Une étude indépendante menée par des chercheurs de la Faculté des sciences de la santé de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario a révélé que les jeunes adultes ayant une déficience intellectuelle et développementale qui participent à des programmes d’Olympiques spéciaux ont 15 % moins de risques de recevoir un diagnostic de diabète. Cette étude révolutionnaire, la première du genre au sein du mouvement Olympiques spéciaux, démontre et valide clairement les retombées favorables de nos programmes sportifs communautaires sur nos athlètes. Apprenez-en davantage sur les nouveaux résultats de la recherche en visitant le site Web d’Olympiques spéciaux Canada.
« C’est la première fois que nous disposons de données probantes très solides à l’échelle de la population qui soutiennent que la participation à Olympiques spéciaux entraîne des bienfaits importants pour la santé physique des adultes ayant une déficience intellectuelle et développementale », a déclaré Meghann Lloyd, autrice principale et chercheuse à la Faculté des sciences de la santé de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario. « Cette étude révolutionnaire démontre fortement que la participation à Olympiques spéciaux n’est pas qu’un simple loisir. Elle fournit des données convaincantes indiquant que la participation améliore considérablement l’état de santé, renforçant la notion que de tels programmes sportifs inclusifs sont essentiels au bien-être global des personnes ayant une déficience intellectuelle et développementale. Les bienfaits pour la santé observés soulignent l’importance de soutenir et d’élargir l’accès à ces programmes. À la lumière de nos conclusions, nous préconisons l’adoption plus étendue d’Olympiques spéciaux en tant qu’élément essentiel des stratégies de santé publique visant à améliorer la qualité de vie de cette population. » a partagé le Dr Meghann Lloyd, autrice principale et chercheuse.
En savoir plus : https://www.specialolympics.ca/fr/research/2024/diabetes