Jayda Veinot de l’UNB remporte le trophée Nan Copp de joueuse de basketball féminin de l’année de U SPORTS

EDMONTON (U SPORTS) — Jayda Veinot de l’UNB est la lauréate du trophée Nan Copp décerné à la joueuse de l’année de basketball féminin de U SPORTS mercredi soir, dans le cadre du banquet des prix majeurs et des étoiles canadiennes à Edmonton.

Les autres lauréats de prix majeurs sont Catrina Garvey de TMU, qui a remporté le prix Kathy Shields de recrue de l’année, tandis que Nikki Cabuco de l’UFV a remporté le prix Sylvia Sweeney de service communautaire par une étudiante-athlète, tandis que Serena Tchida a remporté le prix Tracy Macleod pour avoir fait preuve d’un courage exemplaire en surmontant l’adversité. Lisa Thomaidis de la Saskatchewan a remporté le prix Fox 40 d’entraîneure de l’année.

Le Tournoi 8 Ultime féminin de U SPORTS 2024, présenté par Westin Edmonton, démarre jeudi au Centre sportif communautaire Saville à Edmonton, et se poursuivra jusqu’au match pour la médaille d’or, dimanche à 19 h 39 (HR).

Pour voir le site Web officiel du Championnat

Trophée Nan Copp (joueuse par excellence) : Jayda Veinot, UNB

Jayda Veinot, des Reds de l’UNB, remporte le Trophée Nan Copp à titre de joueuse de l’année de U SPORTS au basketball féminin. 

Une ailière de cinquième année originaire de Port Williams en Nouvelle-Écosse, Veinot a pris la troisième place chez les marqueuses de U SPORTS, maintenant une moyenne de 21,3 points par match. Elle a ajouté 72 rebonds et 4,0 passes décisives par rencontre, tout en affichant un remarquable taux de succès de 91,3 pour cent de la ligne de lancer franc. Elle a aidé les Reds à enregistrer la deuxième meilleure fiche en saison régulière de SUA (15-5) et à se rendre jusqu’au match de championnat du SUA pour la première fois en 13 ans. 

Veinot avait auparavant été en nomination pour ce prix en 2022, quand elle avait été proclamée joueuse la plus utile à son équipe du SUA au moment où elle évoluait avec Acadia. Elle devient la première joueuse de l’UNB à remporter ce prix national et la quatrième de SUA après Justine Colley-Leger (Saint Mary’s, 2013 et 2014), Paloma Anderson (Acadia, 2018) et Jenna Mae Ellsworth (UPEI, 2020).

Autres finalistes : Léa-Sophie Verret (Laval), Madalyn Weinert (Brock), Jade Belmore (Regina).

Prix Kathy Shields – Recrue de l’année : Catrina Garvey, TMU

Garvey a décroché le prix Kathy Shields après avoir connu une remarquable première saison avec le Bold. Garvey a eu droit à 32,8 minutes de jeu par match en moyenne, bon pour le cinquième rang chez les joueuses des SUO, ce qui témoigne de son utilité à l’équipe alors qu’elle n’en était qu’à sa première saison. Garvey a récolté 274 points au total et sa moyenne de 13,0 points par rencontre lui a valu le 20e rang dans l’association. Elle a atteint le cap de la dizaine de points dans 14 des 21 matchs du calendrier régulier qu’elle a disputés et elle a représenté une menace pour l’adversaire, peu importe à quel endroit elle se trouvait sur le terrain, terminant au 13e rang des SUO pour les paniers de deux ou trois points sur les tirs de champ et en 11e place pour les paniers de trois points réussis.

Garvey est la deuxième joueuse dans l’histoire de TMU à remporter ce prix à l’échelle nationale, après Darcel Wright, qui l’a reçu en 1991.

Autres finalistes : Makena Anderson (Victoria), Eve Atchampone (Bishop’s), Kaitlyn Ferrier (Dalhousie).

Prix Sylvia Sweeney – Service communautaire par une étudiante-athlète : Nikki Cabuco, UFV

Nikki Cabuco a exercé une grande influence sur le terrain pour les Cascades de l’UFV, se méritant une place au sein de la formation partante comme recrue et maintenant un rôle clé alors que les Cascades ont grimpé pour s’installer sur le classement des 10 meilleurs de U SPORTS. À sa quatrième saison, l’étudiante-athlète originaire de Port Moody, en Colombie-Britannique possède une passion au service des autres qui crée un héritage hors du terrain qui a encore plus d’incidence et est plus durable. Elle est non seulement en voie de décrocher un baccalauréat ès arts en soins des enfants et de la jeunesse à l’UFV, mais elle appuie ses études sur des actions pratiques au sein de la communauté.

Cabuco a pris ce qu’elle a appris à l’UFV et l’a appliqué avec passion dans son travail important au sein de la communauté avec un accent sur des groupes marginalisés. Elle sert actuellement au sein du conseil d’administration de la Matsqui-Abbotsford Impact Society, participant à l’élaboration de politiques, au développement et à l’établissement d’objectifs. Elle est aussi ambassadrice pour la jeunesse et la famille au sein de Foundry BC, participant à un projet innovateur en soutien d’un réseau pancanadien divers de jeunes et de familles.

L’été dernier, elle a aussi servi de conseillère en toxicomanie auprès de la Matsqui-Abbotsford Impact Society et du chapitre d’Abbotsford de Foundry BC, offrant des conseils sans rendez-vous et a appuyé les activités d’information tout en participant aux groupes de défense des intérêts de jeunes autochtones et à des célébrations traditionnelles.

Autres finalistes : Katie Butts (UNB), Jasmine Martel (Bishop’s), Jenna Button (McMaster).

Joueuse défensive de l’année : Claire Signatovich, Alberta

Pour la deuxième saison de suite, la meilleure joueuse défensive au basketball féminin de U SPORTS est l’avant des Pandas de l’Alberta Claire Signatovich. L’étudiante-athlète de quatrième année originaire de Winnipeg a été étincelante cette saison avec les Pandas, qui ont affiché un bilan de 14-6 au sein de l’association. Signatovich a été la meneuse de l’Association Canada Ouest pour les blocs avec 37, a fini sixième pour les rebonds avec 182 et troisième pour les rebonds défensifs avec 127, en plus d’ajouter 30 interceptions.

Déjà reconnue comme une des meilleures joueuses défensives dans l’histoire de l’Université de l’Alberta et de l’Association Canada Ouest, Signatovich devient maintenant la cinquième joueuse seulement à être nommée plus d’une fois joueuse défensive de l’année à l’échelle nationale, après Rachel Hart (2007, 2008), Katie Miyazaki (2010, 2011), Miah-Marie Langlois (2012, 2013, 2014) et Khaleann Caron-Goudreau (2019, 2020).

Autres finalistes : Clara Gascoigne (Saint Mary’s), Victoria Guanoa (Bishop’s), Julia Chadwick (Queen’s).

Prix Tracy Macleod – Courage pour surmonter l’adversité : Serena Tchida, Concordia

À mi-chemin dans la saison 2022-2023 du RSEQ, Serena Tchida s’est établie comme une des étoiles montantes du circuit avec des moyennes de 14 points, de 8,5 rebonds et 1,8 interception par match. Au neuvième match de la saison Tchida a effectué un pivot pour remonter le terrain et s’est déchiré le tendon d’Achilles, ce qui a immédiatement mis fin à sa saison.

Après avoir subi une chirurgie, elle a travaillé sans arrêt à sa réhabilitation afin de retrouver la forme de match, espérant être de retour au début de la saison 2023-2024. Son travail a porté fruit puisque la Montréalaise a disputé les 16 matchs du calendrier, affichant une moyenne de 15,1 points par match, concluant la saison avec le plus grand nombre de points marqués au sein de l’association.

Autres finalistes : Avery Walker (StFX), Grace Koffi (Windsor), Lauren Bartlett (Manitoba).

Entraîneure de l’année Fox 40 : Lisa Thomaidis, Saskatchewan

Lisa Thomaidis, qui termine actuellement sa 25e saison avec les Huskies, ajoute une autre récompense à son impressionnant palmarès, elle qui en est à son troisième Prix Peter Ennis, après l’avoir remporté en 2008 et 2009.

Ses Huskies étaient quasiment imparables cette saison, ayant montré une fiche de 19-1 tout en s’avérant la meilleure attaque dans l’association. L’équipe entreprend le Tournoi 8 Ultime féminin 2024 à titre de favorite pour la troisième fois depuis qu’elle est à la barre de la formation, après 2006 (les Huskies ayant alors pris la sixième place) et 2020 (quand elles ont remporté le championnat). Thomaidis sera en quête de son troisième championnat national, après ceux de 2016 et 2020.

Elle a aussi connu du succès à l’échelle internationale dans la dernière année, guidant le programme national féminin d’Allemagne vers la première qualification olympique de son histoire, et ce, moins d’un an après qu’elle eut été embauchée au poste d’entraîneure-chef. Thomaidis en sera à sa quatrième présence aux Jeux olympiques plus tard cet été à Paris, y ayant auparavant participé en tant qu’entraîneure adjointe avec Équipe Canada en 2012 et comme entraîneur-chef avec Équipe Canada aux Jeux de 2016 et 2020. 

Autres finalistes : Scott Munro (Saint Mary’s), Guillaume Giroux (Laval), Dani Sinclair (Carleton).

À propos de U SPORTS

U SPORTS est l’alliance qui réunit tous les sports universitaires au pays. Chaque année, plus de 15,500 étudiants-athlètes et 700 entraîneurs rivalisent au cours de 21 championnats nationaux, représentant 12 sports au total. U SPORTS offre également aux étudiants-athlètes l’occasion d’illustrer leur excellence sportive sur la scène mondiale pendant les Jeux Mondiaux Universitaires d’hiver et d’été de la FISU, les Championnats universitaires modiaux, les Coupes du mone universitaires et programmes éducatifs.  U SPORTS travaille en collaboration avec 57 membres et quatre conférences ainsi qu’avec le système sportif canadien et les entreprises canadiennes pour développer et offrir le sport universitaire auprès des étudiants-athlètes du Canada.

Pour plus de renseignements, veuillez contacter:

John Bower
Directeur, Marketing et communications
U SPORTS
780-667-5646
jbower@usports.ca

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