Après avoir participé à une compétition internationale ou à un événement majeur tel que les Jeux paralympiques, les athlètes peuvent ressentir le “déprime après les Jeux “. La recherche montre que les structures de soutien qui comprennent des programmes et des ressources éducatives sont importantes pour aider les athlètes paralympiques à faire la transition vers la vie après les Jeux.
Être un athlète paralympique exige des compétences, du dévouement, de la résilience et beaucoup d’entraînement. Une étude récente a révélé que les athlètes paralympiques s’entraînaient en moyenne plus de 6 400 heures au cours de leur carrière.
« Nous n’avons jamais été aussi concentrés sur la santé mentale et le bien-être aux Jeux. » Dans le SIRCuit, Stephanie Dixon, chef de mission du Comité paralympique canadien de Tokyo 2020, partage son point de vue sur les stratégies de santé mentale conçues pour soutenir les équipes olympiques canadiennes à Tokyo et à Pékin, notamment les débuts d’un responsable de la santé mentale.
Nous pensons souvent au stress que les athlètes ressentent avant une compétition importante, mais qu’en est-il de leur entraîneur ? Les recherches suggèrent que de nombreux entraîneurs paralympiques ont des attentes élevées pour eux-mêmes, ce qui peut conduire au stress et à l’épuisement. Les stratégies qui aident les entraîneurs à gérer leurs attentes et celles des athlètes et du personnel de soutien sont essentielles pour favoriser leur bien-être.
Saviez-vous que Tokyo est la première ville à accueillir les Jeux paralympiques pour une deuxième fois? Tokyo a accueilli pour la première fois les Jeux paralympiques en 1964, où 378 athlètes paralympiques ont concouru pour 419 médailles. Aujourd’hui, 57 ans plus tard, 4 237 athlètes s’affronteront pour 1 522 médailles.
Les Jeux paralympiques de Tokyo débutent aujourd’hui et se terminent le 5 septembre.
Le plan directeur d’un projet pour un événement comme les Jeux olympiques ou paralympiques compte environ 20 000 lignes. Le report de Tokyo 2020 a créé une série de défis uniques pour le Comité olympique canadien et le Comité paralympique canadien, qui se préparent également pour les Jeux d’hiver de 2022 à Pékin. Dans le SIRCuit, découvrez les coulisses de la préparation de deux Jeux olympiques et paralympiques dans un contexte de pandémie mondiale.
Il peut être difficile de quitter le sport après être monté sur un podium olympique ou paralympique, ou après une compétition provinciale ou territoriale. Voici quelques conseils pour soutenir la santé mentale des athlètes pendant cette transition :
- Désentrainez votre corps et votre esprit pour vous adapter aux exigences différentes, mais difficiles de la vie après le sport.
- Trouvez un but dans la vie quotidienne en explorant d’autres intérêts et en développant de nouvelles routines quotidiennes.
- Reconnaissez les compétences que vous avez acquises grâce au sport et appliquez-les dans d’autres domaines de votre vie.
La candidature d’un pays à l’organisation d’un grand événement sportif est souvent justifiée par son impact potentiel sur la participation sportive de tous les citoyens. Bien que les preuves de cet effet de retombée soient limitées, de nouvelles recherches menées au Royaume-Uni montrent une augmentation des adhésions parmi les adultes dans 33 sports après l’organisation de grands événements sportifs, notamment les Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012, sur une période de 10 ans.
Les Jeux olympiques et paralympiques peuvent-ils influencer la participation sportive des jeunes dans les communautés d’accueil? Les recherches mentionnent que les influences sur la participation sont plus probables parmi les populations de jeunes, les spectateurs actifs et inspirés, et au sein des communautés qui accueillent les sites des événements et les médaillés.
Bien que les athlètes olympiques soient connus pour leurs routines méticuleuses avant la compétition, de nombreux aspects de la compétition échappent à leur contrôle. Par exemple, des recherches montrent que les nageurs olympiques ont une performance supérieure de 0,32 % lorsqu’ils courent le soir par rapport au matin, ce qui montre que l’heure de la journée peut avoir un impact sur les résultats des athlètes de haute performance.