Utilisez des guillemets pour trouver les documents qui contiennent l'expression exacte : "aérodynamique ET essais"

Les enfants et les jeunes des zones rurales se déplacent et font du sport différemment selon leur niveau scolaire, leur genre et le revenu de leur famille. Cette étude a révélé des disparités dans la participation sportive et les niveaux d’activité, soulignant la nécessité d’interventions ciblées pour promouvoir l’activité physique et l’équité en matière de santé chez les jeunes ruraux.

Seuls 8 % des élèves canadiens d’âge scolaire atteignent l’objectif quotidien recommandé de plus de 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse. Les problèmes de santé mentale chez les jeunes ont doublé au cours des deux dernières décennies. La vie familiale étant le principal vecteur de croissance et de développement de l’enfant, les habitudes de mouvement sont acquises dès la petite enfance. On peut donc espérer que les valeurs familiales inculquées en jeune âge porteront fruit plus tard.   

Malheureusement, il existe peu de données sur les avantages liés aux possibilités de participation des hommes et des femmes au sport et aux loisirs actifs pendant l’enfance. Les entraîneurs, les officiels, les bénévoles et les athlètes ont besoin de ce type de recherche pour montrer pourquoi le sport est important. Les parents, les enseignants, les directeurs d’école et les autorités municipales, provinciales, territoriales et fédérales en ont besoin pour décider d’investir dans le sport chez les enfants. 

Les recherches antérieures étaient en grande partie de nature transversale (c’est-à-dire un seul survol dans le temps), se concentraient généralement sur les jeunes adolescents et ne s’intéressaient pas à l’évolution de la pratique sportive dans le temps. Cela a créé d’importantes lacunes dans les connaissances. C’est pourquoi nous avons voulu examiner comment la pratique d’un sport ou d’un loisir actif (structuré par un entraîneur ou un moniteur) pendant l’enfance pouvait influer sur le développement mental et social à l’adolescence. Les avantages pour la santé mentale et les meilleures perspectives de réussite font partie des nouvelles perspectives offertes.  

Les gens du sport et de l’extérieur devraient s’en préoccuper parce qu’il y a une pandémie de (1) mauvaise santé mentale, (2) de sous-performance et (3) de sédentarité chez les jeunes Canadiens. Notre recherche propose une façon saine de contrer ces risques par la participation au sport et aux loisirs actifs entre la maternelle et la quatrième année.  

Notre position en tant que chercheurs pluridisciplinaires reste que le sport devrait être proposé comme activité extrascolaire par chaque famille et dans chaque école, quel que soit le contexte socio-économique et socioculturel. 

Principales conclusions 

Notre étude a porté sur près de 2 000 enfants (907 filles et 952 garçons) du Québec. Nous avons demandé à leurs mères si leurs enfants avaient participé à un sport ou à d’autres activités physiques organisées avec un entraîneur ou un instructeur lorsqu’ils étaient âgés de 6 à 10 ans. Nous avons ensuite examiné la santé mentale et les résultats scolaires des enfants entre 12 et 17 ans. Nous avons veillé à prendre en compte d’autres facteurs, tels que la vie de famille, susceptibles d’influer sur les résultats des enfants. 

Voici quelques éléments importants que nous avons trouvés : 

Avantages et limites 

Notre étude suggère qu’encourager les enfants à pratiquer un sport ou des activités de loisirs actives dès leur plus jeune âge pourrait les aider à mieux réussir à l’école et à se sentir mieux mentalement en grandissant. Toutefois, notre étude présente certaines limites. Elle ne peut pas prouver que la pratique d’un sport est à l’origine de ces résultats positifs. De plus, nous n’avons pas utilisé de tests standardisés pour mesurer les résultats scolaires. Mais d’autres études ont montré que les résultats scolaires autodéclarés sont généralement fiables. Malgré ces limites, notre étude est importante car elle a suivi des enfants sur une longue période et a examiné de nombreux aspects de leur vie. Nous reconnaissons également que les garçons et les filles peuvent avoir des expériences différentes en matière de sport et d’activité physique, et qu’il est donc important de prendre en compte leurs besoins spécifiques. 

Conclusions  

Nos recherches montrent que la participation à des activités sportives et à des loisirs actifs entre la maternelle et la quatrième année d’école peut avoir des effets bénéfiques à long terme sur le bien-être mental et la réussite scolaire des enfants. La participation à des activités sportives extrascolaires au cours de l’enfance permet de prévoir les indicateurs de réussite ultérieurs chez les jeunes. Le sport dans l’enfance est un facteur prometteur qui améliore le développement des garçons et des filles. En tant que stratégie basée sur la population, le soutien à la participation des parents à des activités physiques organisées ou structurées dans des sports d’équipe ou individuels peut se traduire directement par une meilleure santé. Nous pensons que chaque famille et chaque école devrait offrir aux enfants la possibilité d’être physiquement actifs, quel que soit leur milieu d’origine.  

Prochaines étapes  

Il est préoccupant de constater que nous ne disposons pas de beaucoup d’éléments concernant les éléments qui interviennent dans la vie d’un enfant, tels que les facteurs familiaux et personnels, et qui peuvent influer sur ses chances de faire du sport ou de rester actif lorsqu’il est jeune. Les différences dans les possibilités de pratiquer un sport ou une activité physique peuvent être dues à des raisons familiales, sociales et personnelles, et ces différences commencent tôt dans la vie. Nos études récentes montrent que les garçons et les filles ont des expériences différentes en matière de sport et d’activité physique en raison de leur corps et du monde qui les entoure. Il est important pour nous de mieux comprendre comment le début de la vie d’un enfant et sa famille peuvent influencer la manière dont l’enfant reste actif et comment cela affecte sa santé à long terme, afin d’encourager plus d’enfants à faire du sport et à profiter des avantages qui en découlent. Dans notre prochain projet, nous travaillerons avec de nouveaux membres de l’équipe et des étudiants pour étudier comment les facteurs communs de la petite enfance affectent les garçons et les filles canadiens nés autour de l’an 2000. 

Remerciements pour le financement : Ce billet de blogue sappuie sur des recherches soutenues par le Conseil de recherches en sciences humaines et Sport Canada dans le cadre de lInitiative de recherche sur la participation sportive. 

Les troubles du spectre autistique (TSA) sont des troubles neurodéveloppementaux caractérisés par des déficits en matière de communication sociale, d’interaction et d’autres comportements. Une étude récente suggère que les programmes d’exercices conçus pour permettre aux enfants atteints de TSA de participer peuvent améliorer de manière significative leur littératie physique et leurs compétences motrices, offrant ainsi un cadre potentiellement précieux pour les programmes d’activité physique destinés aux enfants atteints de TSA.

Les parents, promoteurs d’expériences sportives positives pour les jeunes 

Les parents représentent l’un des principaux agents sociaux dans l’environnement sportif des jeunes. On fait souvent appel à eux pour faciliter les éléments essentiels de la participation des jeunes au sport, tels que le soutien matériel (frais d’inscription et de déplacement, achat d’équipement, bénévolat) et émotionnel, comme l’encouragement et la rétroaction pour les athlètes (Dorsch et al., 2021 ; Harwood & Knight, 2015). Il a été démontré que les interactions sociales des parents dans l’environnement sportif et les comportements de soutien influencent la qualité des expériences sportives des jeunes athlètes et les résultats développementaux découlant de la pratique sportive (Tamminen et al., 2017). Bien que la littérature existante fournisse de bonnes informations sur le rôle des parents dans la facilitation d’expériences sportives de qualité liées à la performance, à la participation et au développement personnel, des questions subsistent quant aux raisons pour lesquelles les parents adoptent encore fréquemment des comportements négatifs lors d’événements sportifs. 

Les parents, promoteurs d’expériences sportives négatives chez les jeunes

Bien que l’on puisse supposer que les parents des sportifs cherchent à favoriser des résultats positifs pour leurs enfants, les cas où leurs comportements conduisent à des interactions négatives avec les entraîneurs, les gestionnaires de programmes, les arbitres ou les autres parents sont également fréquents. Par exemple, dans divers contextes sportifs pour les jeunes, il est courant d’observer des scènes où les parents expriment leurs opinions avec passion, souvent par des comportements perturbateurs et des échanges houleux avec les entraîneurs et les arbitres. Les médias montrent souvent ces parents comme étant erratiques ou incontrôlables, éclipsant ainsi l’essence même des précieuses leçons que le sport jeunesse vise à transmettre. Les interventions des organisations sportives pour lutter contre ces comportements négatifs ont inclus l’élaboration de codes de conduite et de formations pour les parents, mais leur succès a été quelque peu limité (p. ex., Dorsch et al., 2019 ; Christofferson & Strand, 2016 ; Reynolds, 2021). 

Sous la surface des débats animés sur la ligne de touche se cache un récit qui n’a pas encore été exploré, un récit qui plonge dans les complexités de l’implication des parents. Il s’agit d’une exploration plus profonde, au-delà de la surface, des complexités et des valeurs sous-jacentes, des pensées et des préoccupations qui influencent les comportements des parents. Cette exploration nécessite un récit nuancé reconnaissant les différents défis, rôles et objectifs qui influencent les actions et les réactions des parents.  

Souvent, les parents n’ont pas de moyens hors de l’arène publique pour parler, sans être jugés, de leurs expériences personnelles et de l’implication de leurs enfants. Il est essentiel de comprendre les motivations et les capacités uniques des parents, au-delà du simple affichage de comportements positifs ou négatifs lors des compétitions. Pour vraiment comprendre la dynamique de l’engagement des parents dans le sport jeunesse, il est essentiel de reconnaître la nature multidimensionnelle des rôles de ce groupe et de fournir des plateformes permettant une expression plus nuancée et plus authentique de leurs expériences et de leurs préoccupations. 

Les parents en tant que consommateurs de l’expérience sportive des jeunes 

Bien que les jeunes athlètes représentent les utilisateurs des programmes sportifs pour la jeunesse, les parents sont étroitement impliqués dans le processus de prise de décision lié à l’inscription de leurs enfants aux programmes. Les gestionnaires sportifs doivent saisir les éléments qui façonnent l’opinion des parents sur la qualité de la conception des programmes sportifs pour les jeunes, sur leur utilisation des services sportifs pour les jeunes et sur les effets de ces programmes sur leurs enfants.  

Il existe des preuves qui suggèrent que la décision des parents d’inscrire leurs enfants au sport peut être influencée par plusieurs variables, telles que les avantages potentiels perçus du sport, et que ces processus de prise de décision peuvent être liés aux perceptions de satisfaction et d’engagement des parents à l’égard des programmes de sport (Green & Chalip, 1998). Pour que les gestionnaires sportifs puissent concevoir et offrir des programmes de haute qualité, il serait bénéfique de mettre en place des mécanismes permettant de compiler les perceptions et les expériences des parents à l’égard des programmes sportifs de leurs enfants et de les intégrer au processus de planification et de prise de décision du programme. 

Les principales lacunes des recherches antérieures portant sur les parents et les interventions visant à améliorer le comportement des ceux-ci dans le sport jeunesse sont que les parents sont souvent considérés comme des “problèmes” plutôt que comme des ressources. Les chercheurs ont négligé les déterminants des comportements parentaux, notamment la motivation, les capacités et les possibilités de contribution des parents. Au lieu de cela, les travaux antérieurs se sont principalement concentrés sur la réduction ou la modification des comportements négatifs des parents. Il est essentiel de reconnaître que, en général, les comportements négatifs des parents dans le sport jeunesse sont le produit d’un conflit entre la perception qu’ont les parents de ce que “le sport jeunesse devrait être” et de ce que “le sport jeunesse est vraiment”. Par exemple, les parents investissent des ressources importantes en tant que consommateurs de la participation sportive de leurs enfants, mais ils n’ont souvent pas les moyens de fournir une rétroaction sur ce qu’ils pensent de leur expérience (Murata & Côté, 2022).  

Les parents sont des spectateurs qui entretiennent des liens étroits avec d’autres parents, mais ces relations sont rarement valorisées par les organismes de sport (Strydom et al., 2023). Dans d’autres cas, les parents agissent en tant qu’entraîneurs bénévoles, ce qui exige une connaissance spécialisée du sport, sans formation appropriée ni lignes directrices en matière d’entraînement (Kurtz-Favero et al., 2023). Enfin, les parents s’engagent souvent dans les activités sportives de leurs enfants en tant qu’amis qui les soutiennent, un rôle qui est rarement reconnu et compris (Hunter Smith & Côté, 2023). La complexité et les contradictions occasionnelles de ces rôles peuvent entrer en conflit avec le lien émotionnel de chaque parent qui veut ce qu’il y a de mieux pour ses enfants tout en investissant dans des activités intangibles (le sport) dans lesquelles il n’a que peu d’influence. Essentiellement, les organismes de sport doivent comprendre le caractère unique et exigeant des rôles des parents afin de mieux apprécier la participation et les contributions potentielles de ces groupes au système sportif pour les jeunes. 

Le rôle des organisations sportives 

Les organisations sportives pourraient tirer profit de la mise en place de mécanismes permettant de mieux comprendre les valeurs, les émotions et les pensées qui influencent les comportements des parents dans des contextes sportifs spécifiques. Cela implique la mise en place d’un système de communication qui permet de maintenir un dialogue ouvert sans imposer de longues tâches aux parents ni exiger d’eux une formation supplémentaire. Vous trouverez ci-dessous sept activités pratiques qui peuvent (a) favoriser de meilleures relations avec les parents, (b) permettre aux parents de mieux comprendre les objectifs d’une organisation et (c) enfin, minimiser les comportements négatifs des parents.     

  1. Créer des outils qui permettent aux parents de donner régulièrement leur avis: Mettez en place des mécanismes de rétroaction réguliers, tels que des enquêtes ou des évaluations, afin de recueillir les commentaires des parents sur leurs expériences et leurs préoccupations. Utilisez cette rétroaction pour apporter des ajustements et des améliorations si nécessaire. 
  2. Introduire et faciliter les forums en ligne: Créez des forums en ligne, des groupes de médias sociaux ou des communautés virtuelles où les parents peuvent se rencontrer et partager leurs expériences, leurs défis et leurs succès. Ces plateformes peuvent favoriser le soutien par les pairs et fournir un espace où les parents peuvent apprendre les uns des autres. 
  3. Mettre en place des programmes de mentorat entre parents: Mettez en place des programmes de mentorat dans lesquels des parents expérimentés et compétents conseillent les nouveaux parents. Ce système de soutien de pair-à-pair peut s’avérer très utile pour partager des idées, des préoccupations et des bonnes pratiques. 
  4. Établir des partenariats parents-entraîneurs: Mettre en place une structure formelle pour faciliter la communication et la collaboration entre les parents et les entraîneurs. Dans le cadre de cette structure, les entraîneurs peuvent organiser des réunions régulières pour discuter des objectifs de l’équipe, des attentes et de la façon dont les parents peuvent contribuer positivement à l’expérience sportive. 
  5. Développer des ressources vidéo qui modélisent des comportements parentaux positifs: Développer et partager des ressources vidéo qui mettent en évidence des comportements parentaux positifs et démontrent des stratégies de communication efficaces. Les vidéos peuvent être un moyen puissant et attrayant de transmettre des informations et d’impliquer les parents. 
  6. Fournir un renforcement positif et une reconnaissance: Reconnaissez et célébrez les parents qui adoptent des comportements positifs et font preuve d’esprit sportif. Reconnaître et récompenser publiquement les comportements souhaitables peut motiver les autres parents à faire de même. 
  7. Proposer aux parents des ressources fondées sur des données probantes: Divers documents peuvent être fournis aux parents afin qu’ils acquièrent des connaissances précieuses sur les subtilités du sport jeunesse, en offrant des informations fondées sur des données probantes, des conseils pratiques et des stratégies efficaces pour jouer leur rôle et soutenir le parcours sportif de leurs enfants. Qu’il s’agisse d’explorer des sites web réputés, des blogues perspicaces ou des articles complets rédigés par des chercheurs, de se plonger dans des guides d’éducation parentale ancrés dans la recherche sur le sport chez les jeunes ou de bénéficier de programmes de collaboration favorisés par des partenariats entre chercheurs et praticiens, ces diverses ressources visent à doter les parents des connaissances et des outils nécessaires pour améliorer leur engagement. 

En conclusion, l’évolution du sport chez les jeunes nécessite une approche holistique qui non seulement comprend et responsabilise les parents, mais établit également des modes de communication permanents et significatifs. En reconnaissant les parents comme des contributeurs inestimables et en comprenant la dynamique complexe de leurs rôles, les organisations sportives peuvent créer un environnement dans lequel chaque parent a le sentiment de faire partie intégrante du parcours sportif de son enfant. Ce passage d’un discours centré sur les problèmes à un discours de collaboration et de compréhension est essentiel pour le développement holistique de tous les membres impliqués dans le système sportif de la jeunesse. 

Le baseball et le softball sont largement pratiqués par les jeunes athlètes et contribuent au nombre annuel de blessures liées au sport. Une étude récente a révélé que les blessures chez les jeunes joueurs de baseball sont souvent dues à un contact, avec une plus grande fréquence de blessures à la tête, au cou et au visage. D’autre part, les blessures au softball affectent généralement les membres inférieurs et se manifestent souvent sous la forme d’entorses ou de foulures.

Pour lutter contre l’escalade des abus de la part des parents et des entraîneurs, une association de football mineur prévoit d’équiper les arbitres de caméras corporelles visant à protéger les jeunes arbitres et à décourager les comportements agressifs. En Ontario, un projet pilote de caméras portées par les arbitres s’est avéré prometteur, car il a permis de dissuader visuellement les abus et de fournir aux arbitres un outil pour enregistrer les incidents.

Dans le contexte du sport d’élite pour les jeunes, il existe une absence notable dans la recherche concernant le rôle des parents dans la promotion du développement psychosocial de leurs enfants. Une étude récente se penche sur les dynamiques en jeu au sein d’une académie de football (soccer) professionnel et sur le processus de développement des joueurs. L’enquête se concentre sur la découverte des perspectives des parents sur leurs rôles et expériences dans la promotion du développement psychosocial des jeunes athlètes.

Les parents d’athlètes handicapés sont confrontés à des défis tels que des options sportives locales et un financement limités, mais ils bénéficient également d’avantages tels que l’inclusion sociale et le soutien. Les chercheurs suggèrent que les programmes sportifs s’attaquent à ces obstacles culturels et environnementaux et impliquent activement les parents dans la création de systèmes de soutien. En outre, il est nécessaire d’améliorer les voies d’identification des talents pour les jeunes handicapés dans le domaine du sport.

Le sport est l’un des moyens les plus utiles pour les jeunes et les adolescents de se socialiser et de rester en bonne santé. Malgré les bienfaits du sport, la pratique sportive chez les jeunes n’a cessé de diminuer au cours de la dernière décennie. Une étude récente a montré que la motivation et l’expérience sportive étaient les facteurs les plus étroitement liés à l’abandon du sport. Il est suggéré que pour prévenir l’abandon, les organisations devraient se concentrer sur le développement d’un environnement sûr qui favorise la motivation et le plaisir.

On parle de burnout lorsqu’un athlète perd tout intérêt pour le sport qu’il pratique en raison d’un épuisement physique et émotionnel. Parmi les signes de burnout chez les jeunes athlètes, on peut citer la perte de motivation, la baisse des performances sportives et la fatigue persistante. Les parents et les soignants peuvent soutenir leurs enfants en les encourageant à pratiquer des activités variées et en se concentrant sur les désirs de l’athlète plutôt que sur ses performances.