Les commotions cérébrales peuvent être liées à un risque accru de maladies neurodégénératives, telles que la maladie d’Alzheimer. Les données de l’étude longitudinale du vieillissement de Baltimore révèlent que les commotions cérébrales peuvent entraîner des changements structurels et fonctionnels durables dans le cerveau des personnes âgées.