Use double quotes to find documents that include the exact phrase: "aerodynamic AND testing"

A member of the Canadian coaching staff at the London 2012 Olympic Games, Marc-André Pelletier will not soon forget his first Paralympics assignment, which came almost a decade later, last summer in Tokyo.
 
The long-time head coach of Club de Natation Région de Québec in Quebec City, Pelletier was accompanied in the Japanese capital by three of his CNQ swimmers, who collectively reached 11 finals and claimed six medals, including two gold.
 
Those successes earned Pelletier Coach of the Year – Paralympic Program recognition from Swimming Canada.
 
“I quite enjoyed the experience at the Paralympic Games. I was very busy with swimmers competing for 10 straight days,” said the three-time Big Splash award winner. “In terms of performances, I’m very pleased with my swimmers.”
 
He should be.
 
Canadian superstar Aurélie Rivard, who moved to Quebec City in January 2020 to join the CNQ, merited Female Swimmer of the Year – Paralympic Program honours after reaching the podium a remarkable five times in Tokyo and defending her Paralympic titles in the 100 and 400-m freestyle S10, both in world-record time. 
 
Nicolas-Guy Turbide, whom Pelletier has been coaching since 2014, won the male award after taking silver in the 100-m backstroke S13, improving from his bronze-medal performance at Rio 2016. He also made the final in his only other event, the 50 free.    
 
The other member of the CNQ trio in Tokyo, Alec Elliot, reached three finals in four events.
 
While Pelletier has a long-standing partnership with Turbide and a relatively new working relationship with Rivard, he said his approach with his two standouts was fairly similar in preparation for the Games.
 
“The preparation was only different because of Nicolas-Guy’s back injury and the different type of events they were racing. In Aurélie’s case, the additional year, due to the pandemic, allowed me to get to know her much better, both as an athlete and as a person.”
 
While he agrees the global pandemic affected his protégés leading up to the Games, Pelletier also saw a silver lining.
 
“The extra year allowed us to reach the next level in our preparation. On the other hand, the anxiety caused by the challenges of accessing sport facilities was mentally exhausting. This said, in the end, I’d say the anxiety was like mental training that helped us deal with the pressure of performing at the Games.
 
“I don’t believe our good results in Tokyo are extra special because of all we went through due to the pandemic. However, rightly or wrongly, it gives us the impression that we’re much more resilient in the face of various obstacles on the path to performance.”
 
When it comes to Turbide and Rivard’s accomplishments in Tokyo, two races stand out for their mentor.
 
“Nicolas-Guy finishing second in the 100 back… with that medal on the second day he managed to change the momentum for the team and give everyone confidence.
 
“His medal and his final in the 50 free were also very satisfying because of the physical challenges he dealt with during the year. He was able to return to his level at the right time.”
 
In Rivard’s case, Pelletier points to the race that followed her disappointing – by her standards – third-place finish in the 50 free on opening day.
 
“In the preliminaries of the 100 free, when she broke the world record. It was at that moment, despite the surprise, that she really started to believe. From then on, the rest would get back to normal for her.”
 
Turbide and Rivard credit their coach for a big part of their success in Tokyo.
 
“Marc-André has certain qualities that only a very small number of coaches have. It’s these types of coaches who take athletes to finals and to the podium at the Olympic and Paralympic Games,” said Turbide.
 
“When I started training with Marc-André, I saw a difference within 10 days. I knew I was going to Tokyo to break my records,” added Rivard.
 
Next up on the international Para swimming calendar are the world championships in June, in Portugal.
 
Pelletier will once again be a busy man when the Bell Canadian Swimming Trials get under way on April 5 in Victoria.

Nathan White
Senior Manager, Communications, Swimming Canada
Gestionnaire supérieur des communications, Natation Canada
t. +1 613-260-1348 x2002 | m. +1 613-866-7946 | nwhite@swimming.ca

Membre du personnel d’entraineurs canadien aux Jeux olympiques de Londres 2012, Marc-André Pelletier n’oubliera pas de sitôt sa première affectation aux Paralympiques, qui est survenue près d’une décennie plus tard, l’été dernier à Tokyo.

Entraineur-chef de longue date du Club de Natation Région de Québec à Québec, Pelletier était accompagné dans la capitale japonaise par trois de ses nageurs du CNQ, qui ont collectivement atteint 11 finales et remporté six médailles, dont deux d’or.

Ces succès ont valu à Pelletier le prix de l’entraineur de l’année – programme paralympique de Natation Canada.

« J’ai bien aimé l’expérience aux Jeux paralympiques. Je fus très occupé avec des nageurs en compétition pendant 10 jours de suite. En termes de performances, je suis très satisfait de mes nageurs. »

Avec raison.

La grande vedette canadienne Aurélie Rivard, qui a déménagé à Québec en janvier 2020 pour se joindre au CNQ, a mérité le titre de nageuse de l’année – programme paralympique après avoir atteint le podium pas moins de cinq fois à Tokyo et défendu ses titres paralympiques aux 100 et 400 m libre S10, abaissant chaque fois le record du monde.

Nicolas-Guy Turbide, que Pelletier entraine depuis 2014, a récolté l’honneur masculin après avoir remporté l’argent au 100 m dos S13, améliorant sa médaille de bronze remportée à Rio 2016. Il a également atteint la finale dans sa seule autre épreuve, le 50 libre.

L’autre membre du trio du CNQ à Tokyo, Alec Elliot, s’est qualifié pour trois finales en quatre épreuves.

Bien que Pelletier ait un partenariat de longue date avec Turbide et une relation de travail relativement nouvelle avec Rivard, il souligne que son approche avec ses deux nageurs étoiles était assez similaire en préparation pour les Jeux.

« La préparation fut différente seulement en raison de la blessure au dos de Nicolas-Guy et du différent type d’épreuves de chacun. Dans le cas d’Aurélie, l’année de plus, en raison de la pandémie, m’a permis de beaucoup mieux la connaître, tant comme athlète que comme personne. »

Bien qu’il reconnaisse que la pandémie mondiale a affecté ses protégés avant les Jeux, Pelletier a également vu un côté positif.

« L’année supplémentaire nous a permis d’atteindre le niveau supérieur en termes de préparation. Par contre, l’anxiété causée par les difficultés d’accès aux infrastructures sportives fut un défi épuisant mentalement. Je dirais que l’anxiété fut un entrainement mental qui nous a aidés à gérer la pression de performance aux Jeux.

« Je ne crois pas que nos bons résultats obtenus à Tokyo aient une saveur particulière en raison de tout ce que nous avons vécu pendant la pandémie. Cependant, à tort ou à raison, cela nous donne l’impression que nous sommes beaucoup plus résilients face aux diverses embûches sur le parcours de la performance. » 

En ce qui concerne les réalisations de Turbide et Rivard à Tokyo, deux courses ont particulièrement marqué leur mentor.

« Nicolas-Guy qui termine deuxième au 100 dos… avec cette médaille lors de la deuxième journée, il a réussi à procurer un élan et à donner confiance à tout le monde.

« Cette médaille et sa finale au 50 libre furent très satisfaisantes en raison de ses difficultés physiques éprouvées durant l’année. Il a su revenir à son niveau au bon moment. »

Dans le cas de Rivard, Pelletier souligne la course qui a suivi sa décevante – selon ses standards – troisième place au 50 libre lors de la journée d’ouverture.

« Lors des préliminaires, quand elle a battu le record du monde. C’est à ce moment, malgré la surprise, qu’elle a réellement commencé à y croire. À partir de ce moment-là, le reste allait rentrer dans l’ordre pour elle. »

Turbide et Rivard attribuent à leur entraineur une grande partie de leur succès à Tokyo.

« Marc-André possède certaines qualités que seul un nombre extrêmement restreint d’entraineurs possèdent. C’est ce type d’entraineurs qui vont amener les athlètes en finale et sur le podium aux Jeux olympiques et paralympiques, » a dit Turbide.

« Lorsque j’ai commencé à m’entrainer avec Marc-André, j’ai vu une différence après 10 jours. Je savais que je m’en allais à Tokyo pour battre mes records, » a ajouté Rivard. 

La prochaine grande compétition sur le calendrier international de paranatation est les championnats du monde en juin au Portugal.

Pelletier sera encore une fois un homme occupé lorsque les Essais canadiens de natation Bell se mettront en branle le 5 avril à Victoria.
 

Nathan White
Senior Manager, Communications, Swimming Canada
Gestionnaire supérieur des communications, Natation Canada
t. +1 613-260-1348 x2002 | m. +1 613-866-7946 | nwhite@swimming.ca