Une étude démographique a examiné les données de 152 000 jeunes ayant subi une commotion cérébrale et a révélé qu’ils présentaient un risque 39 % plus élevé de développer de nouveaux troubles mentaux, notamment de l’anxiété, des troubles de l’humeur et des troubles du comportement, par rapport à leurs pairs n’ayant pas subi de commotion cérébrale. Les risques d’automutilation et d’hospitalisation psychiatrique étaient également élevés, ce qui souligne la nécessité de surveiller la santé mentale des jeunes après une commotion cérébrale.