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Comme les maladies non transmissibles (MNT), telles que les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques et le cancer, sont la principale cause de mortalité dans le monde, il est important de prendre des mesures pour réduire les risques. Une étude menée auprès d’adultes coréens a montré qu’une consommation accrue de plusieurs nutriments individuels provenant des fruits et légumes était liée à un risque moindre de maladies non transmissibles.

Le sommeil joue un rôle crucial dans tous les aspects de l’activité, en particulier dans le sport. Une étude récente portant sur 291 participants adultes de sexe masculin a révélé que la combinaison d’une nuit de sommeil régulière et d’une sieste entraînait une amélioration des performances cognitives et physiques, ainsi qu’une réduction de la perception de la fatigue.

Les troubles du spectre autistique (TSA) sont des troubles neurodéveloppementaux caractérisés par des déficits en matière de communication sociale, d’interaction et d’autres comportements. Une étude récente suggère que les programmes d’exercices conçus pour permettre aux enfants atteints de TSA de participer peuvent améliorer de manière significative leur littératie physique et leurs compétences motrices, offrant ainsi un cadre potentiellement précieux pour les programmes d’activité physique destinés aux enfants atteints de TSA.

L’optimisation des performances en football nécessite une collaboration entre les entraîneurs, les médecins, les nutritionnistes et les physiologistes de l’exercice afin de fournir des recommandations sur mesure. Une étude récente donne des indications précieuses sur les facteurs essentiels, notamment l’état d’hydratation et la structure de la charge d’entraînement, qui sont cruciaux pour optimiser la composition corporelle et la santé.

Dans les paysages enneigés du Canada, où les sports d’hiver règnent en maîtres, un changement discret tente de prendre racine; un changement qui vise à renforcer les capacités des jeunes autochtones par l’entremise du monde de la planche à neige. Dirigée par le programme autochtone de Canada Snowboard, cette initiative vise non seulement à initier davantage d’athlètes autochtones à ce sport, mais aussi à favoriser un sentiment de communauté, de fierté culturelle et d’opportunité de croissance. 

« Mon objectif est d’avoir plus d’athlètes autochtones et plus de représentation autochtone, en particulier au Canada. Chez Canada Snowboard, nous nous efforçons d’être la première nation de planche à neige au monde », déclare Quinn Thomas, coordonnateur du programme sportif de Canada Snowboard, l’une des forces motrices des efforts de revitalisation du programme.   

Le parcours du programme autochtone a commencé en 2015 avec la création de l’équipe de planche à neige des Premières nations, qui a ensuite évolué pour devenir l’Indigenous Life Sport Academy (ILSA). Depuis, le programme a fait l’objet d’une refonte, motivée par un engagement passionné à accroître la représentation autochtone au sein de la communauté de la planche à neige. Canada Snowboard s’efforce d’être un chef de file mondial dans le domaine de la planche à neige et reconnaît que pour atteindre cet objectif, il faut adopter et célébrer la diversité des cultures autochtones. 

Au cœur de la mission du programme autochtone se trouve la croyance en un leadership autochtone guidant les jeunes autochtones.

Participants à l’événement “Liam & Friends” (Alexa Pepper/COC)

« Nous voulons que les leaders autochtones dirigent les jeunes autochtones. Nous voulons honorer et préserver leur façon de faire. Cela, combiné aux renseignements fournis par Canada Snowboard sur la façon de fournir du contenu, de former des athlètes et d’amener plus de gens à faire du snowboard, explique M. Thomas. Il s’agit essentiellement de former des entraîneurs autochtones afin qu’ils puissent également former des athlètes autochtones. »

Thomas, qui est métis du côté paternel, estime que cette approche collaborative met l’accent sur le respect mutuel et le partenariat, ce qui permet aux communautés autochtones de façonner le programme en fonction de leurs besoins et de leurs valeurs propres.

La structure du programme reflète le programme général d’entraînement de Canada Snowboard, en mettant l’accent sur le développement de l’entraînement communautaire. M. Thomas a élaboré un programme d’entraînement communautaire qui est actuellement à l’essai dans Le Casier de l’Association canadienne des entraîneurs (ACE) et dont l’objectif est de montrer que la planche à neige n’est pas seulement un sport de compétition, mais aussi un sport récréatif. Son objectif est de permettre aux habitants des communautés rurales d’accéder plus facilement aux ressources et aux connaissances en matière d’entraînement, et de continuer à se développer sans avoir à se déplacer. 

Le programme d’entraîneurs communautaires fait partie de la feuille de route de M. Thomas, qui s’étend sur cinq ans. L’objectif ultime? Qu’il s’agisse d’ateliers pour entraîneurs communautaires ou de cours de moniteurs de l’Association canadienne des moniteurs de snowboard (ACMS), le programme vise à doter les entraîneurs autochtones des compétences et des connaissances nécessaires pour instruire et encadrer les jeunes de leur communauté.  

En commençant par l’instruction et l’encadrement communautaire, le programme vise à créer une base solide pour que les athlètes en herbe puissent découvrir le sport à leur propre rythme, que ce soit pour le loisir ou la compétition. Il s’agit essentiellement de faire tomber les barrières et de favoriser l’inclusion dans les sports d’hiver.  

La collaboration avec des organisations telles que l’Indigenous Sport Council of Alberta a joué un rôle déterminant dans le développement de ces initiatives. En forgeant des partenariats avec des entités telles que l’Edmonton Ski Club, des efforts ont été faits pour accroître l’accès à la planche à neige, permettant  ainsi à un plus grand nombre de familles de découvrir les joies de ce sport. Bien qu’il n’en soit qu’à ses débuts, le partenariat avec l’Indigenous Sport Council of Alberta est prometteur.  

Cependant, le cheminement n’est pas sans difficultés. Selon M. Thomas, l’accessibilité reste un obstacle important, en particulier dans les régions où l’accès aux installations de planche à neige est limité ou d’un coût prohibitif.  

« Comme pour tout ce qui dépasse le stade de la leçon, il est de plus en plus difficile de se rendre sur une piste de ski, note M. Thomas. Je pense que l’industrie pousse vraiment les gens vers les stations, mais tout ce dont vous avez besoin pour faire de la planche à neige, c’est d’une colline et de la volonté de monter et descendre et de faire quelques virages. 

Clinique de snowboard de Native Youth Outdoors, 2023 (Emily Sullivan via Liam Gill Instagram)

Pour remédier à cette situation, M. Thomas étudie des solutions novatrices telles que la création de parcs de randonnée dans les centres urbains et de bibliothèques de matériel pour offrir un accès abordable à l’équipement. M. Thomas envisage également d’établir des partenariats solides avec les organismes sportifs autochtones provinciaux et territoriaux et les associations de planche à neige, ce qui constitue une autre stratégie clé pour étendre la portée du programme. En collaborant avec les organisations existantes et les dirigeants communautaires, le programme peut tirer parti de l’expertise et des ressources locales pour soutenir la participation des Autochtones à la planche à neige. 

« Nous voulons continuer à leur faire savoir que ce sport existe et que nous voulons que vous veniez faire de la planche à neige, explique M. Thomas. Grâce à ce programme d’entraînement, nous voulons donner aux communautés les outils nécessaires pour qu’elles puissent gérer elles-mêmes ce sport. » 

Liam Gill, le seul athlète masculin autochtone de l’équipe nationale de planche à neige du Canada, a également contribué à faire connaître la planche à neige aux communautés autochtones.  

« Il [Liam] fait beaucoup pour la communauté, mais il le fait seul, note M. Thomas. Lui et sa famille sont extraordinaires. »

Gill, un athlète de 20 ans qui pratique le demi-lune, est membre de la Première nation dénée Liidlii Kue dans les Territoires du Nord-Ouest. Après avoir participé aux Jeux olympiques de 2022 à Pékin, il a attiré l’attention et le soutien des communautés autochtones de tout le pays. 

Après les Jeux de 2022, M. Gill a décidé de « rendre la pareille » en aidant les jeunes autochtones à s’initier à la planche à neige. D’abord seul dans les Territoires du Nord-Ouest, puis près de Banff au Sunshine Ski Resort. En mai 2023, avec l’aide d’une subvention du Comité olympique canadien, M. Gill a pu emmener des enfants à un événement privé « Liam et ses amis ». En plus de s’amuser, l’objectif de M. Gill était de rendre la planche à neige accessible aux jeunes autochtones, indépendamment des obstacles financiers.  

« En se rendant dans les Territoires du Nord-Ouest, M. Gill a amené la planche à neige là-bas et il a montré à la communauté certaines des choses dont nous avons parlé, explique M. Thomas. Par exemple, trouver une colline et faire quelques virages. Ils ont montré qu’il était possible d’utiliser une motoneige avec un seau à l’arrière pour tirer les gens vers le haut de la colline, ou de faire de la randonnée ou de la marche et de glisser ensuite. C’est la magie de la planche à neige ».

Thomas connaît de première main les retombées de la réussite d’une personne issue d’un milieu similaire au sien. Il se souvient d’une fois où, lors d’un événement appelé « Gathering », il a été abordé par un jeune athlète après avoir salué la terre. 

« Ils ont trouvé formidable de voir quelqu’un comme moi, qui est aussi comme eux, diriger quelque chose. C’est probablement l’une des choses les plus inspirantes pour moi et c’est aussi ce qui m’aide à diriger ce programme et à continuer à chercher comment l’améliorer encore. » 

Ce n’est pas une mince affaire, mais Canada Snowboard a pris un engagement ferme. Et à mesure que cette feuille de route se déploie au cours des cinq prochaines années, son incidence est appelée à s’étendre bien au-delà des pistes, laissant une marque indélébile d’autonomisation et d’accessibilité au sein des communautés autochtones à travers le Canada. 

Le baseball et le softball sont largement pratiqués par les jeunes athlètes et contribuent au nombre annuel de blessures liées au sport. Une étude récente a révélé que les blessures chez les jeunes joueurs de baseball sont souvent dues à un contact, avec une plus grande fréquence de blessures à la tête, au cou et au visage. D’autre part, les blessures au softball affectent généralement les membres inférieurs et se manifestent souvent sous la forme d’entorses ou de foulures.

La force et le conditionnement sont essentiels dans tous les domaines du sport. L’une des méthodes d’entraînement de la force est l’entraînement pliométrique, qui consiste en une série d’exercices explosifs de résistance au poids du corps. Une étude récente a montré que les performances sportives, à savoir la capacité de lancer, la capacité de sauter et les performances de sprint, se sont considérablement améliorées grâce à des interventions d’entraînement pliométrique.

Face à la crise du coût de la vie, les femmes et les jeunes filles se heurtent à des obstacles à la pratique du sport. Les recherches menées par Women in Sport montrent que l’écart entre les genres en matière d’activité sportive se creuse, 35 % d’entre elles réduisant leur activité en raison de contraintes financières. Une action urgente est nécessaire pour relever les défis économiques, sociétaux et infrastructurels afin d’assurer un accès équitable aux bienfaits du sport tout au long de la vie.

La maladie de Parkinson est une affection grave qui n’a pas encore de remède connu. La maladie de Parkinson est une maladie du cerveau qui entraîne une perte lente du contrôle des muscles, ce qui se traduit souvent par des tremblements. Une étude récente menée sur des patients atteints de la maladie de Parkinson et pratiquant une activité physique a montré que l’exercice aérobique pouvait stabiliser la progression de la maladie et améliorer les performances cognitives.

KidsAction Coaching est une approche de coaching fondée sur des données probantes, développée par des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) pour soutenir le développement des enfants atteints de déficiences neurodéveloppementales ou intellectuelles (DDN). KidsAction offre des ressources et des outils gratuits aux entraîneurs communautaires, aux organisations et aux familles afin de rendre l’activité physique plus accessible et plus agréable pour tous les enfants, quelles que soient leurs capacités. Développé en collaboration avec des conseillers indigènes, KidsAction Coaching propose une approche holistique de l’activité physique.