La recherche montre que pour chaque tranche de 30 minutes de participation à un sport qu’un athlète pratique après une commotion cérébrale, le nombre de jours nécessaires à la résolution des symptômes augmente de plus de 8 %. Plus simplement, continuer à jouer après une commotion cérébrale peut conduire à une récupération plus longue. Souligner l’importance d’arrêter de jouer après une commotion cérébrale en termes de santé et de participation à long terme peut aider à promouvoir de meilleurs comportements chez les athlètes.