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L’éducation sur les commotions cérébrales peut contribuer à améliorer les connaissances des athlètes sur les commotions cérébrales et leur attitude à l’égard du signalement d’une commotion cérébrale présumée à un entraîneur ou à un autre adulte. La recherche montre que l’éducation sur les commotions cérébrales peut être particulièrement efficace lorsqu’elle est dispensée de plusieurs manières, par exemple, par une vidéo et une présentation d’équipe. Lorsque vous planifiez l’éducation sur les commotions cérébrales pour votre équipe ou votre organisation, envisagez d’utiliser plusieurs stratégies, car cela peut conduire à une éducation plus complète et peut aider à renforcer les points les plus importants.

Les athlètes d’endurance féminines présentent un risque accru de syndrome de carence énergétique relative (RED). Les coureuses de fond ont la plus forte incidence de fractures de stress de tous les sports universitaires. Les recherches concernant la connaissance des REDs par les athlètes, les entraîneurs et les formateurs sportifs ont montré que les formateurs sportifs sont ceux qui connaissent le mieux le syndrome, alors que les athlètes le connaissent le moins. Cela suggère qu’une éducation dirigée par les athlètes est nécessaire.

La recherche sur le sport et l’activité physique peut rester confinée dans les pages des revues universitaires. L’application intégrée des connaissances est un moyen de s’assurer que cela ne se produise pas ! L’application no intégrée des connaissances implique une collaboration significative entre les chercheurs et les utilisateurs des connaissances pour aider à combler le fossé entre la recherche et la pratique.

Pour gouverner efficacement, un conseil doit mieux connaître ses membres et ses parties prenantes et comprendre leurs valeurs et leurs priorités. Ce n’est qu’après s’être concentré sur cette relation primaire que le conseil peut diriger. Une approche de type leadership d’intendance peut aider les conseils d’administration des organismes de sport à fournir une vision et une orientation pour l’organisme tout en permettant au personnel d’appliquer son expertise, d’exercer sa créativité et de se développer en tant que personne.

La recherche sur la clarté des rôles met en évidence 4 caractéristiques qui permettent de déterminer dans quelle mesure les athlètes comprennent leur rôle au sein d’une équipe. Les entraîneurs peuvent aider les athlètes à comprendre leur rôle en s’assurant qu’ils connaissent (1) l’étendue de leurs responsabilités, (2) les comportements nécessaires pour assumer leur rôle, (3) la façon dont les entraîneurs évalueront la performance du rôle et (4) les conséquences d’un manquement aux responsabilités du rôle.

Les sportifs sont davantage exposés à la pollution atmosphérique, car ils respirent souvent avec force et par la bouche, contournant ainsi le système de filtration naturel du nez. À court terme, la pollution atmosphérique peut provoquer des poussées d’asthme et, à long terme, elle peut augmenter le risque de maladies graves comme le cancer du poumon. Pour se protéger, les sportifs devraient vérifier la cote air santé (CAS) afin de prendre des décisions éclairées concernant les activités de plein air.

La recherche sur le sport et l’activité physique peut rester confinée dans les pages des revues universitaires. L’application intégrée des connaissances est un moyen de s’assurer que cela ne se produise pas ! L’application intégrée des connaissances implique une collaboration significative entre les chercheurs et les utilisateurs des connaissances pour aider à combler le fossé entre la recherche et la pratique.

Les conseils d’administration des organisations sportives peuvent améliorer leur efficacité en fonctionnant comme une équipe d’égaux. L’importance du travail d’équipe est facilement appréciée dans le sport. Pour que le travail d’équipe soit efficace, les membres du conseil d’administration doivent reconnaître que leur autorité n’existe qu’en tant que groupe, le président du conseil d’administration faisant office de chef de file pour le conseil.

Pour marquer la Journée mondiale de l’inclusion (10 octobre 2022), le SIRC a voulu mettre l’accent sur les renseignements relatifs aux communications inclusives dans le sport. Ce billet de blogue met l’accent sur les raisons pour lesquelles les administrateurs sportifs, les organisations sportives et les entraîneurs devraient améliorer leur degré d’inclusion, plus précisément dans toutes les façons dont ils communiquent. Il met également en évidence les moyens de vérifier les communications pour que tous les membres de leur public se sentent inclus, respectés, acceptés et valorisés.  

L’inclusion n’a rien à voir avec la rectitude politique. Tout le monde a le droit de communiquer de manière respectueuse, précise et équitable, plutôt que de se sentir différent, inférieur, dévalorisé, négligé ou exclu. 

Toute personne doit pouvoir accéder aux communications, sous une forme ou une autre, à moins que les communications ne soient destinées à un public spécifique. Par exemple, un message peut être pertinent uniquement pour les élèves du primaire qui sont déjà inscrits à un camp de soccer en juillet 2023 à Brandon, au Manitoba. 

Bien que les organisations adoptent des stratégies d’embauche et des plans de formation pour encourager une plus grande inclusion, il est possible de faire mieux. Les communications dans le sport sont un domaine dans lequel tout le monde peut améliorer l’inclusion, des entraîneurs aux administrateurs sportifs. Il ne s’agit pas seulement d’ajouter des pronoms à vos profils sur les médias sociaux et à vos signatures de courriel. Il faut aussi aller au-delà de l’utilisation de mots neutres.

Pourquoi l’inclusion est importante

Un enfant handicapé en fauteuil roulant joue au basket-ball sur la pelouse devant la maison comme les autres personnes, Style de vie d'un enfant spécial, Vie à l'âge de l'éducation des enfants, Concept d'enfant handicapé heureux.Les efforts visant à améliorer consciemment l’inclusion dans les communications sportives peuvent contribuer à réduire la fréquence à laquelle les microagressions, les préjugés et les partis pris sont introduits ou renforcés. Sans de tels efforts, les communications peuvent affecter négativement divers publics en fonction de leurs croyances, de leurs capacités, de leur genre, de la couleur de leur peau, de leur revenu, de leur éducation, de leur culture, de leur orientation sexuelle, de leur langue maternelle, de leur taille, de leur poids, de leurs antécédents ou d’autres identités. 

L’enjeu est de taille. Sans communication inclusive, vos messages risquent de ne pas atteindre ou de ne pas trouver d’écho auprès de certaines personnes ou de groupes communautaires entiers. Dans le pire des cas, vous risquez de manquer de respect à certaines personnes ou de leur nuire sans le vouloir.

Lorsque les administrateurs sportifs, le personnel des organisations ou les entraîneurs créent, partagent ou « aiment » des communications qui ne sont pas inclusives, leur public réagit de différentes manières. Le public peut négliger un faux pas s’il vous connaît bien. Mais même les partisans réagiront s’ils ont le sentiment d’être exclus ou méprisés de manière répétée. Ces publics peuvent :

Rendre les communications plus inclusives 

Un entraîneur et des joueurs de basket-ball BIPOC en réunion sur la ligne de touche d'un terrain de basket-ball.L’inclusion s’applique à tous les types de communication, tels que les courriels, les formulaires de consentement, les formulaires médicaux, les formulaires d’inscription, les diapositives de présentation, les sondages, les discours, les rapports annuels, les consultations, le contenu des sites Web, les messages sur les médias sociaux, les courriels, les vidéos, les lettres, la signalisation, les annonces, les fichiers d’aide, les transcriptions, les ordres du jour et les procès-verbaux des réunions, les rapports de données, les noms des équipes, tout.

Pour être inclusifs, les administrateurs, les organisations et les entraîneurs sportifs doivent être attentifs lorsqu’ils planifient leurs communications, avant qu’elles ne soient créées, approuvées ou partagées. Une partie de la planification peut consister à donner la priorité aux communications les plus fréquemment utilisées. Puis, après avoir amélioré ces communications, passez à d’autres types. Commencez par les courriels et le contenu des médias sociaux, puis examinez le contenu du site Web, les manuels, le matériel de formation, etc. 

Les signes indiquant que vos communications pourraient être plus inclusives peuvent être que vous utilisez des mots qui reflètent une vision dépassée des familles. Par exemple, il se peut que vous adressiez actuellement vos courriels aux « parents » plutôt qu’aux « parents et tuteurs » ou que vos formulaires comportent une ligne réservée à la « signature des parents ». Cela ne tient pas compte des enfants et des adolescents qui sont élevés par d’autres membres de la famille ou de la communauté, qui vivent en famille d’accueil ou dans un foyer collectif. 

Peut-être que l’expression « d’un océan à l’autre » apparaît dans vos messages, au lieu de « d’un des océans à un autre » pour tenir compte de tous les océans qui bordent le Canada (Arctique, Atlantique, Pacifique). Ou encore, vous faites référence à « il/elle » ou « son/sa » alors que vous pourriez éviter d’utiliser les pronoms de genre. Ou peut-être que vos mèmes et vos photos ne montrent que des personnes d’un seul genre, qui sont blanches et sans handicap. Si tel est le cas, quelles mesures pouvez-vous prendre?

Stratégies pour améliorer l’inclusion

Femme autochtone étudiant dans une bibliothèqueLes erreurs se produisent, le langage évolue et les données démographiques changent au fil du temps, de sorte que vous ne réussirez pas toujours à tout faire correctement. Ce qui compte, c’est que vous tiriez les leçons de vos erreurs et que vous vous efforciez de faire mieux. Demandez aux gens comment ils veulent qu’on s’adresse à eux et quels termes vous pouvez utiliser lorsque vous communiquez avec eux ou à leur sujet.

N’oubliez pas de tenir compte également de toutes les personnes qui communiquent en votre nom. Par exemple, un entraîneur adjoint peut envoyer des messages lorsque vous êtes en vacances ou une autre personne peut gérer les messages sur les médias sociaux pour votre organisation. Assurez-vous qu’ils sont tous au courant des mesures que vous prenez pour être plus inclusif. 

Exemples de stratégies :

D’autres conseils en matière d’inclusion sont disponibles dans les ressources à la fin de ce billet de blogue.

Tableau 1. Exemples de mots pour remplacer les mots non inclusifs

Les maladies neurogénératives sont plus fréquentes chez les anciens joueurs de football professionnels que dans la population générale. Cependant, le risque de maladie varie en fonction de la position du joueur et de la durée de sa carrière, et ce schéma est resté constant pendant des décennies. Ces résultats peuvent contribuer à l’élaboration de stratégies visant à réduire l’exposition des athlètes aux chocs à la tête.

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