Tous les marathoniens connaissent la sensation de “toucher le mur”, lorsque leur rythme ralentit considérablement en raison de la fatigue et de l’épuisement des réserves d’énergie. En fait, de nouvelles recherches montrent que la plupart des coureurs atteignent le mur au 33e kilomètre d’un marathon, et que ce phénomène est autant psychologique que physiologique. Il est prouvé que le fait d’être encouragé par les spectateurs aide les concurrents à surmonter le mur.