Les athlètes ayant subi une commotion cérébrale liée peuvent être à risque de vivre des symptômes persistants. Une étude auprès de jeunes hockeyeurs a montré que la détresse psychologique liée aux conséquences de la commotion et un historique de problèmes avec les pairs avant la blessure sont associées à un rétablissement plus lent. Agir sur ces facteurs psychosociaux pourrait favoriser le rétablissement.