La communauté canadienne du sport et de l’activité physique identifie les sujets que les chercheurs doivent prioriser 


Points saillants  

  • L’adoption dans la pratique des résultats de la recherche est souvent sous-optimale en raison d’une déconnexion entre les chercheurs et les personnes ou groupes qui supervisent et facilitent la participation au sport et à l’activité physique. 
  • Pour aider à combler l’écart entre les activités de recherche sur le sport et l’activité physique et les besoins des personnes les mieux placées pour appliquer ces résultats, nous avons mené une étude pour déterminer les principales priorités de recherche des personnes impliquées dans divers secteurs du sport et de l’activité physique au Canada.  
  • Les résultats de l’étude mettent en évidence huit grandes priorités pour la recherche sur le sport et l’activité physique au Canada. Ils fournissent une orientation indispensable aux chercheurs en sport et en activité physique qui cherchent à s’engager dans une recherche ayant une grande incidence. En d’autres termes, la recherche doit tenir compte de la perspective de ceux qui sont en mesure d’appliquer les résultats pour promouvoir une plus grande participation au sport et à l’activité physique au Canada.  
  • Les meilleures pratiques et les cadres pour une application efficace des connaissances sont également partagés. Ici, l’application des connaissances signifie le partage des résultats de la recherche et l’adoption ou l’assimilation de ces résultats pour encourager les améliorations dans le sport et l’activité physique au Canada. 

Jusqu’à récemment, un processus de recherche typique comprenait la génération d’idées ou de questions de recherche, la collecte et l’analyse de données pour tester les hypothèses, la publication des résultats dans des revues scientifiques et l’anticipation de l’adoption ou de l’application des résultats dans le « monde réel ». Puis, ce cycle se répétait, remplaçant les anciennes questions par de nouvelles pistes de recherche.  

Il est vrai que cette approche dépassée a généré de nouvelles connaissances, bien qu’à différents niveaux de profondeur et d’ampleur. Toutefois, cette approche a rarement permis aux personnes ou aux organisations les mieux placées pour utiliser les résultats de la recherche de s’en saisir. Ces personnes sont également appelées utilisateurs des connaissances ou utilisateurs finaux.  

Sans cette prise en compte, les résultats ne conduisent pas à des changements significatifs ou à des améliorations dans la façon de faire les choses. Par exemple, malgré une augmentation récente des recherches axées sur les politiques, les programmes et les pratiques en matière de sport et d’activité physique, il n’y a pas eu d’améliorations notables dans le domaine de l’éducation physique. (Blamey et Mutrie, 2004; Faulkner et coll., 2006)Par exemple, malgré une augmentation récente de la recherche sur les politiques, les programmes et les pratiques en matière de sport et d’activité physique, les données de surveillance n’indiquent aucune amélioration notable de la participation à des activités sportives et physiques au niveau de la population.  

Il est sans aucun doute complexe de traduire efficacement les connaissances issues des résultats de la recherche universitaire et de les appliquer au monde réel de la pratique du sport et de l’activité physique. Une déconnexion entre les chercheurs et les utilisateurs des connaissances pourrait être un facteur qui entrave la mise en pratique de ces recherches. En particulier, il est possible que les chercheurs dans le domaine du sport et de l’activité physique poursuivent des études qui ne sont pas utiles aux utilisateurs des connaissances, tels que les administrateurs sportifs, les entraîneurs, les professionnels de la santé publique ou les spécialistes de l’éducation. Ou, s’ils le font, il est possible que leurs résultats ne parviennent pas à ceux qui travaillent à promouvoir la pratique du sport et de l’activité physique.  

Essentiellement, il s’agit d’un écart entre la recherche (sur le sport et l’activité physique) et les besoins de ceux qui peuvent le mieux appliquer les résultats de cette recherche ou agir en conséquence. Pour combler cet écart, nous avons récemment mené une étude visant à déterminer les principales priorités de recherche sur le sport et l’activité physique parmi les utilisateurs de connaissances de divers secteurs au Canada. Dans cet article, nous décrivons les meilleures pratiques et les cadres de travail pour une application efficace des connaissances (qui ont guidé notre étude). Nous expliquons également comment nous avons mené notre recherche et ce que nous avons découvert comme étant les principales priorités de recherche des utilisateurs de connaissances en matière de sport et d’activité physique au Canada. 

Combler le fossé entre la recherche et la pratique 

Plusieurs études ont précédemment rapporté que de nombreuses personnes qui travaillent à la promotion de la pratique du sport et de l’activité physique ne se sentent pas bien informées par les recherches actuelles (Coutts, 2017; Dale et coll., 2016; Fullagar et coll., 2019; Zenko et Ekkekakis, 2015). De même, les chercheurs dans le domaine du sport et de l’activité physique ont estimé avoir observé un écart entre les résultats de la recherche et les politiques et programmes qui y sont liés (Faulkner et coll., 2006; Fullagar et coll., 2019; Holt, Camiré, et coll., 2018; Holt, Pankow, et coll., 2018) 

Comme indiqué précédemment, on pense que cette lacune est en partie due au fait que les chercheurs en sport et en activité physique étudient des questions qui diffèrent des défis quotidiens vécus par les intervenants, les praticiens et les entraîneurs (Fullagar et coll., 2019). Le fossé peut également exister parce que les utilisateurs des connaissances ne sont pas au courant des résultats de la recherche qui pourraient aider à atténuer certains des défis auxquels ils sont confrontés. (Holt, Pankow, et coll., 2018) 

Pour surmonter ces deux défis et maximiser l’importance de leur recherche, les chercheurs peuvent maintenant suivre des principes directeurs qui jettent les bases de ce que l’on appelle la mobilisation intégrative des connaissances. Pour bien comprendre ce terme, le cadre « Des connaissances à la pratique » est l’ensemble de principes le plus largement utilisé pour guider la mobilisation intégrative des connaissances. Il favorise essentiellement un processus de recherche qui comporte un cycle de création de connaissances et un cycle d’action (Graham et coll., 2006). Ces deux cycles distincts, mais liés, comprennent plusieurs phases itératives qui peuvent se chevaucher.  

The knowledge to action cycle. This cycle has 2 stages. Stage one is the knowledge creation funnel. Stage two is the action cycle.
Le cadre « Des connaissances à la pratique ». Image retrieved from Graham et al. (2006)

Le cycle de création de connaissances implique le processus de recherche traditionnel, mais garantit une adaptation constante des connaissances créées. Plus précisément, il s’agit de les adapter aux besoins des utilisateurs des connaissances en les faisant participer dès le début et en les gardant impliqués tout au long du processus de recherche. En revanche, le cycle d’action identifie les activités requises pour que les connaissances soient appliquées dans la pratique. Les différentes phases du cycle d’action s’imbriquent les unes dans les autres. Ces phases évoluent en passant de l’identification d’une question qui nécessite une attention particulière à la détermination si la question représente une lacune dans les connaissances et la pratique qui doit être comblée. Les phases suivantes comprennent alors l’adaptation des connaissances au contexte local, l’évaluation des obstacles et des facilitateurs associés à l’adoption des connaissances et leur mise en œuvre. Le suivi et l’évaluation de l’incidence et de la durabilité des connaissances mises en œuvre constituent les dernières phases du cycle d’action. Naturellement, adapter les connaissances aux besoins des utilisateurs signifie qu’il est crucial de faire participer les chercheurs et les parties prenantes à toutes les phases du cycle de création des connaissances et du cycle d’action. 

Étant donné que les chercheurs ont des domaines d’expertise relativement ciblés, ils peuvent être intimidés à l’idée de travailler en collaboration avec les utilisateurs des connaissances. Les chercheurs peuvent considérer que c’est risqué s’ils se rendent compte que les questions les plus urgentes nécessitant une attention ne correspondent pas à leur domaine de compétence. Puisque la participation des utilisateurs de connaissances est essentielle pour le cadre de mise en pratique des connaissances, il serait donc utile que les chercheurs aient une compréhension déjà établie des questions prioritaires généralement identifiées par les utilisateurs de connaissances. En ayant accès à un référentiel des principaux défis des utilisateurs de connaissances, les chercheurs pourraient identifier les questions pour lesquelles leurs compétences sont les mieux adaptées.

En étant en mesure d’identifier rapidement une question urgente à laquelle ils sont prêts à s’attaquer, les chercheurs pourraient alors passer rapidement à l’étape de la recherche d’utilisateurs de connaissances avec lesquels s’associer pour les différentes phases, de la création de connaissances à l’action. En identifiant les priorités des utilisateurs de connaissances, les chercheurs ont la possibilité d’accélérer la création de connaissances et d’aligner les ressources de recherche limitées sur les besoins de ceux qui sont en mesure d’agir sur les résultats. 

À l’écoute de ce que la communauté canadienne du sport et de l’activité physique avait à dire 

Nous avons récemment mené une étude visant à identifier les principaux problèmes des utilisateurs de connaissances sur le sport et l’activité physique de divers secteurs à travers le Canada (Bélanger et coll., 2022). Il existe de nombreuses façons d’identifier les priorités de recherche, c’est pourquoi nous avons utilisé un modèle hybride. Pour produire une liste restreinte de priorités de recherche, nous avons combiné diverses approches qui favorisent : le rassemblement d’opinions d’experts, l’échantillonnage délibéré d’intervenants de plusieurs secteurs et l’utilisation d’un processus itératif de collecte et d’analyse des données. (Cowan et Oliver, 2018; Kelly et coll., 2014; Sivananthan et Chambers, 2013) 

Pour ce programme de recherche d’envergure nationale, nous avons suivi trois étapes de consultation. Nos consultations ont impliqué des utilisateurs canadiens de connaissances sur le sport et l’activité physique. Et dans tous les cas, ils provenaient de plusieurs secteurs (santé, éducation, sport, développement social, gouvernemental, non gouvernemental, etc.). Tout d’abord, nous avons réuni un groupe d’utilisateurs des connaissances en matière de sport et d’activité physique dans le cadre d’un atelier d’un jour afin de dresser une longue liste (68) de sujets prioritaires potentiels pour les chercheurs canadiens.  

Ensuite, nous avons organisé des exercices de priorisation, au cours desquels les participants à l’atelier ont répondu à un sondage en ligne sur les sujets prioritaires identifiés précédemment. Dans le cadre du sondage, ils ont indiqué dans quelle mesure ils estimaient que chaque sujet était : pertinent, difficile à traiter et représentatif d’une question pour laquelle des connaissances supplémentaires sont nécessaires. À partir des scores du sondage, nous avons identifié les sujets perçus comme étant les plus faciles à traiter (c’est-à-dire les sujets perçus comme étant très pertinents et ayant un faible score de difficulté) et les plus importants (c’est-à-dire les sujets perçus comme étant très pertinents et ayant un besoin élevé de connaissances).  

Troisièmement, nous avons invité tout utilisateur canadien de connaissances sur le sport et l’activité physique à répondre à notre questionnaire suivant, qui était également livré en ligne. Nous avons demandé aux participants de classer les 21 principales questions qui avaient atteint le seuil de facilité et d’importance de notre deuxième étape. Dans cette dernière étape, les participants ont évalué chaque question selon les mêmes critères de pertinence, de difficulté et de besoin perçu de connaissances supplémentaires. La moyenne des notes obtenues lors de cette dernière étape a permis de faire ressortir un certain nombre de questions, mettant finalement en évidence les principales priorités des utilisateurs de connaissances en matière de recherche sur le sport et l’activité physique.  

Priorités de la recherche sur le sport et l’activité physique au Canada 

Le processus en plusieurs étapes consistant à faire participer des intervenants de divers secteurs nous a permis de définir huit axes de recherche. En général, nous avons constaté que les intervenants canadiens souhaitent davantage de recherches sur les obstacles financiers à la participation, les meilleures stratégies de communication pour promouvoir la participation, les conséquences du décrochage, les principales caractéristiques des interventions efficaces, la participation des populations autochtones, la création dexpériences positives et inclusives, le recrutement et la rétention des bénévoles et la mise en œuvre de stratégies déchange de connaissances. Plus précisément, les 8 principaux problèmes identifiés par les intervenants sont décrits ici, sans ordre particulier :  

  1. Le soutien financier pour le sport et l’activité physique. Plusieurs types d’obstacles peuvent entraver la participation au sport et à l’activité physique. En raison de l’iniquité créée par les obstacles financiers à la participation à des activités sportives et physiques, plusieurs programmes d’aide financière gouvernementaux et communautaires visent à permettre la participation sans égard à la capacité de payer. Malgré tout, les intervenants ont indiqué que le soutien financier était une priorité. Ils souhaitent que les lacunes en matière de communication soient comblées afin que les personnes qui auraient besoin d’un soutien financier connaissent les programmes disponibles et y aient accès.  
  1. A mega phone against a yellow backgroundLa communication pour une promotion optimale du sport et de l’activité physique. Les parties prenantes considèrent qu’il est prioritaire de trouver de meilleurs moyens de communiquer clairement l’importance de la pratique du sport et de l’activité physique. Des approches de communication ciblées peuvent être plus efficaces que des stratégies de grande envergure pour promouvoir l’activité physique. Sachant cela, les enquêtes relatives à ce sujet pourraient aider à identifier des approches de communication ciblées pour favoriser l’atteinte de différents sous-groupes.  
  1. Les conséquences de l’abandon du sport et de l’activité physique. Bien qu’ils aient une bonne compréhension des effets positifs du sport et de l’activité physique, les participants ont indiqué qu’il était prioritaire de corriger le manque actuel d’information sur l’influence de l’abandon de ces activités. En particulier, les intervenants ont demandé plus d’information sur les conséquences à moyen et long terme de l’abandon. Les conséquences pourraient inclure la santé mentale et physique, la participation future, d’autres comportements et le développement général.  
  1. Les caractéristiques des meilleures interventions pour la participation au sport et à l’activité physique. Cette priorité souligne le fait que les chercheurs doivent mieux communiquer ce qui est déjà connu en ce qui concerne les approches les plus efficaces pour promouvoir l’engagement de divers groupes de population dans le sport et l’activité physique. Il est également prioritaire d’identifier les meilleurs moyens de maintenir les personnes dans le sport et l’activité physique (rétention) une fois qu’ils ont commencé à participer. Pour plusieurs sous-groupes, cela signifie qu’il faut mieux partager ce que la littérature scientifique identifie comme des interventions efficaces. Pour d’autres groupes, cela signifie révéler les lacunes dans les connaissances et rechercher des preuves d’approches efficaces pour maintenir la participation au fil du temps. 
  1. L’activité physique et la pratique du sport chez les populations autochtones. Une autre priorité s’est dégagée : s’attaquer aux faibles niveaux d’activité physique et de pratique sportive. Dans ce cas, il s’agit de s’attaquer spécifiquement à cette priorité parmi les populations autochtones. Cependant, l’étude actuelle ne comprenait pas suffisamment de représentants des populations autochtones pour fournir une orientation claire. L’émergence de ce sujet parmi les priorités souligne néanmoins la nécessité d’approfondir les priorités de recherche liées à la participation au sport et à l’activité physique en collaboration avec les membres, les dirigeants et les aînés des communautés autochtones. 
  1. La promotion d’expériences sûres, inclusives et de qualité dans le sport et l’activité physique. La nécessité pour les chercheurs d’identifier des moyens d’exploiter l’inclusion au sein du sport organisé et de l’activité physique a également été jugée prioritaire. En particulier, les participants souhaitaient obtenir de meilleures connaissances sur les approches visant à faciliter le développement d’un système de sport et d’activité physique qui respecte et valorise la diversité et l’inclusion. Dans le cadre de l’étude, les parties prenantes ont expliqué qu’elles recherchaient le leadership de la communauté des chercheurs pour identifier des stratégies fondées sur des preuves afin d’éviter l’intimidation dans le sport et de promouvoir des expériences sûres, positives et inclusives.  
  1. Volunteers supporting at a sporting eventLe soutien de l’engagement des bénévoles dans le sport et l’activité physique. Les chercheurs peuvent également contribuer à aider les organismes de sport et d’activité physique à trouver des moyens de remédier à la pénurie de bénévoles. Le secteur du sport et de l’activité physique dépend fortement de l’engagement des bénévoles pour la gestion et la prestation des programmes. Les intervenants de ce secteur considèrent comme une priorité de recherche le fait de mieux comprendre comment engager et garder en poste les bénévoles. Les chercheurs pourraient aider en identifiant les raisons pour lesquelles les personnes s’engagent dans le bénévolat et ce qui contribue à ce qu’ils restent impliqués à long terme.  
  1. L’échange de connaissances entre les chercheurs et les utilisateurs des connaissances. La nécessité de renforcer la participation et l’intégration des utilisateurs des connaissances dans le processus de recherche a également été identifiée. Bien que cette lacune ne doive pas nécessairement être comblée par des questions de recherche, tous les chercheurs dans le domaine du sport et de l’activité physique devraient la considérer comme un signe dès le départ. Leurs processus de recherche doivent faire participer ceux qui auront le pouvoir d’adopter ou d’appliquer leurs résultats ou les personnes les plus touchées par leur recherche.  

À quoi peuvent s’attendre les utilisateurs des connaissances en matière de sport et d’activité physique en participant à la recherche?

En tant que membres reconnus et intégraux dune équipe de recherche collaborative, les utilisateurs des connaissances sont encouragés à :  

  • exprimer leur droit de participer à des recherches qui leur sont destinées; 
  • renforcer l’efficacité de la recherche et la valeur de la recherche en améliorant la pertinence, les taux de recrutement et de rétention, et la diffusion des résultats au-delà des publics universitaires; 
  • contribuer à accroître la responsabilité et la transparence de la recherche et peut-être même à attirer des ressources. 

La coparticipation peut être nouvelle tant pour les chercheurs que pour les utilisateurs des connaissances. Avant que les utilisateurs des connaissances puissent contribuer avec succès à la recherche, sans parler de l’adoption des résultats de la recherche qui améliorent leurs programmes, les chercheurs ont d’abord besoin de temps pour déterminer les besoins prioritaires en matière de recherche auxquels ils répondront et la façon d’y répondre.  

Lorsque les chercheurs seront prêts à s’attaquer aux problèmes, ils devront chercher des utilisateurs de connaissances pour s’associer à eux. Dans ce cas, les utilisateurs de connaissances auront leur mot à dire sur les objectifs spécifiques de la recherche. Ainsi, les objectifs sont réellement adaptés aux besoins des utilisateurs des connaissances.  

Dernières réflexions 

Cette étude a identifié 8 grandes priorités pour la recherche sur le sport et l’activité physique au Canada. Ces priorités fournissent une orientation indispensable aux chercheurs dans le domaine du sport et de l’activité physique, en particulier à ceux qui cherchent à s’engager dans la recherche du point de vue des utilisateurs des connaissances de divers secteurs. En reconnaissant et en mettant en œuvre ces résultats, la recherche reflétera plus fidèlement les plus importantes questions identifiées par les représentants multisectoriels de la promotion du sport et de l’activité physique. Cela est particulièrement vrai si cela se fait en adhérant aux meilleures pratiques en matière d’échange de connaissances. Il est à espérer que la pratique du sport et de l’activité physique au Canada s’améliorera si les efforts de recherche collaborative portent sur les sujets prioritaires identifiés par les intervenants du sport et de l’activité physique au Canada.  

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