Use double quotes to find documents that include the exact phrase: "aerodynamic AND testing"

It started with just one. A puzzle, innocently enough, brought out at a Nova Scotia hotel room one night for something to do. With COVID restrictions limiting where the team could go, Team Canada para ice hockey player Tyrone Henry thought the puzzle would be a fun way to help fill the time. 

Since then, puzzles have become a cherished activity by many team members, who now regularly work on and complete several in a weekend, sometimes using an entire hotel room for the task. 

It’s just the thing, especially now as the team centralizes, in a COVID bubble no less, for a full month in advance of their upcoming tournament at the Paralympic Winter Games in Beijing.  

The team is well prepared – in fact the most well-trained, fastest, and skilled they have ever been. It’s been a long road over two quadrennial cycles to get to this point, and significant change has been achieved in many areas to help fit all the pieces of a different kind of puzzle – the high-performance sport one – together. 

One puzzle piece has been a major shift in team mindset when it comes to training and doing the hard work required to compete among the world’s best. To help get the team into top shape, the team began working with Calgary Sport Institute (CSI) Calgary experts to fill gaps in both strength and fitness. 

Both Bryan Yu, Strength and Conditioning Coach at CSI Calgary, and Nicole Bewski, Exercise Physiologist at CSI Calgary, have been working with the team for the past several years. They came into the picture after Hockey Canada brought para ice hockey under its direction. The chance to access experts Yu and Bewski has enabled the team to elevate their preparation to a level not seen before.  

Part of the process involved establishing an Integrated Support Team (IST) for the program – another piece of the puzzle. It’s early days for the IST, but already they have made great strides. “The IST concept is relatively new for the sport of para ice hockey, our function as a group is always evolving,” says Bewski, who is also the IST Lead. 

“This is the first year we have had weekly IST meetings. We are improving our communication pathways and working together as a unit.”

Together with the coaching staff, Yu and Bewski identified speed as a critical factor of the game that the team needed to improve upon. The need for speed – both maximum speed and the capacity to achieve that speed repeatedly throughout a full shift, entire game, and whole tournament – have help shaped the training programs the athletes have followed for the last four years.  

“The biggest gap we identified is anaerobic sustainability – to be fast repeatedly without losing speed,” explains Bewski. “Before they couldn’t get through a tournament without running out of gas.” 

Recognizing that some losses, many of which were to their main rivals, the US, had come in overtime at the end of the tournament, Yu and Bewski focused their attention on improving movement quality through strength training and anaerobic capacity through base training and high intensity training – yet another puzzle piece. 

The duo relied on some long-used testing standards to test and train athlete stamina. Namely the Repeated High Intensity Endurance Test (RHIET), which is normally completed by running, but Bewski and Yu modified the test for para ice hockey. It helped them to measure things like lactate levels, heart rate recovery, maximum speed, and drop in speed over six intervals. 

Henry, who plays defense, says the work has paid off.  “I’m personally feeling very strong,” he says. “The work we’ve put in, the support and focus, it’s phenomenal to make sure we’re peaking at the right time. We are faster than we have ever been.” 

Teammate James Dunn – the youngest player on the team – agrees. “I feel I’ve grown and matured in the last four years, I’ve learned a lot and built up my game. I have a lot more speed and worked hard on my shot.” 

Russel Harrington, the team’s Assistant Coach, is thrilled with the progress that has been achieved. “Testing results are the best that we’ve seen,” he exclaims. “It’s a credit to the IST, athletes, and following the program.” 

Harrington adds that the IST and connection to CSI Calgary have been integral to the development of the program. “We’ve put high expectations on each other, and Bryan and Nicole live up to that every day. The partnership with CSI Calgary has been massively beneficial to the team.” 

And what about those puzzles? 

“We have to finish the all puzzles before the end of the camp!” laughs Henry. “We can’t leave something half-finished.” A good strategy for the puzzles to be sure, but also a perfect mindset to carry into the Paralympic Games, too.

Tout a commencé assez innocemment. Un seul casse-tête, un soir, pour avoir quelque chose à faire dans une chambre d’hôtel de la Nouvelle-Écosse. Avec les restrictions de COVID qui limitent les endroits où l’équipe pourrait aller, Tyrone Henry, joueur de hockey sur glace paralympique d’Équipe Canada, croyait que ce casse-tête serait une façon amusante de passer le temps.

Depuis, les casse-têtes sont devenus une activité précieuse pour de nombreux membres de l’équipe, qui en assemblent plusieurs chaque fin de semaine, en utilisant parfois une chambre d’hôtel entière. 

C’est ce qu’il fallait, surtout maintenant que l’équipe est en train de se centraliser, dans une bulle de COVID qui plus est, un mois entier avant leur prochain tournoi aux Jeux paralympiques d’hiver de Beijing. 

L’équipe est bien préparée. En fait, elle est mieux entraînée, plus rapide et plus qualifiée que jamais. Après deux cycles quadriennaux, la route a été longue pour se rendre jusqu’ici, et des changements importants ont été apportés dans plusieurs domaines pour trouver une place à toutes les pièces d’un casse-tête très différent, celui du sport de haute performance.

Une des pièces de ce casse-tête a été un changement majeur dans l’esprit d’équipe en ce qui concerne l’entraînement et le travail acharné requis pour faire compétition avec les meilleurs au monde. Pour atteindre son plein potentiel, l’équipe a commencé à travailler avec des experts de l’Institut canadien du sport de Calgary pour combler les lacunes en matière de force et de forme physique. 

Bryan Yu, préparateur physique à l’ICS Calgary, et Nicole Bewski, physiologiste de l’exercice à l’ICS Calgary, travaillent en duo avec l’équipe depuis plusieurs années. Ils sont arrivés dans le portrait après que le para-hockey soit passé sous la direction de Hockey Canada. L’occasion d’accéder à l’expertise du duo a permis à l’équipe d’élever leur préparation à un niveau jamais vu auparavant.  

Une partie du processus consiste à mettre sur pied une équipe de soutien intégré pour le programme, ce qui constitue une autre pièce du casse-tête. Cette équipe de soutien intégré en est encore à ses débuts, mais elle a déjà fait de grands progrès. « Le concept d’une équipe de soutien intégré est relativement nouveau pour le para-hockey, notre fonction en tant que groupe est donc en constante évolution, explique Mme Bewski, qui est également la chef de l’équipe de soutien intégré. C’est la première année où nous tenons des réunions hebdomadaires pour cette équipe. Nous améliorons nos voies de communication et collaborons en tant qu’unité. »

En travaillant avec le personnel d’entraînement, M. Yu et Mme Bewski ont déterminé que la vitesse était un facteur essentiel du jeu que l’équipe devait améliorer. Le besoin de vitesse, à la fois la vitesse maximale et la capacité d’atteindre cette vitesse à répétition pendant un quart complet, un match entier et tout un tournoi, a aidé à donner forme aux programmes d’entraînement suivis par les athlètes au cours des quatre dernières années.

« Le plus grand écart que nous avons identifié est la durabilité en anaérobie : être rapide à répétition sans perdre de vitesse, explique Mme Bewski. Auparavant, l’équipe n’était pas en mesure de passer à travers un tournoi sans manquer de gaz. »

Après avoir reconnu que certaines défaites, dont plusieurs contre leurs principaux rivaux, les américains, arrivaient en temps supplémentaire à la fin du tournoi, le duo a concentré son attention sur l’amélioration de la qualité des mouvements par l’entraînement musculaire et la capacité d’anaérobie grâce à un entraînement de base et à un entraînement à haute intensité, ce qui constitue une autre pièce du casse-tête.

Ils se sont appuyés sur des normes de tests de longue date pour mettre à l’essai et entraîner l’endurance des athlètes. Par exemple, le test RHIET (test d’exercice répété à haute intensité), qui est normalement effectué pour la course, mais M. Yu et Mme Bewski ont modifié le test pour le para-hockey sur glace. Il les a aidés à mesurer les taux de lactate, la récupération de la fréquence cardiaque, la vitesse maximale et la diminution de la vitesse sur six intervalles.

Tyrone, qui est défenseur, affirme que ce travail a porté fruit : « Je me sens personnellement très fort. Le travail que nous avons accompli, ainsi que le soutien et la concentration, ont eu des résultats phénoménaux pour nous assurer que nous atteignons notre plein potentiel au moment opportun. Nous sommes plus rapides que jamais. »

Son coéquipier James Dunn, le plus jeune joueur de l’équipe, est d’accord : « J’ai l’impression d’avoir grandi et mûri au cours des quatre dernières années, j’ai beaucoup appris et j’ai amélioré mon jeu. J’ai beaucoup plus de vitesse et j’ai travaillé fort sur mon tir. »

Russel Harrington, l’entraîneur adjoint de l’équipe, est ravi des progrès réalisés. « Les résultats des tests sont les meilleurs que nous avons vus! s’exclame-t-il. C’est grâce à l’équipe de soutien intégré, aux athlètes et au suivi du programme. »

M. Harrington ajoute que l’équipe de soutien intégré et le lien avec l’ICS Calgary ont été essentiels à l’élaboration du programme. « Nous avons des attentes élevées les uns envers les autres, et Bryan et Nicole sont chaque jour à la hauteur. Le partenariat avec l’ICS Calgary a été extrêmement bénéfique pour l’équipe. »

Et qu’en est-il de ces casse-têtes?

« Nous devons terminer tous les casse-têtes avant la fin du camp! plaisante Tyrone. « Nous ne pouvons pas laisser quelque chose à moitié fini. » C’est une bonne stratégie pour les casse-têtes, mais aussi un état d’esprit parfait pour les Jeux paralympiques.