Une étude récente explorant la relation entre les commotions cérébrales et une mauvaise santé mentale a révélé que les jeunes ayant des problèmes de santé mentale préexistants étaient plus susceptibles de présenter davantage de symptômes émotionnels, comme la tristesse, et d’avoir un temps de rétablissement plus long. Pour soutenir ces athlètes, il est essentiel d’être conscient de ce risque accru et de s’attaquer aux problèmes de santé mentale dès le début de la convalescence.