Des recherches canadiennes récentes ont montré que, du moins chez les enfants, il n’y a pas de différence dans la récupération des symptômes entre les commotion cérébrales liées au sport et celles qui ne le sont pas, ce qui renforce la nécessité d’une prise en charge adéquate de chaque commotion cérébrales, quel que soit le lieu ou la manière dont elle se produit.