L’entraînement intensif des athlètes d’élite stimule les performances, mais peut entraîner un syndrome de surentraînement (SSE) en l’absence d’un repos suffisant. Une nouvelle étude met en évidence l’impact du STO sur la santé physique et mentale, qui se manifeste par une baisse des performances, des sautes d’humeur et une perte de motivation. La prévention du syndrome de surentraînement implique de surveiller les charges, de donner la priorité à la récupération et d’ajuster rapidement les plans d’entraînement en fonction des signes précurseurs afin d’optimiser les performances et le bien-être de l’athlète.