Le sport chez les filles autochtones devient l’affaire des grandes entreprises : Établir un lien entre la responsabilité sociale des entreprises, le mouvement « Girl Effect » et le sport axé sur les Autochtones, le sexe et les programmes de développement

Résumé du projet

L’étude portait sur la façon dont les jeunes femmes autochtones vivant en milieu urbain comprennent et vivent leur participation à un programme du sport au service du développement (SSD) géré par le Vancouver Aboriginal Friendship Society Centre (VAFSC), et sur la façon dont le financement des entreprises et leur contribution au programme SSD du VAFSC a profité aux bénéficiaires ciblées.

Les trois objectifs spécifiques de cette recherche étaient les suivants :

  • Établir les facteurs qui favorisent et inhibent la participation des filles autochtones vivant en milieu urbain aux programmes SSD au Canada.
  • Intégrer le point de vue des filles autochtones à l’égard de la participation des entreprises au financement, à l’élaboration et à la mise en œuvre des programmes SSD destinés aux Autochtones vivant en milieu urbain.
  • Déterminer à quoi devrait ressembler un programme SSD décolonisé destiné aux filles autochtones vivant en milieu urbain.

Pour atteindre ces objectifs, des entrevues approfondies et semi-structurées ont été menées auprès d’employés d’entreprises commanditaires (n=1), de jeunes femmes autochtones qui participent aux programmes du VAFSC (n=11) et des membres du personnel du VAFSC concernés (n=5). Sept des onze filles interviewées ont également participé à des activités Photovoice. Les entrevues, les cercles de partage et les activités Photovoice ont permis de connaître les avantages et les défis que représentent les programmes SSD.

Au final, il est apparu que les principaux facteurs facilitant la participation des jeunes femmes autochtones sont les suivants : avoir accès à des activités qui améliorent la confiance en soi, favorisent les occasions de leadership et suscitent l’appui de la collectivité; déterminer les besoins de base à l’aide du programme; trouver des emplois (formation) et augmenter la participation des femmes autochtones qui servent de modèles dans les sports. Les facteurs qui inhibaient la participation des filles autochtones aux programmes SSD du VASFC étaient liés au recoupement des inégalités entre les sexes, au (néo)colonialisme et à la pauvreté.

Méthodes de recherche

Processus de recherche : entrevues, Photovoice et cercles de partage

Au départ, la pertinence des approches et des questions de recherche proposées ont fait l’objet d’une discussion avec un conseil consultatif formé de représentants du VAFCS, à la suite de quoi des modifications y ont été apportées (voir description détaillée plus bas). Une fois la recherche approuvée sur le plan éthique par l’Université d’Ottawa et le VAFCS, les ententes de recherche ont été rédigées et signées par les parties concernées; le processus de recherche a débuté en juillet et octobre 2012 par le travail sur le terrain à Vancouver.

Tout au long du processus, la chercheuse a tenté de respecter les principes du PCAP (propriété, contrôle, accès et possession) du mieux qu’elle pouvait (voir Schnarch, 2004). Par exemple, une fois le projet approuvé sur le plan éthique par l’Université d’Ottawa, un conseil consultatif formé de membres de la collectivité choisis par le VAFCS a été mis sur pied. Le conseil a joué un rôle essentiel dans l’examen périodique des processus de recherche (p. ex. déterminer les protocoles culturels appropriés pour favoriser la participation des jeunes Autochtones vivant en milieu urbain)2. Toutefois, en raison des contraintes de temps et de budget, il a été difficile de respecter les principes du PCAP à plusieurs égards et en raison de diverses circonstances – un problème important que la chercheuse désire examiner en profondeur en collaboration avec le VAFCS.

Entrevues

Des entrevues semi-structurées et approfondies ont été menées auprès d’employés d’une société commanditaire du programme du VAFCS, de membres du personnel d’une ONG concernée et auprès de jeunes femmes. Après la transcription des entrevues, les participants ont reçu par courriel une copie de leur entrevue afin qu’ils puissent en vérifier le contenu et formuler des commentaires.

Activités Photovoice

Après leur entrevue et dans le but d’obtenir leur point de vue, les jeunes femmes autochtones ont participé à des activités Photovoice. On a demandé aux participantes de photographier des objets qui les avaient aidées à exprimer ce qu’elles aimaient, n’aimaient pas ou voulaient changer à propos du programme SSD du VAFCS. Le seul critère énoncé par la chercheuse était que les photographies prises par les participantes ne devaient pas permettre de les reconnaître ou de reconnaître d’autres personnes. Conformément à la nature décolonisée et participative de l’étude, cette méthode a été choisie à la suite des discussions menées avec le directeur général du VAFCS et les jeunes participantes aux programmes du VAFCS pour évaluer leur intérêt.

Photovoice est une méthode reconnue de recherche participative qui permet aux participants d’identifier, de représenter et d’améliorer leur collectivité grâce à la photographie (Wang, Burris et Xiang, 1996). Toutefois, il est important d’être prudent lorsqu’on utilise cette méthode, car il faut reconnaître les tendances coloniales de la photographie et son rôle dans le processus colonial en tant qu’outil servant à représenter l’« autre » comme au temps des colonisateurs (Gallagher et Kim, 2008). Lors d’une activité Photovoice, chaque participant reçoit un appareil photo et doit prendre des clichés. L’appareil doit être utilisé pour saisir et initier l’action sociale et le changement dans la collectivité (Lavallée, 2009, p. 30).

Cercles de partage

Les jeunes femmes qui ont participé aux entrevues pouvaient montrer leurs photos et leurs dessins à d’autres participantes du programme SSD dans le contexte d’un « cercle de partage » (Lavallée, 2009, p. 27). Les cercles de partage ressemblent à des groupes de discussion, mais ils sont utilisés pour échanger sur tous les aspects d’une personne (cœur, esprit, intellect et corps) (Lavallée, 2009). Plus particulièrement, les cercles de partage sont habituellement utilisés comme « méthode de guérison »; tous les participants et animateurs sont considérés comme égaux et les échanges portent sur les connaissances, la spiritualité et les émotions de chacun (Lavallée, 2009, p. 29). L’animateur obtient la permission de faire un compte rendu de la discussion, et les participants aux cercles se doivent d’être empathiques, respectueux et compréhensifs.

En partenariat avec les employés des loisirs du VAFCS, les cercles de partage ont été menés en novembre 2012, une fois que les entrevues avec les jeunes filles ont été terminées. En tant que principal acteur du groupe « Because We’re Girls », l’ancien superviseur des loisirs du VAFCS a diffusé l’information concernant l’échange de photos et les discussions du cercle de partage sur la page Facebook du groupe, a invité des jeunes filles à participer, et a fixé une date pour le cercle à un moment qui convenait aux participantes (voir aussi Hayhurst, Giles et Radfort, en cours de révision). Au total, sept jeunes filles ont participé au cercle de partage. Afin d’encourager l’échange d’idées et de favoriser un climat de collaboration, les participantes ont convenu que les discussions ne seraient pas enregistrées sur support numérique ni transcrites et que personne ne prendrait de notes. Toutefois, après l’activité, il a été décidé que la meilleure façon de consigner l’échange était de créer une présentation PowerPoint de groupe qui résumerait les principales questions abordées durant l’activité. Ce sont donc les jeunes filles qui ont décidé d’utiliser le format PowerPoint. Après une longue discussion, elles ont décidé de partager leur présentation collective entre elles et avec les employés du VAFCS, et de la mettre sur la page Facebook (groupe privé accessible uniquement aux filles participant au programme).

Résultats de la recherche

Les conclusions de cette étude ont montré que, selon les membres du personnel du VAFCS, les bienfaits des programmes de sport au service du développement (SSD) destinés aux jeunes filles autochtones sont les suivants : augmentation du sens de l’entraide et du développement communautaire (grâce à leur participation au sport); amélioration de la confiance en soi et du respect, et développement de compétences en leadership; amélioration marquée de la condition physique; accès aux besoins de base grâce au programme (nourriture et eau); accès à des emplois (ou de la formation); augmentation de la participation des femmes autochtones qui servent de modèle dans les sports. Les membres du personnel ont aussi noté que les défis liés à ces programmes concernaient le recoupement des inégalités entre les sexes, le (néo)colonialisme et la pauvreté.

Les jeunes filles autochtones ont mentionné des avantages du programme semblables à ceux présentés cidessus (par les membres du personnel). Plus particulièrement, les défis pour ces jeunes filles étaient liés aux stéréotypes, au racisme et à l’inégalité entre les sexes auxquels elles font face au quotidien (p. ex. trouver des services d’aide à l’enfance), et parfois dans le programme, ce qui rendait leur participation ardue. Les jeunes filles ont discuté de leur difficulté à acheter des aliments sains et du manque de temps ou d’occasions pour intégrer leur culture et leurs traditions (par exemple la purification par la fumée) dans leurs activités récréatives « contemporaines » (baseball, soccer, etc.). Malgré ces obstacles, les programmes récréatifs ont permis à ces jeunes filles de confronter et de combattre les perceptions concernant leur corps, leurs habiletés sportives, leur mode de vie et les stéréotypes concernant les Autochtones.

En ce qui concerne le deuxième objectif, la plupart des jeunes filles interviewées (sept sur onze) ignoraient l’implication financière des entreprises et leur participation aux programmes SSD, mais croyaient (pour la plupart) que l’intérêt des entreprises attirerait une attention particulière sur les ressources nécessaires à la réalisation d’activités de loisir et de sport dans les collectivités du VAFCS. Les jeunes filles qui étaient au courant de la participation des entreprises (p. ex. à l’aide de subventions, de parrainage ou de dons en nature) croyaient que les entreprise privées qui conçoivent des vêtements de sport destinés aux Autochtones (p. ex. les produits Nike N7 destinés aux groupes autochtones) utilisent parfois mal les symboles autochtones, comme c’est le cas pour la roue médicinale placée sur des vêtements destinés aux Autochtones (p. e. chaussures de course). Bien que les membres du personnel du VAFCS ont dit apprécier les ressources fournies par le secteur privé, ils se méfient des politiques entourant les demandes de financement, des mécanismes stricts de surveillance et d’évaluation en place, des problèmes concernant les processus de demande (bien que ces défis ne concernaient pas uniquement les demandes de subvention du secteur privé, mais aussi celles du gouvernement) et des difficultés à trouver des occasions durables de financement.

Les résultats du troisième objectif (façons de créer un programme SSD décolonisé destiné aux jeunes filles autochtones vivant en milieu urbain) font l’objet d’une discussion dans la section « Répercussions sur les politiques ».

Répercussions sur les politiques

À la lumière de nos constatations, nous croyons que les initiatives SSD ciblant les jeunes filles autochtones vivant en milieu urbain au Canada devraient être davantage harmonisées avec les programmes de sport locaux et généraux afin de régler les grands enjeux structurels qui, encore aujourd’hui, font en sorte que les filles et les jeunes femmes autochtones sont vues comme ayant « besoin » d’initiatives de développement axées sur le sport (social) et les loisirs. En d’autres termes, il est possible selon nous d’apporter de grands changements aux programmes SSD en adoptant une approche active menée par les Autochtones lors de l’élaboration de politiques et de programmes SSD destinés aux jeunes femmes vivant dans les communautés autochtones. Cette approche serait, par exemple, axée sur l’amélioration de la confiance en soi et le développement de compétences en leadership compatibles avec les approches autochtones en matière de leadership, en plus de permettre aux jeunes femmes autochtones de s’unir dans la lutte contre les forces coloniales et capitalistes qui ont entraîné leur marginalisation.

Ces constatations s’appliquent au troisième objectif de la recherche et aux répercussions sur les politiques : En pratique, à quoi pourrait ressembler une approche décolonisée à l’égard des programmes SSD destinés aux jeunes filles autochtones? Dans le même ordre d’idées, si les sociétés transnationales représentent effectivement les « nouvelles forces coloniales », quelles sont, par exemple, les répercussions de l’augmentation de la participation de ces sociétés dans le financement, la création et l’exécution des programmes SSD pour les Autochtones du Canada (et de l’étranger)? De quelle façon leur participation peut-elle influer sur la possibilité de décoloniser les programmes?

Bien que de nombreuses sociétés transnationales et organisations non gouvernementales privatisées comme Right to Play prétendent travailler en « partenariat » avec les peuples autochtones lorsqu’il s’agit d’élaborer des programmes SSD, il est souvent difficile d’aller au-delà de la simple rhétorique des partenariats et de régler les inégalités des forces entre donateurs et bénéficiaires (Nicholls, Giles et Sethna, 2010). Ainsi, pour faire tomber les barrières qui nuisent aux efforts mis en place pour créer des programmes SSD en collaboration avec les communautés autochtones, il est important de s’assurer que ces programmes et politiques sont liés aux mouvements (actifs) locaux et généraux menés par les Autochtones fondés sur l’autodétermination, et qu’ils peuvent faciliter le changement structurel (Hayhurst, Giles et Radforth, en cours de révision). En effet, la lutte pour l’autodétermination en réaction au pouvoir matérialiste et néolibéral est une forme de programme SSD décolonisé (Darnell et Hayhurst, 2011). En fait, la décolonisation implique de résister contre la façon dont les mécanismes néolibéraux intégrés au développement « (re)colonisent » les groupes marginalisés à l’aide des forces du marché et des hiérarchies sociales (Wainwright, 2008, [tel que cité dans Darnell et Hayhurst, 2011]). Mais faciliter et appuyer cette résistance est plus facile à dire qu’à faire, et nous devons être prudents et fonder ces analyses sur des mouvements en particulier et des luttes dans des régions précises, comme les métropoles urbaines où de nombreux jeunes autochtones habitent désormais au Canada.

Prochaines étapes

Les constatations de l’étude ont ajouté du poids à l’importance du point de vue des jeunes filles autochtones en tant qu’agentes actives des programmes SSD. Il est important, lors de l’élaboration de programmes, de politiques et de pratiques, de tenir compte de l’expérience de ces jeunes filles et des membres du personnel du VAFCS lorsqu’ils composent avec les contraintes structurelles (p. ex. la pauvreté) et les relations néocoloniales rencontrées dans le cadre du programme SSD dont il est question dans la présente étude. De manière générale, la reconnaissance et l’examen plus approfondi des préoccupations concernant les inégalités entre les sexes, le racisme et les stéréotypes vécus à la fois au cours d’initiatives SSD axées sur les filles autochtones et à l’extérieur de celles-ci, pourraient être un point de départ intéressant pour une future recherche.

La liste ci-dessous présente les principales idées proposées par les jeunes filles autochtones et les membres du personnel du VAFCS pour améliorer les programmes, tel que discuté durant les entrevues. Ces affirmations ont été faites en réponse à la question suivante : Si vous pouviez améliorer un aspect du programme du VAFCS, que feriez-vous?

  • Renforcement du soutien et du travail d’équipe (plus de temps avec d’autres filles autochtones)
  • Meilleures solutions pour les soins aux enfants (subventions, frais)
  • Programmes de loisirs destinés aux jeunes filles autochtones plus uniformes ou réguliers
  • Augmentation de l’offre d’activités sportives familiales
  • Amélioration de la structure
  • Meilleure offre de programmes destinés aux filles seulement
  • Programmes destinés à des groupes d’âge en particulier
  • Fournir une source d’eau potable (pas seulement dans les lavabos des salles de bain) et des collations santé durant les activités sportives
  • Plus d’activités extérieures organisées

Outre ces nombreuses suggestions, d’autres travaux de recherche sont nécessaires pour mieux comprendre les répercussions des politiques des programmes SSD financés par les entreprises et destinés aux jeunes filles autochtones au Canada, de même que les tendances néolibérales et capitalistes des structures de financement qui ont une incidence sur ces programmes. Puisque les communautés autochtones et les programmes SSD, comme l’initiative pour les jeunes filles autochtones gérée par le VAFCS, n’ont souvent pas les ressources nécessaires pour offrir des activités sportives et de loisir (et des programmes SSD), il semble qu’ils ne peuvent qu’offrir des activités financées par le secteur privé ou utiliser au maximum le financement du gouvernement ou d’autres sources (Hayhurst et Giles, 2013). Il pourrait également être utile d’examiner de quelle façon le financement du gouvernement (ou le manque de financement) peut se répercuter sur la manière dont ces interventions sont adoptées par le personnel et les participants. Toutefois, le défi (et l’ironie) réside dans le fait que les conditions néolibérales nécessaires à l’atteinte de l’État providence et qui permettent aux sociétés d’investir dans les programmes SSD destinés aux Autochtones, sont les mêmes conditions qui, souvent, entraînent les difficultés que les Autochtones pourraient avoir à surmonter s’ils élaboraient leurs propres programmes (cf. Hayhurst, Giles et Wright, en cours de révision).

Ainsi, les travaux de recherche futurs devront examiner les mécanismes qui pourraient permettre aux Autochtones de s’assurer qu’ils ont la possibilité – et le droit – d’exercer leur autonomie gouvernementale à l’égard des « nouveaux » modèles de programmes SSD, alors que la participation du secteur privé semble quasi inévitable. Il est aussi important de prendre en considération que, dans certains cas, la participation du secteur privé peut en fait augmenter l’autodétermination, si les groupes autochtones ont la propriété et le contrôle complet des ressources utilisées pour appuyer ces programmes. Les questions suivantes pourraient être abordées :

Le financement par le secteur privé des programmes SSD destinés aux Autochtones et aux collectivités marginalisées au Canada influence-t-il la capacité de ces collectivités à régler les enjeux concernant l’autodétermination et la souveraineté et à composer avec eux? De quelle façon les jeunes femmes autochtones peuvent-elles mieux se positionner pour négocier en vue d’obtenir l’autodétermination et la souveraineté, et d’y contribuer, grâce aux programmes SSD?

L’offre de programmes SSD à l’aide de partenariats avec le secteur privé a-t-il entraîné l’abandon des programmes financés par l’État qui pourraient plutôt être utilisés pour atteindre les objectifs établis par les initiatives SSD (p. ex. promouvoir l’égalité entre les sexes, poursuivre ses études, suivre une formation préalable à l’emploi et participer à des projets de leadership des jeunes)?

Notes

  • Une partie du présent rapport s’inspire des deux manuscrits suivants qui sont en cours de révision (au 1er octobre 2014) :
    • HAYHURTS, L.M.C., A.R. GILES et W. RADFORTH (en cours de révision). « ”I want to come here to prove them wrong”: Sport, Gender and Development programs for urban Indigenous young women ». Sport in Society.
    • HAYHURST, L.M.C., A.R. GILES et J. WRIGHT (en cours de révision). « The benefits and challenges of girl-focused Indigenous Sport for Development and Peace programs in Australia and Canada ». Dans HAYHURST, L.M.C., T. KAY et M. CHAWANSKY (Eds.), Beyond Sport for Development and Peace: Transnational perspectives on theory, policy and practice. Londres, Routledge.
  • Malgré tous les efforts déployés, il a souvent été difficile d’organiser des rencontres en personne avec tous les membres du conseil, et c’est pourquoi la plupart des communications ont été faites par courriel.
  • S’il y avait eu plus d’espace, la présente section aurait porté sur les récits et les points de vue des membres du personnel du VAFCS et des jeunes filles interviewés. Toutefois, le format de ce rapport d’application des connaissances ne correspond pas à une ressource de la communauté axée sur les Autochtones qui pourrait être utile pour échanger et diffuser les connaissances provenant de la recherche. Ainsi, en raison de ces restrictions, la présente section n’est pas axée sur les points de vue et les citations provenant des entrevues faites dans le cadre l’étude.

About the Author(s) / A propos de(s) l'auteur(s)

Lyndsay Hayhurst, Université de la Colombie-Britannique.

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