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Saviez-vous que les encouragements aux coureurs ne se limitent pas à des mots ? Les recherches révèlent que les coureurs apprécient le soutien pédagogique et motivationnel, mais que son efficacité dépend de facteurs tels que l’état de santé du coureur et la précision des informations sur le parcours. Si le soutien est généralement encourageant, il peut aussi créer de la pression. Les experts suggèrent d’utiliser l’approche IMPACT” (Instructional, Motivational, Personalized, Authentic, Confidence-building, and Tailored), et d’ajouter de l’authenticité, de l’empathie et des nuances sans jugement pour rendre l’encouragement encore plus efficace.

La maladie mentale touche 35 % des athlètes d’élite, et certains défis – comme l’anxiété de performance et la perte d’identité – sont propres à l’environnement sportif. Dans cette vidéo, des chercheurs de l’université McMaster discutent de stratégies comme la sensibilisation à la santé mentale, les programmes de développement individualisés et les dépistages de la santé mentale pour améliorer le bien-être des athlètes.

Surestimer les capacités des autres peut nous amener à douter de nous-mêmes. Une étude sur les coureurs de compétition a montré que les prévisions des athlètes concernant leurs performances peuvent varier : les athlètes trop confiants avaient tendance à avoir une vision exagérée de leurs capacités, tandis que les coureurs peu confiants surestimaient leurs concurrents. Trouver un équilibre entre la confiance et le doute peut aider les athlètes à optimiser les résultats de leurs performances.

Les facteurs de stress inattendus liés à la compétition, comme une blessure ou une décision défavorable de l’arbitre, sont courants chez les athlètes. En fait, certains athlètes déclarent subir des facteurs de stress inattendus non pas parce qu’ils ne connaissent pas le facteur de stress, mais parce qu’ils ne pensaient pas que cela leur arriverait. Demander aux athlètes d’énumérer les façons dont d’autres athlètes pourraient vivre la compétition les encourage à reconnaître les facteurs de stress auxquels ils pourraient être confrontés et à s’y préparer.

Les facteurs de stress inattendus peuvent avoir un effet négatif sur le sentiment de stress des athlètes, leur capacité à gérer le stress et leurs performances pendant la compétition. Mais préparer les athlètes à la possibilité que la compétition ne se déroule pas exactement comme prévu peut aider. Reconnaître que la compétition pourrait ne pas se dérouler comme l’athlète l’avait espéré ou prévu est la première étape vers une gestion efficace du stress.

L’autocompassion exige une prise de conscience de la souffrance personnelle et une volonté de s’aider soi-même à traverser une période émotionnellement éprouvante. Les recherches sur l’autocompassion identifient trois composantes essentielles : la bonté envers soi-même, l’humanité commune, et la pleine conscience.

Les facteurs de stress inattendus se produisent souvent et sont plus difficiles à gérer que les facteurs de stress prévus. Cependant, ils peuvent être gérés. Une façon de les gérer est de s’y attendre. Pour aider les athlètes à s’attendre à l’inattendu pendant la compétition, travaillez avec eux pour identifier les facteurs de stress potentiels avant la compétition. Ensuite, établissez des stratégies pour gérer ces facteurs de stress.

De nombreux éléments contribuent à une performance de niveau podium. Il est intéressant de noter que les champions du monde, olympiques et paralympiques déclarent que les compétences mentales ont été plus déterminantes pour leur performance que les facteurs physiques. Le soutien interpersonnel, les stratégies de performance et le mode de vie sont d’autres facteurs qui peuvent aider à développer des athlètes très performants.

La prescription sociale, un outil clinique qui permet aux médecins de traiter les patients souffrant de solitude, met en relation les patients avec des aides non cliniques dans leur communauté. Le type de soutien vers lequel les patients sont orientés peut être aussi large que des sorties au musée ou des cours de danse. Les prescriptions sociales pour les programmes de sport et d’activité physique offrent non seulement une interaction sociale, mais aussi une chance d’améliorer la forme physique et la santé !

Un entraînement physique et mental combiné, déguisé en jeu, peut favoriser un vieillissement sain. À l’aide d’un “Exergame”, similaire à Wii Fit ou Dance Dance Revolution, des adultes atteints de démence ont montré une amélioration significative de leur temps de réaction et de leurs capacités cognitives, telles que l’attention, la concentration, la mémoire et l’orientation.