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CCES – (Ottawa, Ontario – le 15 juin 2017) – Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) vient d’annoncer que Bianca Liberatore, une athlète de dynamophilie, s’est vu imposer une suspension de deux ans pour une violation des règles antidopage. Cette violation a été découverte par l’analyse d’un échantillon d’urine recueillis durant un contrôle antidopage en compétition réalisé le 18 fevrier 2017 qui a révélé la présence d’heptaminol, un stimulant interdit.

L’héptaminol est classé au titre des « stimulants spécifiés » interdits en compétition sur la Liste des interdictions de l’Agence mondiale antidopage (AMA). En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), un athlète qui commet une première violation pour usage d’une substance spécifiée peut demander que sa sanction soit réduite de deux ans de suspension à une réprimande. À partir de l’évaluation faite par le CCES du degré de la faute de l’athlète, le CCES a recommandé une suspension de deux ans. 

En réponse à l’avis du CCES concernant ce résultat d’analyse anormal, Mme Liberatore a promptement avoué la violation (conformément à la règle 10.11.2 du PCA), a renoncé à son droit à une audience et a accepté une suspension de deux ans qui prendra fin le 18 février 2019.  Durant cette période, il est interdit à cette athlète, qui réside à Kamloops, en Colombie-Britannique, de participer, peu importe à quel titre, à tout sport organisé signataire du Programme canadien antidopage (PCA), y compris de s’entraîner avec ses coéquipiers.

Conformément à la règle 7.10 du PCA, une copie de la lettre dans laquelle le CCES énonce les motifs de sa décision est affichée à l’adresse suivante : http://cces.ca/fr/registre-canadien-des-sanctions-antidopage.

Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport est l’organisme national indépendant et à but non lucratif responsable de l’administration du PCA. En vertu des règles du PCA, le CCES est tenu de rendre publique toute violation aux règles antidopage. Nous reconnaissons que le sport sain peut faire une grande différence pour les individus, les collectivités et notre pays. Nous avons pris l’engagement de travailler en collaboration à activer un système sportif basé sur des valeurs et animé par des principes; à protéger l’intégrité du sport des forces négatives du dopage et d’autres menaces non éthiques; et à défendre le sport juste, sécuritaire et ouvert à tous..

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Canadian Centre for Ethics in Sport

350-955 Green Valley Crescent

Ottawa, On K2C3V4

Canada