Une revue systématique des études sur les commotions cérébrales a révélé que seulement 15,5 % des études sur les commotions cérébrales mentionnaient l’origine culturelle des participants, et seulement 7,6 % mentionnaient l’origine ethnique. Parmi ceux-ci, 70 % étaient blancs. Les auteurs soulignent que la race, l’origine ethnique et la culture peuvent influencer l’accès aux soins, la déclaration des symptômes et le rétablissement. Sans ces données, les disparités peuvent persister. Une meilleure communication des données démographiques peut contribuer à créer des soins plus inclusifs et plus efficaces en matière de commotions cérébrales.