À partir des dossiers médicaux de plus d’un million d’Ontariens ayant subi une commotion cérébrale, les chercheurs ont constaté que seulement 14 % d’entre eux avaient consulté un médecin dans les trois jours suivant l’accident et que beaucoup avaient attendu des mois avant de recevoir des soins spécialisés. Les enfants et les résidents des zones rurales ont connu les délais les plus longs. L’étude souligne que pour améliorer les soins des commotions cérébrales, il est essentiel d’augmenter le nombre de spécialistes en pédiatrie, d’améliorer les pratiques d’orientation vers des spécialistes et de s’attaquer aux obstacles liés au transport.