Selon la recherche, les jeunes athlètes jugent acceptable l’utilisation de suppléments nutritionnels lorsque les conséquences négatives sur la santé sont faibles, que l’attitude de l’entraîneur à l’égard du supplément est favorable et que les attentes de succès à court terme sont élevées. Puisque les suppléments sont considérés par certains comme une porte d’entrée à la consommation de substances interdites, cela a d’importantes répercussions sur les pratiques d’entraînement et l’éducation des athlètes.