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Institut canadien du sport de l’Ontario – L’Institut canadien du sport de l’Ontario (ICSO) est fier d’appuyer les athlètes et les entraîneurs pendant leur carrière et de célébrer leurs succès avec leurs partisans.

Comment l’ICSO collabore-t-il avec les entraîneurs? Le personnel de l’ICSO travaille avec des entraîneurs de haut niveau pour fournir des services de médecine du sport, de sciences du sport et du soutien aux programmes.  Les entraîneurs s’engagent également envers l’ICSO à continuer d’améliorer leurs connaissances en participant à plusieurs occasions de perfectionnement professionnel, à des tables rondes sur l’entraînement, à du mentorat ou à une formation en entraînement formelle en association avec le programme de diplôme avancé en entraînement du PNCE ou en participant à d’un des nombreux ateliers en perfectionnement de compétition du PNCE qui se déroulent à l’ICSO.  

Même si la communauté sportive célèbre les succès des athlètes canadiens avant, pendant et après les Jeux panaméricains, il est important de reconnaître le soutien quotidien des entraîneurs, qui travaillent souvent dans les coulisses pour fournir aux athlètes un bon environnement pour qu’ils se perfectionnent. Les entraîneurs inspirent, motivent, perfectionnent et appuient les athlètes pendant leur carrière.

Nous sommes ravis de voir que plusieurs des entraîneurs que l’ICSO a engagés au cours des dernières années participent maintenant aux Jeux panaméricains de 2019 à Lima. Nous présentons ci-dessous trois entraîneurs qui sont actuellement à Lima et qui continuent à donner le meilleur d’eux-mêmes au quotidien, dans leur travail et pour les athlètes. Veuillez découvrir les profils de Ryan Blair (canoë-kayak), Carol Love (aviron) et Don Burton (natation)

 

Félicitations et merci à tous les entraîneurs qui participent aux Jeux à Lima.

 

Ryan Blair, EPC

Directeur technique, Canoe Kayak Ontario

Entraîneur de sprint en canoë-kayak, Jeux panaméricains de 2019

En tant qu’entraîneur, quel parcours vous a permis de vous rendre aux Jeux panaméricains?
J’ai commencé à travailler à temps plein comme entraîneur à l’âge de 19 ans. Depuis lors, j’ai eu l’occasion de travailler dans plusieurs clubs de canoë, ainsi qu’occuper mon poste actuel de directeur technique en sprint pour Canoe Kayak Ontario. J’ai eu la chance d’entraîner des athlètes de différents niveaux, dont des pagayeurs novices et des athlètes ayant atteint le podium à l’international. 

Pourquoi êtes-vous devenu entraîneur?
L’entraînement m’a donné l’occasion de continuer à travailler dans le sport que j’aime et de partager mes expériences avec la prochaine génération d’athlètes.

Qu’est-ce que cela représente pour vous d’être entraîneur aux Jeux panaméricains?
Ce sera ma première expérience multisports internationale et je suis très honoré de faire partie de l’équipe.

Qu’espérez-vous apprendre ou expérimenter lors de ces Jeux panaméricains? 
Comment mieux aider nos athlètes dans l’environnement général des Jeux.

Quel est votre moment préféré en tant qu’entraîneur dans votre sport?
Le moment où un athlète arrive à terminer une nouvelle technique qui a été difficile à apprendre.

Cinq minutes avec… Ryan Blair

  1. Qu’avez-vous le plus hâte de faire aux Jeux panaméricains?
    Faire partie d’Équipe Canada et encourager les athlètes canadiens.
     
  2. Quel conseil donneriez-vous à un jeune entraîneur qui souhaite travailler dans le sport de haute performance?
    De prendre un moment chaque jour pour songer à l’influence qu’il a sur les athlètes qu’il entraîne et à quel point c’est formidable d’avoir un effet positif sur leur vie. 
     
  3. D’où tenez-vous votre inspiration?
    De ma famille, de mes amis, des entraîneurs et, bien sûr, des athlètes.
     
  4. Quelle incidence l’ICSO a-t-il eu sur votre carrière?
    L’ICSO a joué un rôle clé dans mon perfectionnement d’entraîneur. J’ai commencé dans un poste de stagiaire pour le programme d’Initiative pour le sport de haute performance de l’Ontario, puis j’ai terminé mon diplôme avancé en entraînement à l’ICSO. Enfin, je travaille aujourd’hui avec l’ICSO pour appuyer les athlètes ciblés en canoë-kayak. Pendant mon parcours, j’ai continué d’apprendre auprès du personnel d’experts de l’ICSO et de perfectionner mes compétences.  
     
  5. Décrivez l’ICSO en un mot.
    Responsabiliser
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En tant qu’entraîneuse, quel parcours vous a permis de vous rendre aux Jeux panaméricains?
Mon parcours a été circulaire. Après avoir pris ma retraite en tant qu’athlète, j’ai commencé à travailler comme entraîneuse et j’ai obtenu une bourse de Sport Canada, offerte afin d’augmenter les occasions pour les femmes de devenir entraîneuses de haut niveau. Quand ma famille s’est agrandie, j’ai dû mettre l’entraînement de côté pendant quelques années. Je suis ensuite revenue et j’ai passé les dix dernières années à travailler auprès des athlètes de la prochaine génération et l’équipe de perfectionnement des talents.

Pourquoi êtes-vous devenue entraîneuse?
Une équipe masculine m’a demandé de l’aide alors qu’elle se préparait aux qualifications olympiques.

Qu’est-ce que cela représente pour vous d’être entraîneuse aux Jeux panaméricains?
C’est une occasion de participer à un événement multisports. Nous passons trop de temps dans notre propre zone de confort sportive; c’est donc stimulant d’avoir des engagements auprès d’autres sports et athlètes.

Qu’espérez-vous apprendre ou expérimenter lors de ces Jeux panaméricains?
Il y a toujours des choses à apprendre dont on peut se servir plus tard. Je veux faire l’expérience de la diversité culturelle du sport dans d’autres pays.

Quel est votre moment préféré en tant qu’entraîneuse dans votre sport?
Je n’ai pas de moment préféré en particulier. Je suis enthousiaste chaque fois qu’un athlète performe bien sur la scène internationale, parce que je les ai vus débuter leur apprentissage de l’aviron.

Cinq minutes avec…Carol Love

  1. Qu’avez-vous le plus hâte de faire aux Jeux panaméricains?
    J’ai hâte d’arriver à Lima et de participer au revêtement des uniformes pour les Jeux. Je réaliserai alors vraiment que nous faisons partie d’Équipe Canada. Mon équipe sera alors enthousiasmée et ça l’aidera à fournir d’excellentes performances. Nous sommes dans un site satellite, ce sera donc un peu différent pour nous, mais tout deviendra bien réel lorsque nous mettrons notre uniforme et que nous ressentirons l’enthousiasme de nous joindre à Équipe Canada.
     
  2. Quel conseil donneriez-vous à un jeune entraîneur qui souhaite travailler dans le sport de haute performance?
    Je lui dirais d’exiger de lui-même ce qu’il exige de ses athlètes, soit de viser l’excellence, et d’avoir le plus grand respect pour les athlètes avec lesquels il travaille, car ils le lui rendront bien.
     
  3. D’où tenez-vous votre inspiration? 
    Je suis entourée d’entraîneurs et d’athlètes qui sont inspirés par une expérience commune et qui se mettent continuellement au défi.
     
  4. Quelle incidence l’ICSO a-t-il eu sur votre carrière?
    L’ICSO m’a donné le soutien dont j’avais besoin pour mener ma carrière d’entraîneuse au niveau supérieur. Le personnel de l’ICSO m’a mise au fait des dernières connaissances, de nouveaux modes de pensée, et a encouragé le dialogue entre les intervenants des différents sports pour favoriser l’apprentissage de pratiques gagnantes.
     
  5. Décrivez l’ICSO en un mot.
  6. Leader

En tant qu’entraîneur, quel parcours vous a permis de vous rendre aux Jeux panaméricains?

Au sein de ma première équipe senior, j’étais un membre du personnel des championnats du monde de Barcelone. J’ai aussi assisté aux Jeux panaméricains 2015 à Toronto; l’un de mes athlètes a d’ailleurs fait partie de l’équipe.

Pourquoi êtes-vous devenu entraîneur?

Après ma carrière en natation, j’ai commencé à travailler dans le monde des affaires. L’un de mes jeunes cousins était nageur à l’époque et on m’a demandé d’être son mentor. Cette expérience m’a initié à l’entraînement.

Qu’est-ce que cela représente pour vous d’être entraîneur aux Jeux panaméricains?

C’est un honneur! C’est fantastique de faire partie d’une grande équipe. La natation est un sport individuel; c’est donc une excellente occasion de faire partie d’une grande équipe. Chaque jour est passionnant depuis que Madison s’est qualifié pour les Jeux panaméricains. Les Jeux panaméricains servent de référence pour la sélection de l’équipe olympique l’année suivante. Je suis donc fier qu’un de mes athlètes se soit qualifié pour ces Jeux.

Qu’espérez-vous apprendre ou expérimenter lors de ces Jeux panaméricains?

J’aime voir ce que les autres athlètes font pour se préparer à la compétition, lors de l’échauffement et avant. J’aimerais apprendre comment les autres athlètes gèrent un mauvais résultat, surtout lorsqu’ils doivent se préparer à la prochaine course. Il n’y a aucune recette pour ça. S’imprégner de l’atmosphère et être témoin d’un tel événement est toujours intéressant et c’est une occasion d’apprentissage. Je suis curieux de voir comment notre préparation va se dérouler. L’équipe des États-Unis est toujours la plus forte ici, j’ai donc hâte de voir quelle place le Canada va décrocher.

Quel est votre moment préféré en tant qu’entraîneur dans votre sport?

Au cours des dernières qualifications, plusieurs de mes athlètes ont joint diverses équipes sélectionnées : championnats du monde junior, championnats du monde senior et Jeux panaméricains. C’était six jours formidables.

Un autre de mes moments préférés était la première fois où l’un de mes athlètes a remporté un championnat national à Calgary en 2007. L’équipe du championnat du monde était partie en compétition, donc il y avait peu de concurrents, mais l’athlète avait seulement 17 ans et il s’en est bien sorti.

 

Cinq minutes avec…Don Burton

  1. Qu’avez-vous le plus hâte de faire aux Jeux panaméricains?
    J’ai hâte de voir Lima au Pérou et de découvrir la cérémonie de clôture. Je souhaite voir le village des athlètes. J’ai hâte de voir Machu Picchu ensuite.
  2. Quel conseil donneriez-vous à un jeune entraîneur qui souhaite travailler dans le sport de haute performance?

Je lui dirais de ne pas être intimidé, d’avoir un plan et de faire de son mieux. Au besoin, c’est possible de faire des modifications en chemin. S’il est prêt et calme, tout se passera bien. Ce n’est pas nécessaire d’être originaire d’un pays particulier ou d’un organisme pour avoir du succès en tant qu’entraîneur.

  1. D’où tenez-vous votre inspiration?

Des athlètes, des entraîneurs, des athlètes d’autres sports, de citations inspirantes et de mon apprentissage auprès des autres. Quand quelqu’un veut faire quelque chose, les obstacles sur son chemin importent peu, car il réussit quand même.

  1. Quelle incidence l’ICSO a-t-il eu sur votre carrière?

J’ai eu l’occasion de rencontrer beaucoup de gens très intéressants et j’ai eu la chance d’avoir le soutien du personnel et des praticiens de l’ICSO. C’est un groupe unique de gens qui assurent le succès du sport. Il n’y a pas de garanties dans le sport, il existe tellement de variables qui peuvent gâcher la performance d’un athlète et d’un groupe d’athlètes. L’ICSO a une équipe d’experts qui corrige beaucoup de problèmes potentiels avant qu’ils se produisent et qui travaille à trouver une solution s’ils se produisent. Le bureau et le personnel sont ouverts au dialogue dans une atmosphère légère, mais collaborative. C’est important d’avoir du plaisir pendant le processus.

  1. Décrivez l’ICSO en un mot.

Travail d’équipe

 

À propos de l’Institut canadien du sport de l’Ontario

L’Institut canadien du sport de l’Ontario (ICSO) est un organisme sans but lucratif qui se consacre à la quête de l’excellence en offrant des programmes, des services et un leadership de calibre mondial aux athlètes et aux entraîneurs de haut niveau afin d’améliorer leur capacité à monter sur le podium au niveau international. L’ICSO offre aux athlètes un éventail de services en sciences et médecine du sport, notamment dans les domaines de la nutrition, la physiologie, la biomécanique, la préparation physique, la performance mentale, la thérapie sportive et les services de subsistance. L’ICSO offre également des programmes et des services à des organismes sportifs nationaux et provinciaux, ainsi qu’à leurs entraîneurs, afin de renforcer les structures sportives en Ontario et au Canada.

L’ICSO offre ses services à environ 700 athlètes de haut niveau et à 250 entraîneurs dans ses installations principales du Centre sportif panaméricain de Toronto, dans son site satellite du Centre de cyclisme national Mattamy à Milton et dans ses environnements d’entraînement quotidien partout en Ontario. L’ICSO fait partie d’un vaste réseau de quatre instituts et de trois centres multisports à l’échelle du pays, le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada, en partenariat avec le Comité olympique canadien et le Comité paralympique canadien. L’ICSO bénéficie du soutien du ministère du Tourisme, de la Culture et du Sport, de Sport Canada, d’À nous le podium et de l’Association canadienne des entraîneurs, ainsi que des organismes sportifs nationaux et provinciaux du secteur. www.csiontario.ca/fr

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Personne-ressource pour les médias

Laura Albright, directrice, Communications et événements

Institut canadien du sport de l’Ontario

Tél. : 416 596-1240, poste 238

Courriel : lalbright@csiontario.ca

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