Une récente étude exploratoire menée par des chercheurs de l’Université de Toronto et de l’Université de Calgary montre que l’absence de définitions cohérentes de la maltraitance des athlètes limite les efforts visant à prévenir les préjudices. En dressant un bilan de 30 années de recherche, ce travail jette les bases d’outils nationaux visant à mieux protéger les athlètes.