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Près de 40 % des athlètes LGBTQ+ déclarent avoir subi des mauvais traitements dans le cadre du sport. Il est donc important d’étudier les moyens d’accroître la reconnaissance et la diversité dans le monde du sport. Une étude récente examine les relations entre la sexualité des adultes, les mauvais traitements liés au sport et l’engagement sportif. Les résultats de l’étude suggèrent que des mesures supplémentaires sont nécessaires pour réduire les préjudices et offrir des environnements sportifs plus accueillants pour tous.

Le sport devrait être un espace inclusif pour tous, c’est pourquoi il est important que toutes les personnes se sentent incluses, indépendamment de leur race, de leur sexe, de leur appartenance ethnique, de leur orientation sexuelle, etc. Une étude récente met en évidence les niveaux élevés de mauvais traitements envers les personnes qui s’identifient à une minorité sexuelle et apporte une contribution importante à la compréhension de la sexualité, des mauvais traitements liés au sport et de l’engagement sportif des adultes.

De nombreuses raisons sont invoquées pour expliquer le manque de participation des Canadiens aux activités sportives. Selon Statistique Canada, le coût de la participation est un obstacle courant, cité par 11 % des personnes qui ne pratiquent pas de sport. Les Coréens (20 %), les Asiatiques occidentaux (20 %) et les Latino-Américains (17 %) étaient presque deux fois plus nombreux que les Canadiens non racialisés (10 %) à citer cet obstacle.

La recherche sur les jeunes athlètes féminines racialisées au Canada révèle qu’elles rencontrent des obstacles liés à leurs identités croisées et à la discrimination. Il est essentiel d’embrasser la diversité et de reconnaître leurs diverses identités pour améliorer leurs expériences sportives. Il est impératif que les organisations sportives révisent leurs approches pour mieux soutenir ces athlètes en luttant contre la discrimination et les stéréotypes tout en encourageant la diversité.

Les expériences positives, telles que l’appartenance et la maîtrise du sport et de l’exercice, ont un impact plus important sur le bien-être des adultes souffrant d’un handicap physique que le temps qu’ils consacrent au sport. Cette étude souligne l’importance de créer des environnements inclusifs et engageants et de prendre en compte les facteurs sociaux et environnementaux pour améliorer le bien-être global de cette population

Le mentorat dans le domaine du coaching est un processus dans lequel des entraîneurs expérimentés servent de modèles et d’enseignants pour les nouveaux entraîneurs afin de soutenir leur développement personnel et professionnel. L’organisation de programmes de mentorat pour les femmes entraîneurs peut être très bénéfique. Cependant, il est important de recruter les participantes au mentorat de manière ciblée. La recherche canadienne suggère que les programmes devraient envisager d’utiliser des stratégies de recrutement flexibles pour aider à intégrer plus d’entraîneurs féminins dans les programmes de mentorat et devraient prendre en compte les expériences uniques des entraîneurs féminins et les obstacles à l’entraînement pour créer des programmes de mentorat plus significatifs.

Afin de mieux comprendre l’appartenance au sport chez les personnes ayant un handicap intellectuel, l’équipe Sport et appartenance a rencontré vingt athlètes des Jeux olympiques spéciaux et a identifié trois thèmes abordés par les athlètes : (1) le soutien des alliés, (2) l’appartenance à l’équipe et (3) la possibilité de découvrir et de développer des intérêts.

Alors que l’on s’efforce de créer des espaces plus inclusifs pour tous, il manque encore un élément : l’égalité dans la représentation médiatique du sport. Avec plus de 90 % de la couverture médiatique du sport canadien axée sur le sport masculin, le gouvernement du Canada s’est engagé à atteindre l’équité entre les sexes dans le sport. Cet article du SIRC contient une collection de blogs axés sur les femmes canadiennes dans le sport.

La création d’un environnement social positif qui favorise intentionnellement un sentiment d’appartenance fait partie intégrante du maintien des filles dans le sport et l’activité physique.

Cette ressource est conçue pour les entraîneurs qui sont prêts à soutenir intentionnellement le sport équitable.

Elle appartient offre des recommandations pratiques pour créer des liens sociaux et mieux engager les filles dans les étapes Apprendre à s’entraîner et S’entraîner à s’entraîner du Cadre de développement à long terme dans le sport et l’activité physique (DLT).

Le sport peut contribuer à promouvoir la santé physique et mentale, à établir des liens sociaux et à favoriser l’intégration des nouveaux arrivants dans les communautés canadiennes. La recherche montre que les nouveaux arrivants font face à des obstacles uniques à la participation au sport, notamment le coût, le transport, la langue, l’accès à l’information, le racisme et les considérations religieuses ou culturelles.

Dans cet article, des nouveaux arrivants occupant des rôles de participantes et participants, de parents ou d’entraîneurs dans le système sportif canadien discutent des avantages, des défis et des possibilités offertes aux nouveaux arrivants en matière de sport.