exclu. 

Toute personne doit pouvoir accéder aux communications, sous une forme ou une autre, à moins que les communications ne soient destinées à un public spécifique. Par exemple, un message peut être pertinent uniquement pour les élèves du primaire qui sont déjà inscrits à un camp de soccer en juillet 2023 à Brandon, au Manitoba. 

Bien que les organisations adoptent des stratégies d’embauche et des plans de formation pour encourager une plus grande inclusion, il est possible de faire mieux. Les communications dans le sport sont un domaine dans lequel tout le monde peut améliorer l’inclusion, des entraîneurs aux administrateurs sportifs. Il ne s’agit pas seulement d’ajouter des pronoms à vos profils sur les médias sociaux et à vos signatures de courriel. Il faut aussi aller au-delà de l’utilisation de mots neutres.

Pourquoi l’inclusion est importante

Un enfant handicapé en fauteuil roulant joue au basket-ball sur la pelouse devant la maison comme les autres personnes, Style de vie d'un enfant spécial, Vie à l'âge de l'éducation des enfants, Concept d'enfant handicapé heureux.Les efforts visant à améliorer consciemment l’inclusion dans les communications sportives peuvent contribuer à réduire la fréquence à laquelle les microagressions, les préjugés et les partis pris sont introduits ou renforcés. Sans de tels efforts, les communications peuvent affecter négativement divers publics en fonction de leurs croyances, de leurs capacités, de leur genre, de la couleur de leur peau, de leur revenu, de leur éducation, de leur culture, de leur orientation sexuelle, de leur langue maternelle, de leur taille, de leur poids, de leurs antécédents ou d’autres identités. 

L’enjeu est de taille. Sans communication inclusive, vos messages risquent de ne pas atteindre ou de ne pas trouver d’écho auprès de certaines personnes ou de groupes communautaires entiers. Dans le pire des cas, vous risquez de manquer de respect à certaines personnes ou de leur nuire sans le vouloir.

Lorsque les administrateurs sportifs, le personnel des organisations ou les entraîneurs créent, partagent ou « aiment » des communications qui ne sont pas inclusives, leur public réagit de différentes manières. Le public peut négliger un faux pas s’il vous connaît bien. Mais même les partisans réagiront s’ils ont le sentiment d’être exclus ou méprisés de manière répétée. Ces publics peuvent :

Rendre les communications plus inclusives 

Un entraîneur et des joueurs de basket-ball BIPOC en réunion sur la ligne de touche d'un terrain de basket-ball.L’inclusion s’applique à tous les types de communication, tels que les courriels, les formulaires de consentement, les formulaires médicaux, les formulaires d’inscription, les diapositives de présentation, les sondages, les discours, les rapports annuels, les consultations, le contenu des sites Web, les messages sur les médias sociaux, les courriels, les vidéos, les lettres, la signalisation, les annonces, les fichiers d’aide, les transcriptions, les ordres du jour et les procès-verbaux des réunions, les rapports de données, les noms des équipes, tout.

Pour être inclusifs, les administrateurs, les organisations et les entraîneurs sportifs doivent être attentifs lorsqu’ils planifient leurs communications, avant qu’elles ne soient créées, approuvées ou partagées. Une partie de la planification peut consister à donner la priorité aux communications les plus fréquemment utilisées. Puis, après avoir amélioré ces communications, passez à d’autres types. Commencez par les courriels et le contenu des médias sociaux, puis examinez le contenu du site Web, les manuels, le matériel de formation, etc. 

Les signes indiquant que vos communications pourraient être plus inclusives peuvent être que vous utilisez des mots qui reflètent une vision dépassée des familles. Par exemple, il se peut que vous adressiez actuellement vos courriels aux « parents » plutôt qu’aux « parents et tuteurs » ou que vos formulaires comportent une ligne réservée à la « signature des parents ». Cela ne tient pas compte des enfants et des adolescents qui sont élevés par d’autres membres de la famille ou de la communauté, qui vivent en famille d’accueil ou dans un foyer collectif. 

Peut-être que l’expression « d’un océan à l’autre » apparaît dans vos messages, au lieu de « d’un des océans à un autre » pour tenir compte de tous les océans qui bordent le Canada (Arctique, Atlantique, Pacifique). Ou encore, vous faites référence à « il/elle » ou « son/sa » alors que vous pourriez éviter d’utiliser les pronoms de genre. Ou peut-être que vos mèmes et vos photos ne montrent que des personnes d’un seul genre, qui sont blanches et sans handicap. Si tel est le cas, quelles mesures pouvez-vous prendre?

Stratégies pour améliorer l’inclusion

Femme autochtone étudiant dans une bibliothèqueLes erreurs se produisent, le langage évolue et les données démographiques changent au fil du temps, de sorte que vous ne réussirez pas toujours à tout faire correctement. Ce qui compte, c’est que vous tiriez les leçons de vos erreurs et que vous vous efforciez de faire mieux. Demandez aux gens comment ils veulent qu’on s’adresse à eux et quels termes vous pouvez utiliser lorsque vous communiquez avec eux ou à leur sujet.

N’oubliez pas de tenir compte également de toutes les personnes qui communiquent en votre nom. Par exemple, un entraîneur adjoint peut envoyer des messages lorsque vous êtes en vacances ou une autre personne peut gérer les messages sur les médias sociaux pour votre organisation. Assurez-vous qu’ils sont tous au courant des mesures que vous prenez pour être plus inclusif. 

Exemples de stratégies :

D’autres conseils en matière d’inclusion sont disponibles dans les ressources à la fin de ce billet de blogue.

Tableau 1. Exemples de mots pour remplacer les mots non inclusifs