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Après avoir repris le sport à la suite de la fermeture du COVID, les athlètes adolescents ont montré une amélioration de leur santé mentale. Toutefois, malgré un retour aux niveaux d’activité prépandémiques, la santé mentale des adolescents reste inférieure à celle de la période prépandémique. Cela suggère que le soutien au bien-être mental des athlètes doit être une priorité absolue.

Offrir des possibilités de sport et d’activité physique fondées sur des données probantes qui soutiennent intentionnellement le développement du savoir-faire physique peut aider les jeunes à se remettre des effets négatifs de la pandémie de COVID-19. Des activités amusantes, stimulantes mais réalisables, et qui suscitent la créativité dans le mouvement, permettent aux jeunes de revenir sur le terrain de jeu et promettent de les garder engagés à long terme.

La compréhension qu’ont les chercheurs du syndrome de surentraînement (SSE) oriente leurs conseils pour le retour au sport des athlètes dans le cas de l’état post COVID-19, également connu sous le nom de long-COVID. Les personnes souffrant d’un long COVID doivent modérer leur activité de la même manière que les athlètes surentraînés, en pratiquant une “activité physique modulée en fonction des symptômes”, c’est-à-dire en réintroduisant progressivement une intensité basée sur une surveillance étroite des symptômes d’une personne. Dans le cas de l’OTS et du long-COVID, il n’y a pas de récupération unique.

La pandémie de COVID-19 a eu un impact négatif sur la participation des filles au sport et à l’activité physique. Les résultats de l’étude Femmes et Sport au Canada indiquent qu’une fille sur quatre n’est pas déterminée à reprendre le sport. Faire participer les filles à la planification de leur retour au jeu peut être une façon d’encourager la participation des filles.

La planification stratégique peut être un outil utile pour gérer des environnements changeants et dynamiques, en particulier lorsque les organismes de sport communautaires entament le processus de récupération suite à la COVID-19. Parler aux parties prenantes, évaluer les ressources du club, prendre en compte le profil de la communauté et examiner la concurrence sont des étapes importantes à prendre en compte au début du processus de planification stratégique.

Les recherches montrent que de nombreuses filles abandonnent le sport lorsqu’elles atteignent l’adolescence. La pandémie de COVID-19 a amplifié cette tendance, une fille sur quatre n’ayant pas l’intention de reprendre le sport qu’elle pratiquait avant la pandémie. Les raisons pour lesquelles les filles abandonnent le sport sont nombreuses, qu’il s’agisse du manque de programmes spécifiques pour les filles, de la socialisation ou des attentes liées au genre. Les résultats de la recherche nous aident à progresser dans la création d’environnements sportifs inclusifs et d’expériences sportives durables pour les filles.

Lorsqu’il s’agit de comportements sédentaires (le temps de veille passé au repos en position assise ou inclinée), le Bulletin de l’activité physique chez les adultes 2021 de ParticipACTION donne la note F aux adultes canadiens. Sans surprise, plus de 60 % des Canadiens ont mentionné passer plus de temps sur l’Internet et à regarder la télévision pendant la pandémie. Prenez une « Pause active » chaque 30 minutes pendant vos périodes d’inactivité pour voir comment vous vous sentez physiquement et mentalement.

Ce billet de blogue récapitule le premier webinaire de la mini-série en quatre parties Engager les filles et les femmes dans le sport. Le SIRC et Femmes et sport au Canada ont co-organisé cette mini-série, à laquelle vous pouvez accéder ou en apprendre davantage en visitant la page des webinaires des experts du SIRC.  

Diverse girls wearing face masks giving an elbow bump.La pandémie de la COVID-19 continue de perturber le sport au Canada et dans le monde. Bien que les fermetures temporaires étaient prévisibles lors d’une pandémie mondiale, leurs conséquences durables sont préoccupantes. Par exemple, les recherches montrent que la participation sportive des jeunes est en baisse, surtout chez les filles. Même avant la COVID-19, jusqu’à 62 % des filles canadiennes ne pratiquaient aucun sport.  

Pour mieux comprendre l’incidence de la pandémie sur la participation des filles canadiennes aux activités sportives, l’organisme Femmes et sport au Canada s’est associé à E-Alliance et à l’organisme Bon départ de Canadian Tire. Ils ont sondé des filles âgées de 13 à 18 ans et des parents de filles âgées de 6 à 12 ans. Leur rapport, intitulé L’impact de la pandémie sur les filles dans le sport, révèle qu’une fille canadienne sur quatre (de 6 à 18 ans) qui faisait du sport au moins une fois par semaine avant la COVID-19 n’est pas déterminée à reprendre le sport une fois que les restrictions de la COVID-19 auront disparu. 

Le premier webinaire de la mini-série s’intitulait Faire revenir les filles au jeu. Le webinaire a réuni trois panélistes, dont une chercheuse en sport et des dirigeantes sportives communautaires. Elles ont discuté de la recherche qui sous-tend le rapport et de la façon dont ces tendances se manifestent sur le terrain au Canada. Ce billet de blogue met en lumière les principales conclusions de leur discussion, y compris les problèmes et les obstacles communs qui affectent la participation des filles au sport et les solutions potentielles pour ramener les filles dans le jeu. 

Les panélistes du webinaire étaient les suivantes : 

Problèmes et obstacles communs affectant la participation des filles au sport 

Les panélistes ont lancé le webinaire en réfléchissant à la manière dont les conclusions du rapport sur la COVID-19 reflètent ce qu’elles ont vu dans leurs propres communautés. Mme Paul a noté que l’effet de la pandémie sur la participation des filles dans son club de water-polo était variable. Les filles du groupe de haut niveau étaient moins intéressées par un retour à l’entraînement que les athlètes plus jeunes, ce qui reflète peut-être un changement de priorités. Mme Pegoraro a souligné que l’accès aux sports, par le biais des écoles pour les jeunes filles et des organisations communautaires pour les athlètes plus âgées, peut expliquer les différences de participation par groupe d’âge. Mme Bradley a confirmé que certaines de ses jeunes joueuses de soccer ont souffert d’une mauvaise santé mentale et ont eu peu d’occasions d’établir des liens sociaux pendant la pandémie. 

Selon les panélistes, les coûts ont été l’obstacle le plus courant à la participation sportive des filles pendant la pandémie. Les obstacles financiers comprennent la perte de possibilités de financement pour les clubs sportifs communautaires et les préoccupations des familles quant à leur capacité à couvrir les frais de participation, en particulier avec les incertitudes concernant les fermetures liées à la pandémie. 

Un autre obstacle est le manque de liens sociaux. Bien que le fait d’avoir des camarades qui font du sport contribue à créer des environnements positifs pour les filles et à accroître leur engagement, l’inverse est également vrai. « L’absence d’amis était la clé, selon Mme Pegoraro. Ce lien social est un point de levier pour essayer de comprendre ce que nous pouvons apprendre pour ramener les groupes ensemble. » 

Enfin, passer du temps loin du sport peut modifier l’intérêt des filles pour la participation, l’engagement dans l’entraînement ou la confiance dans leurs capacités sportives. 

Faire revenir les filles au jeu 

En réfléchissant à ces obstacles, les panélistes ont fait part de leurs recommandations sur la manière dont les dirigeants sportifs peuvent contribuer à faire revenir les filles au jeu : 

  1. Collaborer entre les sports  

Les approches conventionnelles encouragent les filles à choisir entre plusieurs sports. Mme Bradley propose plutôt une collaboration entre les sports et entre les clubs. Faire équipe avec d’autres organisations pour partager les meilleures pratiques peut aider à encourager les filles à rester dans le sport.   

« Je pense qu’il est important de s’appuyer sur les organisations qui vous entourent et de partager les ressources. Avant la pandémie, beaucoup d’entre nous travaillaient en silo et n’étaient pas aussi ouverts sur leurs difficultés. La pandémie nous a montré à tous qu’il était temps de s’ouvrir et de travailler ensemble. »

Melanie Bradley 

2. Encourager les athlètes à essayer de nouveaux rôles 

L’une des façons de raviver l’intérêt des filles pour le sport est de leur faire endosser de nouveaux rôles, qu’il s’agisse d’entraîner, d’arbitrer ou de prendre des décisions. Un excellent moyen de garder les filles dans le sport est de les encourager à rester impliquées de manières qui parlent à leurs intérêts. 

« Nous avons perdu un bon nombre de nos filles du secondaire. Nous les avons perdues en tant qu’athlètes. Cependant, en tant que club, nous avons essayé d’entrer en contact avec elles pour les recycler en tant qu’officielles ou entraîneuses. Nous avons perdu des athlètes à cause de la pandémie, mais nous n’avons pas nécessairement perdu toutes ces filles du sport. »

Raine Paul 

3. Créer des espaces sécurisés permettant aux filles de revenir à leur propre rythme 

La pandémie a eu des répercussions négatives sur la santé physique et mentale de nombreux Canadiens et Canadiennes. C’est pourquoi il est vital de créer des espaces sécurisés permettant aux filles de reprendre le sport à leur propre rythme. Des horaires flexibles avec des niveaux d’engagement variables peuvent aider les athlètes à éviter les blessures physiques. Par ailleurs, le fait de tenir compte des changements potentiels dans le niveau de confiance des athlètes à la suite d’une période d’absence du sport peut aider à relever les défis mentaux. 

« Nous devons également être conscients du fait que les filles vont être très conscientes d’elles-mêmes lorsqu’elles sortent de leur chambre et de leur maison et qu’elles manquent d’activité. Il est donc important de réfléchir aux moyens de les ramener dans un environnement sportif où elles sont moins conscientes de leur corps. »

Ann Pegoraro 

Orientations futures 

Field hockey female players run with ball in attackEn conclusion de la discussion, les panélistes ont identifié plusieurs facteurs de réussite qui peuvent contribuer à encourager la participation des filles au sport. Les changements de politique ont été le premier élément sur la liste des panélistes. Mme Pegoraro a fait remarquer que la politique gouvernementale peut contribuer au financement de futures opportunités sportives pour les filles et les femmes et faire tomber les barrières financières existantes.  

Le deuxième facteur de réussite est la création d’influences sociales positives. Cela peut se faire en ayant des modèles positifs parmi les filles et les femmes, en encourageant les liens sociaux par le biais de « systèmes de jumelage » au sein des clubs et des organisations, et en aidant les parents à devenir actifs et à comprendre l’importance du sport pour les enfants.  

Le dernier facteur est de s’assurer que les clubs et les organisations répondent aux préoccupations de sécurité dans le contexte de la pandémie de la COVID-19. Ils doivent également suivre les directives sanitaires recommandées afin d’encourager davantage de filles à revenir au jeu.  

Bien que l’on ne sache pas encore quand la pandémie prendra fin ni quels seront ses effets durables, nous pouvons prendre des mesures pour réduire ses effets sur la participation sportive des jeunes, en particulier des filles. Comprendre les obstacles à la pratique du sport, envisager des moyens créatifs de soutenir le retour des filles dans le sport et identifier les moyens de garantir la poursuite de la pratique du sport à l’avenir peut nous aider à travailler ensemble pour que les filles reviennent dans le jeu. 

À propos des panélistes 

Pour en savoir plus sur les panélistes du webinaire, accéder à l’enregistrement du webinaire Faire revenir les filles au jeu ou en savoir plus sur la mini-série Engager les filles et les femmes dans le sport, rendez-vous sur la page des webinaires des experts du SIRC. 

À propos de Femmes et sport au Canada 

L’organisme Femmes et sport au Canada se consacre à la création d’un système canadien de sport et d’activité physique équitable et inclusif qui donne aux filles et aux femmes le pouvoir d’agir en tant que participantes actives et leaders dans le sport et par le sport. En mettant l’accent sur le changement systémique, nous nous associons aux organismes de sport, aux gouvernements et aux dirigeants pour remettre en question le statu quo et bâtir un meilleur sport grâce à l’équité entre les genres. 

À propos des collaboratrices 

Annabel Chan est une bénévole du SIRC et une étudiante en médecine à l’Université Queen’s. Elle est diplômée de l’Université Western où elle a étudié les affaires et les sciences et joué au soccer. Grâce à son expérience en tant qu’étudiante-athlète, elle s’est prise de passion pour encourager la pratique du sport chez les jeunes, en particulier chez les filles et les femmes. Elle espère rester impliquée dans la communauté sportive et intégrer les principes d’une vie active et saine dans sa future carrière.  

Marina Khonina est coordinatrice de recherche principale au SIRC. Elle est titulaire dune maîtrise en sociologie de lUniversité Simon Fraser, où elle a étudié les cultures sportives et la relation des femmes athlètes avec la nourriture. Avec une formation en écriture et en communication, Mme Khonina sintéresse particulièrement à lapplication des connaissances dans les sciences du sport et de la santé. Elle est également une athlète dathlétisme qui participe à des épreuves de sprint. 

Le COVID-19 a des répercussions importantes sur la santé, ce qui en fait une préoccupation pour les athlètes de haut niveau. Il est encourageant de constater qu’une étude réalisée au Royaume-Uni montre que la plupart des athlètes de l’équipe nationale souffrant de COVID-19 n’ont été que légèrement malades. Mais il n’en va pas de même pour tout le monde. Les athlètes présentant des symptômes dans les voies respiratoires inférieures, comme des douleurs thoraciques, étaient plus susceptibles de subir un retour au jeu retardé.

Après que 2020 nous a surpris avec une pandémie mondiale, beaucoup d’entre nous se sont tournés vers 2021 avec l’espoir d’un retour progressif à la “normale” d’avant la pandémie. Et avec le déploiement et l’adoption généralisés des vaccins COVID-19 dans tout le pays, les activités que nous avions mises en veilleuse pendant la pandémie, des réunions sociales aux voyages, ont commencé à faire leur retour.

Il suffit de regarder les Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo 2020, qui ont réuni près de 15 000 athlètes à l’été 2021, pour voir comment le monde du sport a appris à s’adapter et à prospérer à l’ère du COVID-19. Le gouvernement du Canada s’est également engagé à verser 170 millions de dollars pour soutenir la reprise du secteur du sport dans son budget de 2021, renforçant ainsi le rôle crucial du sport dans la reprise sociale et économique plus large de notre pays.

Et même si nous continuons à faire face à des défis, des nouvelles variantes de COVID-19 aux catastrophes climatiques, le SIRC continue à fournir un contenu crédible, adapté et pertinent pour répondre aux besoins du secteur sportif canadien. Pour voir de plus près comment le SIRC s’est adapté à la ” nouvelle normalité ” en 2021, parcourez le contenu le plus important de la revue de l’année 2021 du SIRC.

Janvier

Mature woman wearing swim goggles at swimming pool. Fit active senior woman enjoying retirement standing in swimming pool and looking at camera. Happy senior healthy old woman enjoying active lifestyle.

Les SIRCuit d’hiver de 2021 ont mis l’accent sur les athlètes maîtres, un appel important à l’action pour créer de meilleures expériences sportives pour les adultes qui sont “au-delà de l’âge typique de la performance maximale.” Les athlètes maîtres sont souvent négligés par les organisations sportives, mais cet article montre qu’il est possible et utile de renverser cette tendance.

Février

Le SIRC a produit un important blog en collaboration avec la BIPOC Varsity Association de l’Université de Toronto : La lutte contre le racisme sur le campus. Il comprend une approche novatrice pour combattre le racisme au sein des universités et des collèges.

Le mois de février a également été marqué par le 2021e Symposium sur les commotions cérébrales dans le sport organisé par le SIRC. Le symposium s’est concentré sur les principaux sujets de recherche émergeant dans le domaine des commotions cérébrales, comme les différences liées au sexe et au genre dans les commotions cérébrales. Il a également mis en vedette des chefs de file du sport, comme l’entraîneur-chef de l’équipe nationale masculine de soccer du Canada, John Herdman.

Mars

Le SIRC a lancé Vas-y Maman, une campagne de sensibilisation qui soutient et célèbre la participation des mamans au sport et à l’activité physique. En collaboration avec Bell Media et d’autres partenaires, nous avons attiré l’attention sur les dernières recherches et preuves. Nous avons également demandé aux mamans de partager leurs histoires de succès et de défis, et les résultats ont été inspirants.

Avril

Les webinaires du SIRC se sont poursuivis en avril, avec une nouvelle mini-série axée sur les compétences en matière d’évaluation de programmes. La ressource qui l’accompagne aide les organismes de sport dans tous les aspects de l’évaluation, du début à la fin : Toolkit : Maîtriser l’art de l’évaluation.

Le SIRCuit du printemps 2021 a été publié, y compris un article important sur le changement climatique dans le secteur du sport au Canada.

Mai

LGBTQÀ l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie, la biphobie, l’intersexephobie et la transphobie (JIHBIT) – une célébration mondiale des diversités sexuelles et de genre qui a lieu chaque année le 17 mai – le CSARS a publié un blog éducatif en collaboration avec Égale Canada.

Juin

En juin, le SIRC a publié un blogue unique plongeant dans un nouveau modèle de coparticipation des femmes et des filles au sport appelé “Nager ensemble“. Le programme a été élaboré en collaboration entre des chercheurs de l’Université de Waterloo, le canton de Woolwich (Ontario) et l’équipe de natation Woolwich Wave.

Juillet

Les Jeux olympiques de Tokyo ont été l’un des Jeux d’été les plus réussis de l’histoire d’Équipe Canada. Les 24 médailles remportées par notre pays nous ont permis de nous classer au 11e rang au classement général, ce qui représente le deuxième meilleur total de l’histoire du Canada aux Jeux olympiques d’été.

Le SIRC a publié une édition spéciale du SIRCuit à l’approche des Jeux de Tokyo, comprenant quatre articles qui illustrent le leadership canadien au plus haut niveau du sport en ce qui concerne le sport sécuritaire et les commotions cérébrales. L’esprit des athlètes canadiens brille dans cet article intitulé M’entendez-vous maintenant ? L’émergence de la voix de l’athlète dans le sport canadien.

Août

L’équipe paralympique canadienne a fourni un effort considérable aux Jeux paralympiques de Tokyo 2020, remportant 21 médailles au total et cinq médailles d’or, et une fois de plus, le leadership des paralympiens canadiens a brillé.

Stephanie Dixon, chef de mission de l’équipe paralympique canadienne de 2020, est citée dans cet article du SIRC : Performer en période de pandémie : la résilience et le leadership des athlètes canadiens.

Septembre

Para athlete passing a ball during a wheelchair basketball gameRC a publié un SIRCuit sur le thème des commotions cérébrales cette même semaine. Il s’agissait de cinq articles plongeant dans les dernières avancées en matière de sécurité contre les commotions cérébrales dans le sport canadien. L’article qui a eu le plus d’écho est celui sur les commotions cérébrales chez les athlètes para : les approches universelles ne conviennent pas à tous, mettant en vedette le Dr Jamie Kissick qui parle des lacunes de la recherche sur les commotions cérébrales dans le sport parallèle ainsi que du travail effectué pour les combler.

Octobre

La 15e conférence annuelle de l’Initiative de recherche de Sport Canada (IRSC) a réuni virtuellement plus de 1 000 intervenants du sport canadien pour entendre les leaders et les chercheurs canadiens parler des dernières recherches et innovations dans le sport canadien.

Toutes les sessions clés sont disponibles sur la page YouTube du SIRC, y compris un panel intitulé Vérité et reconnaissance : ce que cela signifie pour les dirigeants sportifs.

Novembre

Afin d’aider à soutenir et à faire progresser l’équité entre les sexes dans le sport canadien, le SIRC s’est associé à l’organisme Femmes canadiennes et sport pour créer une série de webinaires. La troisième partie de la série – Engager les entraîneurs de la communauté noire – aura lieu en février 2022 !

Décembre

Alors que la pandémie de COVID-19 se poursuit, les mères continuent d’être mises sous pression. Après la campagne Vas-y Maman au printemps, le SIRC a publié en décembre un autre article axé sur le soutien aux mamans. Restez à l’écoute pour d’autres contenus visant à soutenir les mamans au printemps 2022 !

Merci à tous ceux qui ont collaboré, se sont associés et ont contribué au SIRC en 2021 ! Et un coup de chapeau spécial aux lecteurs, téléspectateurs et participants du SIRC. Votre participation et votre soutien sont essentiels au réseau du SIRC et au processus de mise en pratique des connaissances. Nous sommes heureux de vous accueillir à nouveau sur les canaux du SIRC en 2022 !