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Institut canadien du sport de l’Ontario (ICSO) – L’Institut canadien du sport de l’Ontario (ICSO) est fier d’appuyer Équipe Canada et ses athlètes, entraîneurs et membres du personnel de soutien pour tous les jeux majeurs, dont les Jeux parapanaméricains de 2019, à Lima au Pérou. En plus de travailler avec 57 athlètes affiliés à l’ICSO participant aux Jeux dans leur environnement d’entraînement quotidien et lors des camps et des compétitions, l’ICSO appuie Équipe Canada en lui fournissant plusieurs de ses praticiens experts pour travailler ou faire du bénévolat lors des Jeux. L’ICSO croit que ces événements multisports et ces jeux majeurs constituent des occasions inestimables pour son personnel de se surpasser, d’apprendre et de mûrir dans un environnement différent, ainsi que de voir en action sur la scène internationale les athlètes avec qui nous travaillons. 

L’ICSO est également fier d’envoyer six membres de son personnel sur le terrain aux Jeux parapanaméricains de Lima pour soutenir le Canada dans divers rôles :   

  • Remo Bucci (massothérapeute – para-athlétisme)
  • Dre Kim Coros (docteur, base et para-athlétisme)
  • Dr Steve Dilkas (docteur, base et basketball en fauteuil roulant)
  • Melissa LaCroix (physiologiste – rugby en fauteuil roulant)
  • Krista McHardy (thérapeute sportive – basketball en fauteuil roulant)
  • Lindsay Musalem (spécialiste en analyse de la performance lors des jeux, base, para-athlétisme et basketball en fauteuil roulant)

 

Apprenez-en davantage sur leurs rôles à l’ICSO et sur leur parcours vers les Jeux dans la section ci-dessous :

Remo Bucci, massothérapeute autorisé, certification de massothérapeute du sport
Titre de poste à l’ICSO :
massothérapeute enregistré
Rôle aux Jeux parapanaméricains : massothérapeute – para-athlétisme

Parlez-nous de votre parcours professionnel.

Une blessure subie dans la construction a changé mon cheminement professionnel et m’a ouvert un nouveau monde d’opportunités. J’ai suivi différentes thérapies pendant ma convalescence et pour moi, la massothérapie était ce qui m’aidait le plus. C’est aussi la massothérapie qui m’a amené à changer de carrière. Je suis retourné à l’école et je suis devenu massothérapeute enregistré en 1995, puis j’ai obtenu une certification de massothérapeute du sport en 2000. À partir de ce moment, l’occasion de m’impliquer lors des Jeux du Canada de 2001 à London, en Ontario, s’est présentée à moi, ce qui m’a ensuite permis de faire partie de l’équipe médicale de base en 2003 pour les Jeux universitaires de la FISU en Corée du Sud, et de participer aux Jeux paralympiques d’Athènes en 2004 et aux Jeux olympiques de Turin en 2006. J’ai développé des liens avec Athlétisme Canada et j’ai commencé à travailler avec eux, ce qui m’a amené à faire partie de leur équipe de soutien intégré pour le para-athlétisme pendant des années. Cela comprenait le travail lors des camps et des compétitions importantes. En 2014, une opportunité s’est présentée à l’ICSO pour travailler comme contractant avec Natation Canada, et une autre en 2015 avec Cyclisme Canada. En 2016, des changements positifs à Athlétisme Canada m’ont amené à devenir un employé de l’ICSO et à travailler avec les trois équipes dans leur environnement d’entraînement quotidien et lors des camps et des compétitions. En grande partie, cela n’aurait pas été possible sans l’héritage laissé par les Jeux panaméricains et parapanaméricains de Toronto en 2015.

Quand avez-vous commencé à travailler pour l’ICSO?

Le 11 novembre 2014. Je m’en souviens parce que c’était le jour du Souvenir. Je travaillais avec un athlète et je me suis arrêté pour observer le moment de silence.

Quel parcours vous a permis de vous rendre aux Jeux parapanaméricains?

Étant donné qu’Athlétisme Canada veut que son personnel de soutien puisse autant travailler avec les athlètes non handicapés que les athlètes paralympiques, j’ai pu participer aux Jeux olympiques de Rio, et, maintenant, je vais me rendre à ces Jeux parapanaméricains. Aussi, je n’ai participé à aucun Jeu paralympique multisports depuis les Jeux parapanaméricains de 2011 à Guadalajara, alors j’ai pensé que ce serait une excellente occasion de m’impliquer à nouveau dans les disciplines paralympiques.

Qu’est-ce que cela représente pour vous de vous rendre aux Jeux parapanaméricains? 

C’est tellement formidable et passionnant! J’adore le fait que de faire partie d’Équipe Canada lors d’un événement multisports crée une atmosphère familiale et encourage vraiment le développement d’un réseau de soutien, tant entre les praticiens qu’entre tous les sports. On a vraiment l’impression d’avoir un filet de sécurité et le soutien des autres équipes.

Qu’espérez-vous apprendre?

J’ai hâte d’en apprendre davantage sur les gens et la culture. Les athlètes qui sont revenus des Jeux panaméricains disent beaucoup de bien des bénévoles péruviens et des habitants du Pérou, c’est donc quelque chose que je suis impatient de constater. Je suis aussi hâte d’apprendre de nouvelles choses. Je ne sais pas encore ce que ce sera, mais j’apprends toujours quelque chose de nouveau lors des Jeux multisports.

 

Quel est l’un des moments les plus marquants de votre carrière dans le domaine sportif?

Ma première expérience paralympique multisports a été aux Jeux paralympiques de 2004 en Grèce, où Chantal Petitclerc a remporté 5 médailles d’or. En tant que membre de l’équipe médicale de base, je travaillais en athlétisme et je devais rester sur le site la plupart du temps, parce que le village olympique était à au moins 45 minutes. Lorsque Chantal a remporté sa 4e médaille d’or, la finale avait eu lieu à 20 h ou 21 h. Elle a ensuite dû passer par les médias, le contrôle antidopage et à la toute fin la massothérapie. Je n’ai pu la voir que vers 22 h 30, il n’y avait pas de tente d’échauffement et les seules lumières étaient celles de la piste. Nous avons dû faire vite et elle m’a aidé à tout ramasser, puis nous nous sommes précipités pour prendre le dernier bus, qui était à 23 h. C’était ma première expérience paralympique, et cette athlète expérimentée plusieurs fois médaillée, parce que je l’avais aidée, m’a aidé moi aussi. La cerise sur le gâteau de cette merveilleuse expérience, c’est qu’elle m’a donné en guise de remerciement une photo autographiée d’elle et de ses cinq médailles sur laquelle était écrit un message personnalisé.

Un autre souvenir mémorable a été celui des Jeux olympiques de Turin en 2006. J’étais le seul massothérapeute de l’équipe médicale de base, et je devais me rendre à trois villages différents. Ce fut une expérience formidable de circuler entre les différents sites et villages et d’interagir avec les athlètes et le personnel de soutien. Comme je suis de descendance italienne, c’était également formidable de pouvoir apprendre à connaître la culture italienne.

Avant que Remo ne parte pour Lima, il a participé à notre nouvelle série de vidéos « Cinq minutes avec… », où nous lui avons posé cinq questions rapides! (insérer la vidéo)

Dre Kim Coros
Titre de poste à l’ICSO :
Médecin en médecine sportive
rôle aux Jeux parapanaméricains : docteur, base et para-athlétisme

 

Parlez-nous de votre parcours professionnel.

Le sport a toujours été une partie importante de ma vie. Bien que je ne sois pas l’athlète individuelle la plus talentueuse, j’ai toujours bien travaillé en équipe. Grâce au sport, j’ai rencontré certains de mes meilleurs amis, vécu certains de mes moments les plus mémorables et appris certaines des leçons les plus importantes de la vie. Lorsque l’université est arrivée, il était clair que je ne serais jamais une athlète de haut niveau, mais j’aimais toujours le sport (et il n’était pas rare de me voir étudier dans les gradins pendant que l’une des équipes universitaires pratiquait). J’ai commencé à jouer un rôle de soutien – en faisant du bénévolat comme entraîneuse athlétique et en travaillant comme coordonnatrice sportive (tout en poursuivant mes études). Après un certain temps, j’ai commencé à travailler avec une équipe universitaire dont l’une des athlètes avait un handicap physique. J’ai été tellement inspirée par son dynamisme et son attitude positive. Elle était l’une des meilleures athlètes de l’équipe et le seul handicap évident qu’elle avait par rapport à ses coéquipières était qu’elle ne pouvait pas se faire une queue de cheval (un rôle que je prenais très au sérieux)! Son handicap m’a permis de découvrir un nouvel élément de créativité dans le sport. C’est à ce moment que j’ai non seulement réalisé que je voulais travailler dans le sport, mais que je voulais travailler dans le sport avec des personnes handicapées.

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir votre profession?

Après avoir obtenu un diplôme de premier cycle en kinésiologie, je désirais poursuivre mes études et j’ai postulé en conception prothétique et orthétique, en biomécanique et en médecine. J’ai fini par accepter un poste à l’école de médecine (pensant que j’aurais à porter une blouse toute la journée). Une fois là-bas, j’ai passé les quelques années suivantes à essayer de déterminer quel type de médecin travaille avec des athlètes handicapés. J’ai passé du temps avec des médecins de famille (y compris ceux qui font de la médecine sportive), des chirurgiens orthopédistes, des rhumatologues, des neurologues et, finalement, j’ai découvert la physiatrie. J’ai ensuite complété mon programme de médecine physique et de réadaptation à l’Université de Toronto et j’ai obtenu mon diplôme de l’Académie canadienne de médecine du sport et de l’exercice. Éventuellement, j’ai trouvé un moyen pour que mes connaissances, ma créativité et mes aptitudes au travail d’équipe s’intègrent le mieux au sport : les activités parasportives! Maintenant, j’espère être en mesure d’aider les athlètes à vivre le même type d’expériences positives que celles que j’ai vécues grâce au sport.

 

Quand avez-vous commencé à travailler pour l’ICSO?

J’ai commencé à travailler pour l’ICSO en tant que résidente médicale bénévole et je réalisais des examens physiques annuels de préparticipation pour l’équipe de basketball en fauteuil roulant. J’ai commencé officiellement en tant que membre du personnel en 2015 (et j’espère continuer pendant de nombreuses années encore)!

 

Quel est votre rôle lors des Jeux parapanaméricains?

J’offrirai une couverture médicale à l’équipe de base, principalement en para-athlétisme, et ensuite en parabadminton. Mon travail sera de veiller à ce que tous les athlètes soient en bonne santé afin qu’ils puissent donner le meilleur d’eux-mêmes.

 

Quel parcours vous a permis d’être sélectionnée comme personnel de soutien d’Équipe Canada aux Jeux parapanaméricains?

J’ai commencé par offrir une couverture médicale bénévole lors d’événements locaux (10 km de Sporting Life, marathon de Mississauga, Fédération des associations d’athlétisme scolaire de l’Ontario). En 2015, j’ai agi à titre de responsable de site pour le volley-ball assis aux Jeux parapanaméricains de Toronto. Plus tard, j’ai pu faire du bénévolat pour les Invictus Games. Je suis devenue médecin pour Athlétisme Canada au Centre de l’Est du Canada et je m’apprête à me rendre à Lima pour aider notre équipe paralympique.

 

Qu’est-ce que cela signifie pour vous de faire partie du personnel de soutien d’Équipe Canada pour les Jeux parapanaméricains?

Petite fille, je rêvais de représenter le Canada à des jeux majeurs. Cette expérience est donc un rêve devenu réalité. Je crois que la plupart des gens considèrent les jeux majeurs, y compris les Jeux parapanaméricains, comme un sommet dans la carrière sportive d’un athlète. Il en va de même pour le personnel de soutien. Je suis fière de pouvoir utiliser mes forces afin de permettre aux athlètes de vivre la meilleure expérience possible alors qu’ils représentent notre pays (et je n’ai pas à supporter autant de regards braqués sur moi… ce qui m’a toujours rendue nerveuse).

Qu’espérez-vous apprendre ou expérimenter lors de ces Jeux parapanaméricains?

J’ai hâte de voir en action certaines des disciplines paralympiques les moins diffusées à la télévision. J’aime bien le fait de pouvoir apprendre de nouvelles choses grâce aux membres de mon équipe et de voir comment d’autres personnes arrivent à résoudre des problèmes de façon créative. Je peux ainsi faire profiter les athlètes et les patients locaux des connaissances que je rapporte avec moi. Enfin, j’ai hâte d’assister à des performances inspirantes qui illustrent l’éthique de travail, l’intégrité et le plaisir qui caractérisent le sport et qui m’ont fait aimer ce domaine en premier lieu.

Quel est l’un des moments les plus marquants de votre carrière dans le domaine sportif?

Le sport m’a fait vivre beaucoup de moments inoubliables. Faire partie d’une équipe gagnante est toujours plaisant, mais certains des moments les plus forts que j’ai vécus dans le sport sont le fruit d’une réflexion tranquille lorsque les choses ne se déroulent pas comme prévu, et certains des moments les plus excitants sont venus de « victoires » qui n’étaient pas à la première marche du podium. Dans l’ensemble, j’ai hâte d’aider chaque athlète à performer au meilleur de ses capacités et je pense que mon moment préféré dans le sport est encore à venir.

Cinq minutes avec…Kim Coros

  1. Qu’avez-vous le plus hâte de faire aux Jeux parapanaméricains?

Estoy muy emocionado de aprender = J’ai vraiment hâte d’apprendre. J’ai hâte d’en apprendre davantage sur les différents sports et les différentes classifications, d’apprendre des autres membres de l’équipe et de connaître les histoires des athlètes. Je pourrai aussi m’exercer en espagnol.

  1. Quel conseil donneriez-vous à un jeune praticien en science du sport ou en médecine sportive qui souhaite travailler dans le sport de haute performance?

Commencez localement et gagnez un peu d’expérience, puis continuez à faire ce que vous aimez.

D’où tenez-vous votre inspiration?

Je m’inspire de l’équipe extraordinaire qui m’entoure : les athlètes, les membres de l’équipe de soutien intégré, les amis et la famille. Lorsque vous travaillez au sein d’une équipe passionnée par le succès, c’est contagieux et cela rend l’expérience beaucoup plus significative.

Quelle incidence l’ICSO a-t-il eu sur votre carrière?

 

Travailler à l’ICSO m’a donné la chance de travailler avec un grand nombre d’athlètes et de membres du personnel de soutien de haut niveau qui sont parmi les meilleurs au monde. Je crois que c’est en grande partie l’expérience que j’ai acquise en travaillant à l’ICSO qui me permet de participer aux Jeux parapanaméricains au Pérou.

 

  1. Décrivez l’ICSO en un mot.

 

Passion. Tous ceux et celles que je rencontre à l’ICSO ont une chose en commun : la passion. La passion pour le sport, pour notre pays et pour repousser les limites du savoir et de la technologie afin d’aider nos athlètes à donner le meilleur d’eux-mêmes.

 

Melissa LaCroix, M.Sc. Thérapeute sportive canadienne accréditée
Titre de poste à l’ICSO : Physiologiste du sport
Rôle aux Jeux parapanaméricains : Physiologiste, rugby en fauteuil roulant

Parlez-nous de votre parcours professionnel.

Il y a 7 ans, à la suite de mon programme de maîtrise, j’ai effectué un stage dans l’Ouest canadien à l’Institut canadien du sport Pacifique (ICSP) à titre de physiologiste du sport. Peu de temps après mon stage, j’ai accepté un poste à temps plein de physiologiste en chef pour les équipes de rugby en fauteuil roulant de Rugby Canada, tout en continuant de supporter un certain nombre d’autres équipes nationales et provinciales. En décembre 2018, j’ai déménagé en Ontario pour travailler à l’ICSO, où je continue de travailler avec les équipes de rugby en fauteuil roulant de Rugby Canada et plusieurs autres sports.

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir votre profession?

En tant qu’ancienne athlète, j’ai toujours été passionnée par la science et la physiologie de l’entraînement et par l’individualité des athlètes. En tant que physiologiste du sport, ma motivation professionnelle consiste à trouver des moyens novateurs d’aider les athlètes à atteindre leur plein potentiel sportif.

 

Quand avez-vous commencé à travailler pour l’ICSO?

Je fais partie de l’équipe de l’ICSO depuis 8 mois et j’ai auparavant travaillé à l’ICSP pendant 7 ans.

 

Quel est votre rôle lors des Jeux parapanaméricains?

Mon rôle aux Jeux est d’appuyer les athlètes en fauteuil roulant de Rugby Canada dans leur préparation physique sur le terrain et à l’extérieur du terrain (nutrition, hydratation, effort) et dans la gestion de la thermorégulation.

 

Qu’est-ce que cela signifie pour vous de faire partie du personnel de soutien d’Équipe Canada pour les Jeux parapanaméricains?

C’est un honneur de faire partie du personnel de soutien d’Équipe Canada. Je suis reconnaissante de l’occasion qui m’est donnée de vivre une expérience à des jeux internationaux majeurs et d’appuyer nos athlètes canadiens sur la scène internationale.

 

Qu’espérez-vous apprendre ou expérimenter lors de ces Jeux parapanaméricains? 

Acquérir des connaissances et de l’expérience sur la meilleure façon de soutenir les athlètes et le personnel lors d’un événement multisports majeur.

 

Quel est l’un des moments les plus marquants de votre carrière dans le domaine sportif?

Il est toujours extrêmement gratifiant de voir le travail acharné d’un athlète dans son entraînement quotidien porter fruit sur le terrain et à l’extérieur du terrain, ainsi que lors des essais et des compétitions.

Mon moment sportif préféré avec les équipes de rugby en fauteuil roulant de Rugby Canada a été lorsqu’ils ont battu les États-Unis dans un match spectaculaire et remporté la médaille d’or aux Jeux parapanaméricains de 2015, devant une foule comble à Toronto, chez eux.

 

Cinq minutes avec… Melissa LaCroix

  1. Qu’avez-vous le plus hâte de faire aux Jeux parapanaméricains?

Ressentir l’excitation dans tout le village, célébrer le succès de chaque athlète en tant que membre d’Équipe Canada, tirer des leçons des occasions manquées, mais surtout célébrer et apprécier ce que tous les athlètes des Jeux parapanaméricains sont capables d’accomplir malgré les défis qu’ils doivent surmonter dans leur vie quotidienne.

  1. Quel conseil donneriez-vous à un jeune praticien en science du sport ou en médecine sportive qui souhaite travailler dans le sport de haute performance?  

Trouvez un bon mentor qui travaille dans le sport de haut niveau et travaillez aussi fort à développer vos aptitudes en communication et en relations interpersonnelles et sociales qu’à parfaire vos connaissances en sciences du sport. La qualité de vos idées et de vos connaissances dépend de vos aptitudes à les communiquer et de votre capacité à entrer en relation avec les athlètes, les entraîneurs et le personnel.

  1. D’où tenez-vous votre inspiration?

Être entourée des meilleurs athlètes, entraîneurs et experts de leur domaine et qui partagent tous la même passion et le même engagement pour atteindre leurs objectifs, repousser leurs limites et les limites de la science du sport.

  1. Quelle incidence l’ICSO a-t-il eu sur votre carrière?

Travailler à l’ICSO me donne l’occasion de collaborer avec d’autres experts passionnés et bien informés et de partager nos connaissances. Chaque jour, mes collègues, mes entraîneurs et mes athlètes me poussent à devenir une meilleure coéquipière, une meilleure physiologiste et une meilleure personne au travail et dans la vie.

  1. Décrivez l’ICSO en un mot.

    International.

 

Krista McHardy, massothérapeute autorisée, thérapeute sportive canadienne accréditée et entraîneuse certifiée en athlétisme
Titre de poste à l’ICSO :
Thérapeute sportive
Rôle aux Jeux parapanaméricains : Thérapeute sportive, basketball masculin en fauteuil roulant

Parlez-nous de votre parcours professionnel.

Après avoir terminé ma maîtrise en entraînement athlétique à la Temple University de Philadelphie, j’ai passé les sept années suivantes à travailler pour Temple Orthopedics, une entreprise chargée de couvrir tous les sports d’une école secondaire. Je travaillais également un matin par semaine à la clinique afin d’aider le chirurgien à faire des plâtres, enlever les points de suture après une opération, etc. En 2013, je suis revenue au Canada et j’ai commencé à travailler à l’ICSO pour le programme de l’Académie nationale de basketball en fauteuil roulant Canada. En 2016, après les Jeux paralympiques de Rio, je suis devenue thérapeute à temps plein au Centre national d’entraînement de basketball en fauteuil roulant du Canada. Je travaille avec les athlètes en développement de l’Académie ainsi qu’avec les équipes nationales seniors.

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir votre profession?

J’ai grandi en regardant le football et je me suis rendu compte que je m’attardais davantage à ce qui se passait sur le terrain et sur la ligne de touche lorsque les athlètes étaient blessés qu’au match lui-même. Ce fut une progression naturelle à partir de ce moment.

 

Quand avez-vous commencé à travailler pour l’ICSO?

En septembre 2013 en tant que contractante, et embauchée à temps plein depuis décembre 2013.

 

Quel est votre rôle lors des Jeux parapanaméricains?

Thérapeute sportive pour l’équipe de basketball masculin en fauteuil roulant

 

Quel parcours vous a permis d’être sélectionnée comme personnel de soutien d’Équipe Canada aux Jeux parapanaméricains?

J’ai été sélectionnée par Basketball en fauteuil roulant Canada.

 

Qu’est-ce que cela signifie pour vous de faire partie du personnel de soutien d’Équipe Canada pour les Jeux parapanaméricains?

C’est palpitant de faire partie de l’équipe qui appuie nos athlètes et qui représente le Canada. Comme beaucoup d’athlètes qui ont suivi les programmes de perfectionnement pour en arriver là, j’ai aussi gravi les échelons avec eux, ce qui me procure un sentiment d’accomplissement à moi aussi.

 

Qu’espérez-vous apprendre ou expérimenter lors de ces Jeux parapanaméricains? 

Faire partie de la grande équipe et avoir l’occasion de rencontrer des gens d’autres sports et d’apprendre d’eux.

 

Quel est l’un des moments les plus marquants de votre carrière dans le domaine sportif?

En 2009, lorsque l’école secondaire de Philadelphie où je travaillais a remporté les championnats de basketball garçons et filles de Pennsylvanie pour la première fois de l’histoire de la Ligue.

 

Cinq minutes avec… Krista McHardy

  1. Qu’avez-vous le plus hâte de faire aux Jeux parapanaméricains?

    C’est ma première expérience de Jeux multisports, donc je suis enthousiaste à l’idée de faire partie d’une grande équipe comprenant d’autres sports.

  2. Quel conseil donneriez-vous à un jeune praticien en science du sport ou en médecine sportive qui souhaite travailler dans le sport de haute performance?  

Soyez ouvert aux possibilités, même si ce n’est pas ce que vous désiriez à l’origine. Je n’aurais jamais pensé travailler dans le domaine paralympique. Lorsque le moment est venu pour moi de choisir où faire ma maîtrise, j’ai eu une entrevue à l’Université de l’Illinois pour une bourse d’assistante de recherche en basketball en fauteuil roulant, un programme alors dirigé par Mike Frogley. J’ai plutôt choisi d’aller à la Temple University et, 9 ans plus tard, j’ai fini par travailler à la toute nouvelle Académie de basketball en fauteuil roulant sous la direction de Mike Frogley, ce qui m’a finalement amenée à participer aux Jeux parapanaméricains.

  1. D’où tenez-vous votre inspiration?

Principalement des athlètes et des entraîneurs. Quand je vois à quel point ils travaillent dur, cela me motive à faire ce que je peux pour les soutenir.
 

  1. Quelle incidence l’ICSO a-t-il eu sur votre carrière?

L’ICSO a appuyé mon cheminement en tant que thérapeute et m’a donné l’occasion de collaborer avec d’autres praticiens des sciences du sport, ce qui a contribué à augmenter ma capacité à aider nos athlètes.

  1. Décrivez l’ICSO en un mot.
  2.  

 

 

Lindsay Musalem, M.Sc.
Titre de poste à l’ICSO :
Biomécanicienne du sport
Rôle aux Jeux parapanaméricains : Spécialiste en analyse de la performance aux Jeux, équipe de base, para-athlétisme et basketball en fauteuil roulant

 

Parlez-nous de votre parcours professionnel.

J’ai commencé à travailler pour l’ICSO en 2012 comme stagiaire en sciences du sport. Après avoir complété ma maîtrise à l’Université de Toronto, je suis retournée à l’ICSO comme chercheuse en biomécanique pour le basketball en fauteuil roulant et comme directrice du laboratoire sportif. Au cours des trois années suivantes, j’ai réalisé plusieurs projets de recherche financés par les subventions du programme Innovations pour l’or d’À nous le podium pour les disciplines du basketball en fauteuil roulant et du plongeon. Maintenant que je suis biomécanicienne en athlétisme et en plongeon, je travaille au jour le jour avec des athlètes non handicapés et des athlètes paralympiques et je continue d’essayer d’innover pour améliorer la performance des athlètes et de réduire leurs risques de blessure.

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir votre profession?

J’ai toujours été passionnée pour le sport. Ayant travaillé en basketball en fauteuil roulant pendant 4 ans, j’ai développé un intérêt pour les disciplines paralympiques et j’ai essayé d’améliorer le processus de conception et de sélection de l’équipement.

 

Quand avez-vous commencé à travailler pour l’ICSO?

J’ai commencé à travailler à l’ICSO en 2012.

 

Quel est votre rôle lors des Jeux parapanaméricains?

Je collabore avec le CPC en tant que spécialiste en analyse de la performance aux Jeux. Je vais travailler dans plusieurs sports, dont le para-athlétisme et le basketball en fauteuil roulant.

 

Quel parcours vous a permis d’être sélectionnée comme personnel de soutien d’Équipe Canada aux Jeux parapanaméricains?

J’ai été recrutée par le CPC après avoir travaillé aux Jeux panaméricains de 2015 à Toronto.

 

Qu’est-ce que cela signifie pour vous de faire partie du personnel de soutien d’Équipe Canada pour les Jeux parapanaméricains?

C’est très excitant de participer encore une fois à des jeux majeurs en compagnie de plusieurs équipes avec lesquelles j’ai travaillé. Regarder nos athlètes canadiens compétitionner au plus haut niveau, après avoir vu tout le travail qu’ils ont accompli, est toujours un spectacle incroyable.

 

Qu’espérez-vous apprendre ou expérimenter lors de ces Jeux parapanaméricains? 

J’espère aider les athlètes et les entraîneurs autant que possible à Lima, et j’espère apprendre tout ce que je peux pour me préparer à Tokyo 2020.

 

Quel est l’un des moments les plus marquants de votre carrière dans le domaine sportif?

Mes moments préférés dans le sport ont été de voir les athlètes progresser des équipes juniors ou de perfectionnement jusqu’aux équipes nationales seniors et obtenir des résultats incroyables sur la scène internationale.

 

Cinq minutes avec… Lindsay Musalem

  1. Qu’avez-vous le plus hâte de faire aux Jeux parapanaméricains?

    J’ai hâte d’œuvrer au sein des sports avec lesquels je travaille quotidiennement, ainsi qu’avec les sports dans lesquels je n’ai pas encore eu l’occasion de travailler au CPC. J’ai beaucoup appris en voyant comment les autres sports fonctionnent.
     

  2. Quel conseil donneriez-vous à un jeune praticien en science du sport ou en médecine sportive qui souhaite travailler dans le sport de haute performance?

    Continuez toujours à apprendre. Tous ceux que vous rencontrez peuvent vous apprendre quelque chose : les athlètes, les entraîneurs et les autres praticiens.
     

  3. D’où tenez-vous votre inspiration?

Outre ma famille, je m’inspire des gens avec qui je travaille : les athlètes, les entraîneurs et les praticiens. Voir les autres travailler dur et surmonter l’adversité pour atteindre leurs objectifs est vraiment inspirant.

  1. Quelle incidence l’ICSO a-t-il eu sur votre carrière?

L’ICSO m’a donné l’occasion de travailler dans plusieurs sports et m’a permis de fusionner mes intérêts de recherche avec le travail quotidien en sciences du sport. J’ai eu l’occasion de mettre en pratique la recherche avec certains des meilleurs athlètes au monde.

  1. Décrivez l’ICSO en un mot.
     
  2. Remarque : Le Dr Dilkas n’était pas disponible pour répondre à nos questions avant son départ pour les Jeux parapanaméricains.

 

À propos de l’Institut canadien du sport de l’Ontario

L’Institut canadien du sport de l’Ontario (ICSO) est un organisme sans but lucratif qui se consacre à la quête de l’excellence en offrant des programmes, des services et un leadership de calibre mondial aux athlètes et aux entraîneurs de haut niveau afin d’améliorer leur capacité à monter sur le podium au niveau international. L’ICSO offre aux athlètes un éventail de services en sciences et médecine du sport, notamment dans les domaines de la nutrition, la physiologie, la biomécanique, la préparation physique, la performance mentale, la thérapie sportive et les services de subsistance. L’ICSO offre également des programmes et des services à des organismes sportifs nationaux et provinciaux, ainsi qu’à leurs entraîneurs, afin de renforcer les structures sportives en Ontario et au Canada.

L’ICSO offre ses services à environ 700 athlètes de haut niveau et à 250 entraîneurs dans ses installations principales du Centre sportif panaméricain de Toronto, dans son site satellite du Centre de cyclisme national Mattamy à Milton et dans ses environnements d’entraînement quotidien partout en Ontario. L’ICSO fait partie d’un vaste réseau de quatre instituts et de trois centres multisports à l’échelle du pays, le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada, en partenariat avec le Comité olympique canadien et le Comité paralympique canadien. L’ICSO bénéficie du soutien du ministère du Tourisme, de la Culture et du Sport, de Sport Canada, d’À nous le podium et de l’Association canadienne des entraîneurs, ainsi que des organismes sportifs nationaux et provinciaux du secteur. www.csiontario.ca/fr 

 

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Personne-ressource pour les médias

Laura Albright, gestionnaire des communications et des événements
Institut canadien du sport de l’Ontario
Tél. : 416 596-1240, poste 238
Courriel : lalbright@csiontario.ca
www.csiontario.ca