Bien que les hormones sexuelles féminines soient connues pour influencer la soif et l’équilibre hydrique, la recherche montre qu’elles n’affectent pas de manière significative la rétention d’eau globale pendant le repos ou l’exercice. Bien que la progestérone puisse modifier la température interne du corps, elle ne semble pas avoir d’impact sur la dissipation de la chaleur pendant l’exercice chez les femmes.